L'Le procès du responsable direct présumé des attentats à l'explosif qui avaient ciblé, en 2007, le palais du Gouvernement et le siège de la sûreté urbaine de Bab Ezzouar, Bouderbala Fateh, a été reporté sine die par le tribunal criminel près la cour d'Alger, a-t-on constaté mercredi sur place. Le juge Kharabi Brahim a prononcé ce report suite au pourvoi en cassation interjeté par le prévenu par devant la Cour suprême à l'encontre de l'arrêt de la chambre d'accusation qui le renvoie devant les assises d'Alger. Ainsi le juge a décidé le renvoi de l'affaire jusqu'à ce que la Cour suprême statue dans ce pourvoi en cassation mais sans déterminer de date précise pour la reprise du procès. Selon l'arrêt de renvoi, cet "émir" avait reconnu avoir suivi par téléphone l'itinéraire de trois kamikazes qui étaient à bord des véhicules piégés jusqu'à leur arrivée sur les lieux ciblés (palais du Gouvernement, siège de la sûreté urbaine de Bab Ezzouar et ambassade du Danemark) où il leur avait donné l'ordre, selon ses dires, d'actionner leurs ceintures d'explosifs. L'Le procès du responsable direct présumé des attentats à l'explosif qui avaient ciblé, en 2007, le palais du Gouvernement et le siège de la sûreté urbaine de Bab Ezzouar, Bouderbala Fateh, a été reporté sine die par le tribunal criminel près la cour d'Alger, a-t-on constaté mercredi sur place. Le juge Kharabi Brahim a prononcé ce report suite au pourvoi en cassation interjeté par le prévenu par devant la Cour suprême à l'encontre de l'arrêt de la chambre d'accusation qui le renvoie devant les assises d'Alger. Ainsi le juge a décidé le renvoi de l'affaire jusqu'à ce que la Cour suprême statue dans ce pourvoi en cassation mais sans déterminer de date précise pour la reprise du procès. Selon l'arrêt de renvoi, cet "émir" avait reconnu avoir suivi par téléphone l'itinéraire de trois kamikazes qui étaient à bord des véhicules piégés jusqu'à leur arrivée sur les lieux ciblés (palais du Gouvernement, siège de la sûreté urbaine de Bab Ezzouar et ambassade du Danemark) où il leur avait donné l'ordre, selon ses dires, d'actionner leurs ceintures d'explosifs.