Tout comme à l'ouverture, les Tlemceniens, n'ont pas pu rentrer chez eux, la soirée du mercredi dernier où a eu lieu la clôture de la semaine saoudienne qui avait débuté le 19 du mois en cours. Chant, danse et folklore ont été encore une fois au rendez-vous pour faire sortir toute la ville et se habitants de leurs calme. Tout comme à l'ouverture, les Tlemceniens, n'ont pas pu rentrer chez eux, la soirée du mercredi dernier où a eu lieu la clôture de la semaine saoudienne qui avait débuté le 19 du mois en cours. Chant, danse et folklore ont été encore une fois au rendez-vous pour faire sortir toute la ville et se habitants de leurs calme. Dans une salle archi-comble, les troupes saoudiennes, ont fait bouger tout le monde même les haut responsables de la cultures des deux pays, puisque le représentant du ministère algérien de la Culture à côté de son homologue saoudien sont aussi montés sur scène pour danser la danse de l‘épée avec les jeunes danseurs saoudiens. La fête a commencé avec une fête de mariage à la traditionnelle, venant de l‘Arabie saoudite, ce pays lointain qui tient toujours à sa cultures islamique et ses coutumes et mythes. Des chanteurs connus à l‘instar du chanteur, compositeurs, Hassen Khairat ou encore M‘hamed el Benna, étaient présents à cette fête et ils ont chanté l‘amour et la patrie tout au long de la soirée. Une chanson dédiée à l‘Algérie et à son peuple «accueillant et généreux» a aussi été interprétée par El Benna. Pour raconter leurs traditions, une soixante dizaines d‘artistes ; musiciens, chanteurs, peintres et chorégraphes ont été tous au rendez-vous dans le but «de rapprocher les peuples à travers la culture». Tous les membres de la délégation, ont tenu dans cette soirée, «à remercier l‘Algérie, peuple et gouvernement pour le merveilleux accueil qui leur a été réservé», eux qui, «méconnaissaient notre pays et qui entendaient des choses très loin de la réalité mais retrouvée sur place», a dit le Dr Saleh Andallah El Mighilit, ministre de la Culture et des Relations internationales de l‘Arabie saoudite, président de la délégation. Quatre jours ont été donc suffisants pour les Algériens et les Tlemceniens en particulier pour découvrir la culture venue de «la terre sacrée», mais aussi pour les Saoudiens pour découvrir un pays qui jusque-là représentait, «la terreur et l‘insécurité». Les Saoudiens n‘ont pas hésité à exprimer «leur joie de découvrir la véritable Algérie qu‘ils craignaient avant de mettre leur pieds dans sa terre où ils ont trouvé hospitalité et générosité partout dans les rues de Tlemcen», nous ont affirmé les membres de la délégation qui ont fait le tour de la ville et ses marchés. Dans une salle archi-comble, les troupes saoudiennes, ont fait bouger tout le monde même les haut responsables de la cultures des deux pays, puisque le représentant du ministère algérien de la Culture à côté de son homologue saoudien sont aussi montés sur scène pour danser la danse de l‘épée avec les jeunes danseurs saoudiens. La fête a commencé avec une fête de mariage à la traditionnelle, venant de l‘Arabie saoudite, ce pays lointain qui tient toujours à sa cultures islamique et ses coutumes et mythes. Des chanteurs connus à l‘instar du chanteur, compositeurs, Hassen Khairat ou encore M‘hamed el Benna, étaient présents à cette fête et ils ont chanté l‘amour et la patrie tout au long de la soirée. Une chanson dédiée à l‘Algérie et à son peuple «accueillant et généreux» a aussi été interprétée par El Benna. Pour raconter leurs traditions, une soixante dizaines d‘artistes ; musiciens, chanteurs, peintres et chorégraphes ont été tous au rendez-vous dans le but «de rapprocher les peuples à travers la culture». Tous les membres de la délégation, ont tenu dans cette soirée, «à remercier l‘Algérie, peuple et gouvernement pour le merveilleux accueil qui leur a été réservé», eux qui, «méconnaissaient notre pays et qui entendaient des choses très loin de la réalité mais retrouvée sur place», a dit le Dr Saleh Andallah El Mighilit, ministre de la Culture et des Relations internationales de l‘Arabie saoudite, président de la délégation. Quatre jours ont été donc suffisants pour les Algériens et les Tlemceniens en particulier pour découvrir la culture venue de «la terre sacrée», mais aussi pour les Saoudiens pour découvrir un pays qui jusque-là représentait, «la terreur et l‘insécurité». Les Saoudiens n‘ont pas hésité à exprimer «leur joie de découvrir la véritable Algérie qu‘ils craignaient avant de mettre leur pieds dans sa terre où ils ont trouvé hospitalité et générosité partout dans les rues de Tlemcen», nous ont affirmé les membres de la délégation qui ont fait le tour de la ville et ses marchés.