Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, est revenu une fois de plus sur les événements que connaît la Libye. «L'Algérie souhaite l'instauration d'une transition pacifique par voie de dialogue national pour transcender, avec sagesse et perspicacité, les épreuves du moment» a, en effet, souligné le chef de la diplomatie algérienne à partir de Genève dans un discours prononcé devant la 16e session du Conseil des droits de l'homme. Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, est revenu une fois de plus sur les événements que connaît la Libye. «L'Algérie souhaite l'instauration d'une transition pacifique par voie de dialogue national pour transcender, avec sagesse et perspicacité, les épreuves du moment» a, en effet, souligné le chef de la diplomatie algérienne à partir de Genève dans un discours prononcé devant la 16e session du Conseil des droits de l'homme. Mourad Medelci, qui a multiplié ces derniers jours les déclarations sur les événements que connaît ce pays limitrophe, a aussi indiqué dans une interview accordée à la chaîne de télévision mexicaine Televisa que «la préoccupation la plus importante aujourd'hui, c'est d'arrêter l'effusion de sang, ça c'est le plus important, et tout ce que la communauté internationale peut faire pour obtenir ce résultat, nous y apportons notre caution et notre soutien». Reconnaissant implicitement que la situation reste confuse dans ce pays il a ajouté : «même si les chiffres sont quelquefois contradictoires, la tendance lourde indique bien que les jours qui viennent de s'écouler en Libye ont été des jours extrêmement sanglants». C'est pour la première fois que le ministre des Affaires étrangères s'exprime de manière claire en laissant entendre que le pouvoir de Mouammar Khaddafi ne jouit plus d'aucune reconnaissance internationale. Il précise qu'«on ne pourrait rien faire et personne ne pourra rien faire si nous ne marquons pas très rapidement une pause durable pour pouvoir reconstruire les institutions de ce pays comme l'entend le peuple libyen, lui- même, parce que personne n'ira lui dire comment il faut faire». Evoquant les événements que connaît la région d''Afrique du Nord Medelci dira : «La position de l'Algérie est celle du retour à la paix, du retour au dialogue, et son espoir est que la paix et le dialogue puissent donner à l'ensemble des pays de la région la possibilité de mieux explorer les atouts qui sont importants pour chacun de ces pays, les atouts humains en particulier, et de faire en sorte que les hommes et les femmes de ces pays se sentent davantage engagés dans la construction de leur avenir». Il a expliqué que l'Algérie entretient avec «les pays voisins des relations extrêmement importantes pas seulement au plan économique, mais également au plan humain». Et d'ajouter que «ce qui se passe en Tunisie, en Libye et même en Egypte, concerne l'Algérie au plus haut point». Il a enfin plaidé pour la nécessité de mettre de «la raison dans nos analyses et surtout dans nos actes, et la raison aujourd'hui nous commande d'apporter des contributions, même modestes mais positives, pour accompagner ce qui se passe en Tunisie, ce qui se passe en Egypte». K. H. Mourad Medelci, qui a multiplié ces derniers jours les déclarations sur les événements que connaît ce pays limitrophe, a aussi indiqué dans une interview accordée à la chaîne de télévision mexicaine Televisa que «la préoccupation la plus importante aujourd'hui, c'est d'arrêter l'effusion de sang, ça c'est le plus important, et tout ce que la communauté internationale peut faire pour obtenir ce résultat, nous y apportons notre caution et notre soutien». Reconnaissant implicitement que la situation reste confuse dans ce pays il a ajouté : «même si les chiffres sont quelquefois contradictoires, la tendance lourde indique bien que les jours qui viennent de s'écouler en Libye ont été des jours extrêmement sanglants». C'est pour la première fois que le ministre des Affaires étrangères s'exprime de manière claire en laissant entendre que le pouvoir de Mouammar Khaddafi ne jouit plus d'aucune reconnaissance internationale. Il précise qu'«on ne pourrait rien faire et personne ne pourra rien faire si nous ne marquons pas très rapidement une pause durable pour pouvoir reconstruire les institutions de ce pays comme l'entend le peuple libyen, lui- même, parce que personne n'ira lui dire comment il faut faire». Evoquant les événements que connaît la région d''Afrique du Nord Medelci dira : «La position de l'Algérie est celle du retour à la paix, du retour au dialogue, et son espoir est que la paix et le dialogue puissent donner à l'ensemble des pays de la région la possibilité de mieux explorer les atouts qui sont importants pour chacun de ces pays, les atouts humains en particulier, et de faire en sorte que les hommes et les femmes de ces pays se sentent davantage engagés dans la construction de leur avenir». Il a expliqué que l'Algérie entretient avec «les pays voisins des relations extrêmement importantes pas seulement au plan économique, mais également au plan humain». Et d'ajouter que «ce qui se passe en Tunisie, en Libye et même en Egypte, concerne l'Algérie au plus haut point». Il a enfin plaidé pour la nécessité de mettre de «la raison dans nos analyses et surtout dans nos actes, et la raison aujourd'hui nous commande d'apporter des contributions, même modestes mais positives, pour accompagner ce qui se passe en Tunisie, ce qui se passe en Egypte». K. H.