Les projets de construction de trois hôpitaux dans la wilaya de Khenchela, viennent d'être relancés après la réévaluation de leurs coûts, a indiqué la Direction de la santé et de la population (DSP). Implantés dans les communes de Chechar, de Ouled Archache et de Bouhmama, ces établissements hospitaliers, dont le taux d'avancement est, respectivement, de 45% et de 60 %, doperont de 200 lits les capacités d'accueil des structures sanitaires locales, a ajouté la même direction. Outre les projets, d'une annexe de l'Institut Pasteur, d'un centre intermédiaire de désintoxication et de deux polycliniques, actuellement en chantier, quatre autres projets de structures sanitaires de proximité viennent d'être lancés à Aïn Touila, El Mehmel et Babar, selon les services de la DSP . Il est également prévu la réalisation de plusieurs centres sanitaires dans la nouvelle zone urbaine de Khenchela et dans les zones rurales de Ouldja, Chelia, Tamza, Lemsara et R'mila. L'exercice 2011 verra également l'acquisition d'équipements médicaux pour améliorer les prestations fournies, alors que les différents secteurs sanitaires, et cliniques mobiles notamment ceux de Babar, de Kaïs et de Khenchela, seront dotés en ambulances. Rappelons que le secteur de la santé a bénéficié, dans cette wilaya, au titre du précédent programme quinquennal, de 4,9 milliards de dinars qui ont permis de financer 40 opérations. La wilaya de Khenchela compte quatre hôpitaux, six Etablissements publics de proximité et une maternité, offrant au total 832 lits, soit une moyenne de 2 lits pour 1.000 habitants. Seize polycliniques, 23 centres de protection maternelle et infantile, 101 salles de soins, 3 centres de transfusion sanguine. Douze UDS (unité de dépistage et suivi en milieu scolaire) sont également opérationnelles dans cette wilaya. Ces structures sont encadrées par 31 médecins spécialistes, 293 généralistes et 1.619 paramédicaux, selon les services de la DSP qui ont fait état, toutefois, de la ''persistance du déficit" en encadrement médical spécialisé, notamment en réanimation-anesthésie, en cardiologie, en neurochirurgie, en dermatologie et en cancérologie. APS Les projets de construction de trois hôpitaux dans la wilaya de Khenchela, viennent d'être relancés après la réévaluation de leurs coûts, a indiqué la Direction de la santé et de la population (DSP). Implantés dans les communes de Chechar, de Ouled Archache et de Bouhmama, ces établissements hospitaliers, dont le taux d'avancement est, respectivement, de 45% et de 60 %, doperont de 200 lits les capacités d'accueil des structures sanitaires locales, a ajouté la même direction. Outre les projets, d'une annexe de l'Institut Pasteur, d'un centre intermédiaire de désintoxication et de deux polycliniques, actuellement en chantier, quatre autres projets de structures sanitaires de proximité viennent d'être lancés à Aïn Touila, El Mehmel et Babar, selon les services de la DSP . Il est également prévu la réalisation de plusieurs centres sanitaires dans la nouvelle zone urbaine de Khenchela et dans les zones rurales de Ouldja, Chelia, Tamza, Lemsara et R'mila. L'exercice 2011 verra également l'acquisition d'équipements médicaux pour améliorer les prestations fournies, alors que les différents secteurs sanitaires, et cliniques mobiles notamment ceux de Babar, de Kaïs et de Khenchela, seront dotés en ambulances. Rappelons que le secteur de la santé a bénéficié, dans cette wilaya, au titre du précédent programme quinquennal, de 4,9 milliards de dinars qui ont permis de financer 40 opérations. La wilaya de Khenchela compte quatre hôpitaux, six Etablissements publics de proximité et une maternité, offrant au total 832 lits, soit une moyenne de 2 lits pour 1.000 habitants. Seize polycliniques, 23 centres de protection maternelle et infantile, 101 salles de soins, 3 centres de transfusion sanguine. Douze UDS (unité de dépistage et suivi en milieu scolaire) sont également opérationnelles dans cette wilaya. Ces structures sont encadrées par 31 médecins spécialistes, 293 généralistes et 1.619 paramédicaux, selon les services de la DSP qui ont fait état, toutefois, de la ''persistance du déficit" en encadrement médical spécialisé, notamment en réanimation-anesthésie, en cardiologie, en neurochirurgie, en dermatologie et en cancérologie. APS
