Tous les secteurs économiques ont été décortiqués par les délégations algérienne et britannique lors de la rencontre dont le but essentiel consiste à booster les échanges économiques entre les deux pays, d'autant plus que l'Algérie possède un ambitieux programme quinquennal de développement économique durable attractif pour les investissements internationaux. Tous les secteurs économiques ont été décortiqués par les délégations algérienne et britannique lors de la rencontre dont le but essentiel consiste à booster les échanges économiques entre les deux pays, d'autant plus que l'Algérie possède un ambitieux programme quinquennal de développement économique durable attractif pour les investissements internationaux. En effet, environ une centaine de délégués et hommes d'affaires britanniques ont pris part, mardi, à la chambre des lords à Londres, à une rencontre organisée par le Conseil d'affaires algéro-britannique (ABBC), destinée à promouvoir les échanges économiques entre l'Algérie et le Royaume-Uni. Ouvrant les travaux, le Sénateur Waverley a mis en exergue l'importance pour les compagnies britanniques afin de s'impliquer davantage dans un marché émergent et surtout "d'exploiter les potentialités offertes par l'Algérie dans des domaines autres que l'énergie, traditionnellement connue des Britanniques", selon l'agence de presse. Pour sa part, l'ambassadeur d'Algérie en Grande-Bretagne, Amar Abba, invité d'honneur de la rencontre, a souligné, dans son intervention, «la croissance remarquable des relations économiques entre les deux pays enregistrée au cours des dernières années». Présentant le plan quinquennal doté d'une enveloppe financière de 286 milliards de dollars, il a invité les compagnies britanniques à prendre part aux projets multisectoriels inscrits dans ce plan. Des échanges d'informations sur le marché algérien axés sur les opportunités d'affaires entre l'Algérie la Grande-Bretagne ont marqué cette rencontre. Un grand nombre de sociétés, notamment du secteur du tourisme, prennent part pour la première fois à ce genre de rencontres afin de découvrir les opportunités d'affaires en Algérie, a-t-on constaté sur place. Les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Grande-Bretagne avaient atteint en 2010, selon les chiffres des Douanes algériennes, plus de 2 milliards de dollars, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771 millions de dollars d'importations. En 2010, la Grande-Bretagne a été classée 13è client de l'Algérie et également son 13è fournisseur. La Grande-Bretagne est notamment présente en Algérie dans le secteur pétrolier avec Shell et British Petroleum qui travaillent sur les champs pétrolifères de Hassi Messaoud, mais qui entretiennent aussi des relations de partenariat durables avec l'entreprise nationale des hydrocarbures Sonatrach. Algérie-Grande-Bretagne : un partenariat d'affaires multiforme En principe, les deux délégations devront aboutir à un consensus de nature à dynamiser davantage le partenariat et la joint-venture entre les firmes britanniques et les entreprises algériennes. Le climat des affaires et l'environnement des investissements, ainsi que la règlementation en vigueur en Algérie, notamment pour ce qui est du principe de 51% et 49% en matière de partage de capital entre les entreprises algériennes et leurs partenaires étrangers, ont été maintes fois vulgarisés à Londres, en présence d'industriels et hommes d'affaires du Royaume-Uni. Le représentant de Jacobs engineering a fait part du projet de cette société de s'implanter en Algérie vu «le besoin en études d'expertise dans ce pays où les projets foisonnent». Par ailleurs, John Pinninger, promoteur de tourisme représentant "Prime World", a déclaré à l'APS que «nous recherchons un partenariat pour promouvoir le tourisme dans le sud algérien». Il ajoute que «l'Algérie présente des atouts remarquables dans ce domaine et peut être une destination de choix pour les touristes anglais». Pour faire connaître davantage l'Algérie, ABBC compte conduire deux importantes missions économiques en Algérie au cours de l'année 2011, dont l'une à Hassi Messaoud, a déclaré le directeur du Conseil d'affaires algéro-britannique, Michael Thomas. «Nous allons conduire deux missions économiques en Algérie, dont l'une pour la première fois à Hassi Messaoud», a affirmé Thomas, en marge de la rencontre d'affaires. Par ailleurs, le directeur de la Middle East Association (MEA) Charles Hollis, a fait part du projet de la conduite d'une seconde délégation d'opérateurs économiques à Alger en septembre prochain après celle de janvier dernier qui avait regroupé 35 hommes d'affaires de différents secteurs. «Le marché algérien est ouvert et bouge, ce qui explique cette nouvelle dynamique de la part des compagnies britanniques pour l'Algérie», a souligné Hollis. Les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Grande-Bretagne avaient atteint en 2010, selon les chiffres des Douanes algériennes, plus de 2 milliards