Les prix du pétrole s'inscrivaient en baisse hier vendredi sur un marché prudent en l'absence d'indicateurs économiques majeurs qui pourraient orienter sa direction. Les cours de brut reculaient après avoir fortement progressé mercredi et jeudi, avec l'annonce par le secrétaire général de l'Opep, Abdallah El-Badri, d'une absence de consensus au sein de l'organisation sur une modification des quotas de production. Le baril de brent de la mer du Nord pour livraison en juillet cédait 27 cents par rapport à la clôture de jeudi, s'établissant à 119,30 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres. A New York, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même période, perdait 64 cents à 101,29 dollars sur le Mercantile Exchange. "Après avoir gagné plus de 5% depuis mardi, les cours du Brent pourraient être pénalisés par des prises de bénéfices à la fin de la semaine", commentait un analyste de la banque suédoise SEB. La forte poussée des cours du pétrole s'est estompé hier, vendredi alors que le marché renouait avec la prudence en "l'absence d'indicateurs économiques ou sectorielles majeurs", précise des analystes. Les prix pourraient également pâtir de la remontée du dollar face à l'euro qui rend le pétrole un placement moins rentable pour les investisseurs détenant des devises autres que le dollar. Les prix du pétrole s'inscrivaient en baisse hier vendredi sur un marché prudent en l'absence d'indicateurs économiques majeurs qui pourraient orienter sa direction. Les cours de brut reculaient après avoir fortement progressé mercredi et jeudi, avec l'annonce par le secrétaire général de l'Opep, Abdallah El-Badri, d'une absence de consensus au sein de l'organisation sur une modification des quotas de production. Le baril de brent de la mer du Nord pour livraison en juillet cédait 27 cents par rapport à la clôture de jeudi, s'établissant à 119,30 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres. A New York, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même période, perdait 64 cents à 101,29 dollars sur le Mercantile Exchange. "Après avoir gagné plus de 5% depuis mardi, les cours du Brent pourraient être pénalisés par des prises de bénéfices à la fin de la semaine", commentait un analyste de la banque suédoise SEB. La forte poussée des cours du pétrole s'est estompé hier, vendredi alors que le marché renouait avec la prudence en "l'absence d'indicateurs économiques ou sectorielles majeurs", précise des analystes. Les prix pourraient également pâtir de la remontée du dollar face à l'euro qui rend le pétrole un placement moins rentable pour les investisseurs détenant des devises autres que le dollar.