Le ministre égyptien de la Justice, Mohamed Abdelaziz Al-Guindi a déclaré que le procès de l'ancien président égyptien, Hosni Moubarak ne durera pas des années affirmant que la peine de prison était le minimum pour Moubarak. "Si son implication dans les violences meurtrieres contre les manifestants est établie, il sera condamné à la peine capitale", a-t-il dit. Des rapports de presse citant des declaration de M. Al Guindi à la télévision indiquent que le parquet général interroge M. Moubarak sur la repression violente des manifestations et sur des faits liés à la corruption. Les deux fils de l'ex-président égyptien, Gamal et Alaa Moubarak, seront également interrogés dans le cadre de l'enquête sur l'usage de la violence contre les manifestants lors du soulèvement. Concernant l'épouse de l'ancien président égyptien, Suzanne, M. Al-Guindi a indiqué qu'il n'existait aucune preuve contre elle pour le moment. Elle sera interrogée sur le rapport relatif à sa fortune et sa relation avec la bibliothèque d'Alexandrie. Le ministre égyptien de la Justice a expliqué que le retard enregistré dans les procédures d'enquête sur les Moubarak et les hauts responsables par un souci de conformité avec la loi.Le secrétaire général de la commission d'enquête, le juge Omar Marwane avait affirmé que l'ancien président Hosni Moubarak assumait la responsabilité de la mort de manifestants. Le rapport final de la commission d'enquête avait fait état de 864 morts au moins et de 6.460 blessés. Le ministre égyptien de la Justice, Mohamed Abdelaziz Al-Guindi a déclaré que le procès de l'ancien président égyptien, Hosni Moubarak ne durera pas des années affirmant que la peine de prison était le minimum pour Moubarak. "Si son implication dans les violences meurtrieres contre les manifestants est établie, il sera condamné à la peine capitale", a-t-il dit. Des rapports de presse citant des declaration de M. Al Guindi à la télévision indiquent que le parquet général interroge M. Moubarak sur la repression violente des manifestations et sur des faits liés à la corruption. Les deux fils de l'ex-président égyptien, Gamal et Alaa Moubarak, seront également interrogés dans le cadre de l'enquête sur l'usage de la violence contre les manifestants lors du soulèvement. Concernant l'épouse de l'ancien président égyptien, Suzanne, M. Al-Guindi a indiqué qu'il n'existait aucune preuve contre elle pour le moment. Elle sera interrogée sur le rapport relatif à sa fortune et sa relation avec la bibliothèque d'Alexandrie. Le ministre égyptien de la Justice a expliqué que le retard enregistré dans les procédures d'enquête sur les Moubarak et les hauts responsables par un souci de conformité avec la loi.Le secrétaire général de la commission d'enquête, le juge Omar Marwane avait affirmé que l'ancien président Hosni Moubarak assumait la responsabilité de la mort de manifestants. Le rapport final de la commission d'enquête avait fait état de 864 morts au moins et de 6.460 blessés.