de dollars, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771 millions de dollars d'importations. La procession des délégations d'hommes d'affaires britanniques va, certainement, s'accroître durant l'année en cours et en 2012, afin d'optimiser les formes de partenariat et dénicher d'autres opportunités de coopération en vue de piloter des projets communs. En effet, environ une centaine de délégués et hommes d'affaires britanniques ont pris part, mardi, à la chambre des lords à Londres, à une rencontre organisée par le Conseil d'affaires algéro-britannique (ABBC), destinée à promouvoir les échanges économiques entre l'Algérie et le Royaume-Uni. Ouvrant les travaux, le Sénateur Waverley a mis en exergue l'importance pour les compagnies britanniques afin de s'impliquer davantage dans un marché émergent et surtout "d'exploiter les potentialités offertes par l'Algérie dans des domaines autres que l'énergie, traditionnellement connue des Britanniques", selon l'agence de presse. Pour sa part, l'ambassadeur d'Algérie en Grande-Bretagne, Amar Abba, invité d'honneur de la rencontre, a souligné, dans son intervention, «la croissance remarquable des relations économiques entre les deux pays enregistrée au cours des dernières années». Présentant le plan quinquennal doté d'une enveloppe financière de 286 milliards de dollars, il a invité les compagnies britanniques à prendre part aux projets multisectoriels inscrits dans ce plan. Des échanges d'informations sur le marché algérien axés sur les opportunités d'affaires entre l'Algérie la Grande-Bretagne ont marqué cette rencontre. Un grand nombre de sociétés, notamment du secteur du tourisme, prennent part pour la première fois à ce genre de rencontres afin de découvrir les opportunités d'affaires en Algérie, a-t-on constaté sur place. Les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Grande-Bretagne avaient atteint en 2010, selon les chiffres des Douanes algériennes, plus de 2 milliards de dollars, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771 millions de dollars d'importations. En 2010, la Grande-Bretagne a été classée 13è client de l'Algérie et également son 13è fournisseur. La Grande-Bretagne est notamment présente en Algérie dans le secteur pétrolier avec Shell et British Petroleum qui travaillent sur les champs pétrolifères de Hassi Messaoud, mais qui entretiennent aussi des relations de partenariat durables avec l'entreprise nationale des hydrocarbures Sonatrach. Algérie-Grande-Bretagne : un partenariat d'affaires multiforme En principe, les deux délégations devront aboutir à un consensus de nature à dynamiser davantage le partenariat et la joint-venture entre les firmes britanniques et les entreprises algériennes. Le climat des affaires et l'environnement des investissements, ainsi que la règlementation en vigueur en Algérie, notamment pour ce qui est du principe de 51% et 49% en matière de partage de capital entre les entreprises algériennes et leurs partenaires étrangers, ont été maintes fois vulgarisés à Londres, en présence d'industriels et hommes d'affaires du Royaume-Uni. Le représentant de Jacobs engineering a fait part du projet de cette société de s'implanter en Algérie vu «le besoin en études d'expertise dans ce pays où les projets foisonnent». Par ailleurs, John Pinninger, promoteur de tourisme représentant "Prime World", a déclaré à l'APS que «nous recherchons un partenariat pour promouvoir le tourisme dans le sud algérien». Il ajoute que «l'Algérie présente des atouts remarquables dans ce domaine et peut être une destination de choix pour les touristes anglais». Pour faire connaître davantage l'Algérie, ABBC compte conduire deux importantes missions économiques en Algérie au cours de l'année 2011, dont l'une à Hassi Messaoud, a déclaré le directeur du Conseil d'affaires algéro-britannique, Michael Thomas. «Nous allons conduire deux missions économiques en Algérie, dont l'une pour la première fois à Hassi Messaoud», a affirmé Thomas, en marge de la rencontre d'affaires. Par ailleurs, le directeur de la Middle East Association (MEA) Charles Hollis, a fait part du projet de la conduite d'une seconde délégation d'opérateurs économiques à Alger en septembre prochain après celle de janvier dernier qui avait regroupé 35 hommes d'affaires de différents secteurs. «Le marché algérien est ouvert et bouge, ce qui explique cette nouvelle dynamique de la part des compagnies britanniques pour l'Algérie», a souligné Hollis. Les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Grande-Bretagne avaient atteint en 2010, selon les chiffres des Douanes algériennes, plus de 2 milliards de dollars, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771 millions de dollars d'importations. La procession des délégations d'hommes d'affaires britanniques va, certainement, s'accroître durant l'année en cours et en 2012, afin d'optimiser les formes de partenariat et dénicher d'autres opportunités de coopération en vue de piloter des projets communs.