Fatiguées et ne croyant plus aux promesses des autorités concernées, les familles des otages du navire MV Blida, détourné par un commando d'une centaine de pirates somaliens à 150 miles nautiques au sud-est du port de Salalah (sultanat d'Oman), semblent être au bout de leur désespoir après 143 jours de la prise en otage de leurs proches et le silence total des hautes autorités algériennes. Il faut dire que «la détresse des familles est aujourd'hui indescriptible, elles qui savent que leurs fils, pères et frères ne sont pas dans les meilleures conditions, au moment où les pouvoirs publics n'ont pris encore aujourd'hui aucune position officielle ni claire pour sauver leurs enfants», nous affirmé M Ait Ramdane, fils d'un des dix-sept marins algériens pris en otage. Il est important de signaler que les familles ont de moins en moins de nouvelles de leurs proches et les rares appels téléphoniques qu'ils reçoivent des otages ne font qu'augmenter leur peur de ne plus les revoir vivants. «Les otages ont de moins en moins le droit d'appeler leurs proches pour leur assurer qu'ils sont en vie. Ils survivent dans des conditions déplorables. Leurs pleurs et leurs cris de détresse ne font qu'augmenter le malheur et le chagrin de leurs familles qui n'arrivent malheureusement pas à faire grand-chose. Le dernier appel remonte à une dizaine de jour et n'a duré que moins d'une minute», nous a affirmé M Ait Ramdane. Le marin a désespérément demandé à sa famille de demander aux autorités algériennes de faire quelque chose pour sauver les otages de l'enfer qu'ils vivent. «il sont très fatigués et l'état de santé de nombreux entre eux se dégrade surtout ceux souffrant de maladies chroniques», nous a assuré M Ait Ramdane. Pour crier leur détresse, les familles des dix-sept marins algériens vont observer encore demain un nième sit-in devant le siège de l'IBC dont le directeur général a, selon les témoignages des familles, fait de son mieux et soutient les familles malgré que cette affaire ne le concerne pas. Il est à rappeler que les familles des otages avaient observé un sit-in le 28 avril dernier devant le ministère des Affaires étrangères, mais leur «action n'a hélas rien ramené puisque les autorités concernées font toujours la sourde oreille». Ils réclament toujours une audience au ministre des AE ou de son secrétaire général pour discuter des solutions promises et des mesures à prendre pour sauver ces Algériens. Fatiguées et ne croyant plus aux promesses des autorités concernées, les familles des otages du navire MV Blida, détourné par un commando d'une centaine de pirates somaliens à 150 miles nautiques au sud-est du port de Salalah (sultanat d'Oman), semblent être au bout de leur désespoir après 143 jours de la prise en otage de leurs proches et le silence total des hautes autorités algériennes. Il faut dire que «la détresse des familles est aujourd'hui indescriptible, elles qui savent que leurs fils, pères et frères ne sont pas dans les meilleures conditions, au moment où les pouvoirs publics n'ont pris encore aujourd'hui aucune position officielle ni claire pour sauver leurs enfants», nous affirmé M Ait Ramdane, fils d'un des dix-sept marins algériens pris en otage. Il est important de signaler que les familles ont de moins en moins de nouvelles de leurs proches et les rares appels téléphoniques qu'ils reçoivent des otages ne font qu'augmenter leur peur de ne plus les revoir vivants. «Les otages ont de moins en moins le droit d'appeler leurs proches pour leur assurer qu'ils sont en vie. Ils survivent dans des conditions déplorables. Leurs pleurs et leurs cris de détresse ne font qu'augmenter le malheur et le chagrin de leurs familles qui n'arrivent malheureusement pas à faire grand-chose. Le dernier appel remonte à une dizaine de jour et n'a duré que moins d'une minute», nous a affirmé M Ait Ramdane. Le marin a désespérément demandé à sa famille de demander aux autorités algériennes de faire quelque chose pour sauver les otages de l'enfer qu'ils vivent. «il sont très fatigués et l'état de santé de nombreux entre eux se dégrade surtout ceux souffrant de maladies chroniques», nous a assuré M Ait Ramdane. Pour crier leur détresse, les familles des dix-sept marins algériens vont observer encore demain un nième sit-in devant le siège de l'IBC dont le directeur général a, selon les témoignages des familles, fait de son mieux et soutient les familles malgré que cette affaire ne le concerne pas. Il est à rappeler que les familles des otages avaient observé un sit-in le 28 avril dernier devant le ministère des Affaires étrangères, mais leur «action n'a hélas rien ramené puisque les autorités concernées font toujours la sourde oreille». Ils réclament toujours une audience au ministre des AE ou de son secrétaire général pour discuter des solutions promises et des mesures à prendre pour sauver ces Algériens.