Les prix du pétrole accéléraient leur plongeon, hier, le baril dégringolant de plus de 5 dollars à Londres, sur un marché rendu très fébrile par l'aggravation de la crise nucléaire au Japon. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril est tombé jusqu'à 107,88 dollars, sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, une chute de 5,79 dollars par rapport à la clôture de lundi. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril est tombé jusqu'à 107,88 dollars, sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, une chute de 5,79 dollars par rapport à la clôture de lundi. Il s'est légèrement repris dans les minutes suivantes, remontant jusqu'à 109,32 dollars(-4,35 dollars). C'est la première fois depuis le 23 février qu'il passe sous la barre des 110 dollars le baril. A New York, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance a chuté jusqu'à 96,71 dollars, une chute de 4,48 dollars qui l'a amené à son plus bas niveau depuis deux semaines. Les cours du pétrole subissaient le regain d'inquiétudes sur la crise nucléaire au Japon à la suite du séisme dévastateur qui a frappé l'archipel vendredi. Par ailleurs, au moins six des 27 raffineries japonaises ont été arrêtées à la suite du séisme, réduisant 31% des capacités de raffinage de l'archipel nippon, cinquième plus grand raffineur au monde, a indiqué hier l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans son rapport mensuel. La fermeture de ces raffineries devrait entraîner une forte diminution à court terme des importations de brut du pays, estiment les analystes. A moyen terme, cependant, le Japon pourrait utiliser plus d'hydrocarbures (gaz et pétrole) pour la production d'électricité, afin de compenser la fermeture de centrales nucléaires dans l'archipel, ce qui pourrait accroître finalement sa consommation pétrolière. En Libye, la production de pétrole est à ce jour presque à l'arrêt en raison des violences, a estimé mardi l'Agence internationale de l'énergie (AIE) Les prix du pétrole accéléraient leur plongeon, hier, le baril dégringolant de plus de 5 dollars à Londres, sur un marché rendu très fébrile par l'aggravation de la crise nucléaire au Japon. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril est tombé jusqu'à 107,88 dollars, sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, une chute de 5,79 dollars par rapport à la clôture de lundi. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril est tombé jusqu'à 107,88 dollars, sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, une chute de 5,79 dollars par rapport à la clôture de lundi. Il s'est légèrement repris dans les minutes suivantes, remontant jusqu'à 109,32 dollars(-4,35 dollars). C'est la première fois depuis le 23 février qu'il passe sous la barre des 110 dollars le baril. A New York, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance a chuté jusqu'à 96,71 dollars, une chute de 4,48 dollars qui l'a amené à son plus bas niveau depuis deux semaines. Les cours du pétrole subissaient le regain d'inquiétudes sur la crise nucléaire au Japon à la suite du séisme dévastateur qui a frappé l'archipel vendredi. Par ailleurs, au moins six des 27 raffineries japonaises ont été arrêtées à la suite du séisme, réduisant 31% des capacités de raffinage de l'archipel nippon, cinquième plus grand raffineur au monde, a indiqué hier l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans son rapport mensuel. La fermeture de ces raffineries devrait entraîner une forte diminution à court terme des importations de brut du pays, estiment les analystes. A moyen terme, cependant, le Japon pourrait utiliser plus d'hydrocarbures (gaz et pétrole) pour la production d'électricité, afin de compenser la fermeture de centrales nucléaires dans l'archipel, ce qui pourrait accroître finalement sa consommation pétrolière. En Libye, la production de pétrole est à ce jour presque à l'arrêt en raison des violences, a estimé mardi l'Agence internationale de l'énergie (AIE)