Le baril du pétrole Brent a clôturé la semaine au dessus des 100 dollars vendredi, après avoir dégringolé de plus de 1 dollar avant de se ressaisir, suite à l'annonce de la démission du président égyptien Hosni Moubarak. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars, dont c'était le dernier jour de cotation, s'échangeait à 101,19 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, grimpant de 32 cents par rapport à la clôture de jeudi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance baissait de 80 cents à 85,93 dollars. Les cours du baril ont chuté de plus de 1 dollar en quelques minutes, après l'annonce que le président égyptien Hosni Moubarak avait quitté ses fonctions.Le WTI est alors tombé jusqu'à 85,62 dollars et le Brent, inversant la tendance, a chuté à 100,43 dollars. Mais les prix se sont cependant rapidement ressaisis, effaçant plus de la moitié des pertes essuyées, sur un marché nerveux et volatil. Les analystes estiment que le départ de Moubarak devrait contribuer à l'apaisement des inquiétudes géopolitiques, puisque la fermeture des opérations sur le canal de Suez ne devrait pas durer longtemps. Le marché de l'énergie est suspendu depuis deux semaines à l'évolution du mouvement de contestation en Egypte, où se trouvent deux routes stratégiques pour l'acheminement du pétrole des pays du Golfe: le canal de Suez et l'oléoduc Suez-Méditerranée (Sumed). La différence entre le WTI échangé à New York et le Brent coté à Londres, qui avait atteint jeudi un écart historique de 16 dollars, restait d'une quinzaine de dollars vendredi, le marché new-yorkais pâtissant de l'abondance des stocks de Cushing (Oklahoma, sud des Etats-Unis), principal centre de stockage du pays. Le baril du pétrole Brent a clôturé la semaine au dessus des 100 dollars vendredi, après avoir dégringolé de plus de 1 dollar avant de se ressaisir, suite à l'annonce de la démission du président égyptien Hosni Moubarak. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars, dont c'était le dernier jour de cotation, s'échangeait à 101,19 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, grimpant de 32 cents par rapport à la clôture de jeudi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance baissait de 80 cents à 85,93 dollars. Les cours du baril ont chuté de plus de 1 dollar en quelques minutes, après l'annonce que le président égyptien Hosni Moubarak avait quitté ses fonctions.Le WTI est alors tombé jusqu'à 85,62 dollars et le Brent, inversant la tendance, a chuté à 100,43 dollars. Mais les prix se sont cependant rapidement ressaisis, effaçant plus de la moitié des pertes essuyées, sur un marché nerveux et volatil. Les analystes estiment que le départ de Moubarak devrait contribuer à l'apaisement des inquiétudes géopolitiques, puisque la fermeture des opérations sur le canal de Suez ne devrait pas durer longtemps. Le marché de l'énergie est suspendu depuis deux semaines à l'évolution du mouvement de contestation en Egypte, où se trouvent deux routes stratégiques pour l'acheminement du pétrole des pays du Golfe: le canal de Suez et l'oléoduc Suez-Méditerranée (Sumed). La différence entre le WTI échangé à New York et le Brent coté à Londres, qui avait atteint jeudi un écart historique de 16 dollars, restait d'une quinzaine de dollars vendredi, le marché new-yorkais pâtissant de l'abondance des stocks de Cushing (Oklahoma, sud des Etats-Unis), principal centre de stockage du pays.