L'ostéodensitométrie est un examen radiologique qui mesure la densité minérale osseuse (DMO). Il permet au praticien d'apprécier la solidité du système osseux. Cet examen pourra également le renseigner sur le risque de fracture liée à l'ostéoporose. L'ostéodensitométrie est un examen radiologique qui mesure la densité minérale osseuse (DMO). Il permet au praticien d'apprécier la solidité du système osseux. Cet examen pourra également le renseigner sur le risque de fracture liée à l'ostéoporose. Une ostéodensitométrie est indiquée aux patients qui présentent des signes évocateurs d'ostéoporose et plus précisément dans les conditions suivantes : -en cas de découverte ou de confirmation radiologique d'une fracture vertébrale, en l'absence de facteurs traumatiques (chute…) ; -en présence d'antécédents de fracture survenue sans traumatisme, c'est à-dire à l'occasion d'un choc mineur ou d'une simple chute de sa hauteur ; -en cas de ménopause précoce (avant 40 ans) ; -en cas d'antécédents parentaux de fracture du col du fémur ; -en présence de maladies ou d'antécédents de maladies inductrices d'ostéoporose (anorexie, hyperthyroïdie…) -en cas de prise ou d'antécédents de prise de traitements susceptibles d'induire une ostéoporose (corticothérapie au long cours, par exemple…). A noter également, que dans certaines conditions également, l'ostéodensimétrie est prise en charge par l'Assurance-maladie. Comment se déroule une ostéodensitométrie ? L'examen est généralement réalisé en position allongée, sur un ostéodensitomètre. Il utilise les rayons X de faible intensité et répond à un principe physique de base. Il s'agit de faire traverser un faisceau énergétique à un corps solide – un os en l'occurrence – et de mesurer la quantité d'énergie qui en ressort. Au final, plus l'os en absorbe, plus sa densité est élevée, donc plus le squelette est solide. Les mesures s'effectuent généralement au niveau du rachis lombaire ou de la hanche (col du fémur). Le résultat obtenu est appelé le T score. Quels sont les risques ? L'ostéodensitométrie est un examen indolore. L'unique risque pourrait résider dans l'irradiation, laquelle est très faible. Elle représente un dixième de la dose délivrée au cours d'une radiographie des poumons. A noter, toutefois, que cet examen est contre-indiqué aux femmes enceintes, aux patients ayant subi durant les 3 jours précédents une scintigraphie osseuse ou un examen du tube digestif ayant nécessité la prise d'un produit de contraste. Une ostéodensitométrie est indiquée aux patients qui présentent des signes évocateurs d'ostéoporose et plus précisément dans les conditions suivantes : -en cas de découverte ou de confirmation radiologique d'une fracture vertébrale, en l'absence de facteurs traumatiques (chute…) ; -en présence d'antécédents de fracture survenue sans traumatisme, c'est à-dire à l'occasion d'un choc mineur ou d'une simple chute de sa hauteur ; -en cas de ménopause précoce (avant 40 ans) ; -en cas d'antécédents parentaux de fracture du col du fémur ; -en présence de maladies ou d'antécédents de maladies inductrices d'ostéoporose (anorexie, hyperthyroïdie…) -en cas de prise ou d'antécédents de prise de traitements susceptibles d'induire une ostéoporose (corticothérapie au long cours, par exemple…). A noter également, que dans certaines conditions également, l'ostéodensimétrie est prise en charge par l'Assurance-maladie. Comment se déroule une ostéodensitométrie ? L'examen est généralement réalisé en position allongée, sur un ostéodensitomètre. Il utilise les rayons X de faible intensité et répond à un principe physique de base. Il s'agit de faire traverser un faisceau énergétique à un corps solide – un os en l'occurrence – et de mesurer la quantité d'énergie qui en ressort. Au final, plus l'os en absorbe, plus sa densité est élevée, donc plus le squelette est solide. Les mesures s'effectuent généralement au niveau du rachis lombaire ou de la hanche (col du fémur). Le résultat obtenu est appelé le T score. Quels sont les risques ? L'ostéodensitométrie est un examen indolore. L'unique risque pourrait résider dans l'irradiation, laquelle est très faible. Elle représente un dixième de la dose délivrée au cours d'une radiographie des poumons. A noter, toutefois, que cet examen est contre-indiqué aux femmes enceintes, aux patients ayant subi durant les 3 jours précédents une scintigraphie osseuse ou un examen du tube digestif ayant nécessité la prise d'un produit de contraste.