Le Parti de la liberté et de la justice (PLJ) de Mohamed Saïd salue les nouvelles mesures décidées récemment par le conseil des ministres. « La prochaine levée de l'état d'urgence et l'ouverture de tous les médias publics aux partis politiques et associations agréées, constituent une avancée sur la voie de l'édification d'une société libre et démocratique », lit-on dans un communiqué de ce parti non encore agréé. Cependant, il n'a pas manqué de relever certaines remarques, à l'image de l'absence d'une date précise pour la levée de l'état d'urgence, ce qui réduit, selon Mohamed Saïd, « la mesure annoncée à une simple promesse et laisse planer des doutes quant à l'étendue pratique de sa portée ». Par ailleurs, le PLJ déplore la limitation de l'ouverture des médias publics aux seuls partis et associations agréées, ce qui signifie pour lui, « le maintien de la fermeture du champ politique pour la onzième année consécutive ». Aussi, le PLJ dénonce-t-il les contraintes qui jonchent le chemin du changement en Algérie, un changement « exprimé par les dernières émeutes spontanées des jeunes dans plusieurs wilayas (…) ce changement imposé par le niveau d'évolution de la société, ne serait conforme aux attentes populaires sans l'association de ces jeunes à ces mécanismes et la participation de toutes les compétences nationales », lit-on encore dans le même communiqué. Le Parti de la liberté et de la justice (PLJ) de Mohamed Saïd salue les nouvelles mesures décidées récemment par le conseil des ministres. « La prochaine levée de l'état d'urgence et l'ouverture de tous les médias publics aux partis politiques et associations agréées, constituent une avancée sur la voie de l'édification d'une société libre et démocratique », lit-on dans un communiqué de ce parti non encore agréé. Cependant, il n'a pas manqué de relever certaines remarques, à l'image de l'absence d'une date précise pour la levée de l'état d'urgence, ce qui réduit, selon Mohamed Saïd, « la mesure annoncée à une simple promesse et laisse planer des doutes quant à l'étendue pratique de sa portée ». Par ailleurs, le PLJ déplore la limitation de l'ouverture des médias publics aux seuls partis et associations agréées, ce qui signifie pour lui, « le maintien de la fermeture du champ politique pour la onzième année consécutive ». Aussi, le PLJ dénonce-t-il les contraintes qui jonchent le chemin du changement en Algérie, un changement « exprimé par les dernières émeutes spontanées des jeunes dans plusieurs wilayas (…) ce changement imposé par le niveau d'évolution de la société, ne serait conforme aux attentes populaires sans l'association de ces jeunes à ces mécanismes et la participation de toutes les compétences nationales », lit-on encore dans le même communiqué.