Une session ordinaire du conseil national du Front des forces socialistes (FFS) s'ouvre demain au siège national du parti à Alger. A l'ordre du jour de cette réunion de deux jours figurent l'analyse de la situation politique du pays et les perspectives de développement du parti. Il s'agit de la première réunion organique pour le secrétariat national remanié sur décision du président du FFS, Hocine Aït Ahmed, avec notamment le retour de certains anciens membres dans sa composante et la mise en place d'un comité d'éthique dans lequel figure notamment un certain Ali Laskri. Cette réunion sera consacrée à la programmation estivale des activités du parti et les préparatifs des futures échéances politiques, notamment les prochaines élections législatives et municipales, bien que le FFS n'ait pas encore tranché sur sa participation. Le plus vieux parti de l'opposition, qui n'a pas daigné répondre favorablement à l'invitation de Abdelkader Bensalah pour prendre part aux consultations, devra également se prononcer sur les réformes politiques engagées par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le FFS, rappelons-le, a déjà engagé un débat avec la société civile récemment, où les participants ont critiqué vertement les Assises organisées par le Conseil national économique et social (CNES), destinées, selon eux, à noyer les vrais problèmes des Algériens. Le conseil national du FFS se penchera également sur les actions à entreprendre dans le cadre de la stratégie de rapprochement avec la société adoptée par le parti ces dernières années, une façon de se rapprocher le plus possible de la population et s'enquérir des réelles préoccupations politiques et sociales des Algériens. En tout état de cause, le réaménagement décidé par le président du parti dans la composante du secrétariat national est un prélude pour un retour en force sur la scène politique. Le FFS, qui a opté pour les meetings populaires en organisant deux rencontres dans la capitale, décidera de la poursuite de ses activités sur le terrain, ce qui renseigne sur ses ambitions électorales, dont les échéances se rapprochent à grandes enjambées. En attendant l'aboutissement des réformes politiques du chef de l'Etat, après un mois de consultations avec les différentes formations politiques, associations, organisations et personnalités politiques, le plus vieux parti de l'opposition, qui avait d'emblée rejeté ces propositions en se prononçant en faveur d'une assemblée constituante, devra définir, à l'issue de son conseil national, sa stratégie politique à mener auprès de la société. Une session ordinaire du conseil national du Front des forces socialistes (FFS) s'ouvre demain au siège national du parti à Alger. A l'ordre du jour de cette réunion de deux jours figurent l'analyse de la situation politique du pays et les perspectives de développement du parti. Il s'agit de la première réunion organique pour le secrétariat national remanié sur décision du président du FFS, Hocine Aït Ahmed, avec notamment le retour de certains anciens membres dans sa composante et la mise en place d'un comité d'éthique dans lequel figure notamment un certain Ali Laskri. