L'ancien Premier ministre travailliste britannique, Gordon Brown, a accepté d'occuper le poste de président d'un groupe de travail du Forum économique mondial, a annoncé vendredi le Forum dans un communiqué. M. Brown, à la tête de l'exécutif britannique de 2007 à 2010 et ancien chancelier de l'Echiquier (1997-2007), pilotera un groupe informel de chefs d'organisations internationales destiné à évaluer et stimuler les initiatives multilatérales. M. Brown a participé à plusieurs réunions du Forum à Davos, en 1999 et de 2005 à 2009. Il ne sera pas payé pour son rôle, mais le Forum contribuera à financer le personnel dont il aura besoin, précise le communiqué. Il a été cité comme un possible successeur de Dominique Strauss-Kahn à la tête du Fonds monétaire international (FMI), si celui-ci devait écourter son mandat en vue de la présidentielle française. Mais l'actuel Premier ministre britannique conservateur, David Cameron, a clairement indiqué cette semaine qu'il ne soutiendrait pas sa candidature au FMI. «Quelqu'un qui ne voyait pas de problème d'endettement au Royaume-Uni alors qu'il y en avait évidemment un ne paraît pas la personne la plus appropriée pour travailler avec les autres pays sur leurs problèmes de dette et de déficit", avait sèchement déclaré mardi M. Cameron sur la BBC. L'ancien Premier ministre travailliste britannique, Gordon Brown, a accepté d'occuper le poste de président d'un groupe de travail du Forum économique mondial, a annoncé vendredi le Forum dans un communiqué. M. Brown, à la tête de l'exécutif britannique de 2007 à 2010 et ancien chancelier de l'Echiquier (1997-2007), pilotera un groupe informel de chefs d'organisations internationales destiné à évaluer et stimuler les initiatives multilatérales. M. Brown a participé à plusieurs réunions du Forum à Davos, en 1999 et de 2005 à 2009. Il ne sera pas payé pour son rôle, mais le Forum contribuera à financer le personnel dont il aura besoin, précise le communiqué. Il a été cité comme un possible successeur de Dominique Strauss-Kahn à la tête du Fonds monétaire international (FMI), si celui-ci devait écourter son mandat en vue de la présidentielle française. Mais l'actuel Premier ministre britannique conservateur, David Cameron, a clairement indiqué cette semaine qu'il ne soutiendrait pas sa candidature au FMI. «Quelqu'un qui ne voyait pas de problème d'endettement au Royaume-Uni alors qu'il y en avait évidemment un ne paraît pas la personne la plus appropriée pour travailler avec les autres pays sur leurs problèmes de dette et de déficit", avait sèchement déclaré mardi M. Cameron sur la BBC.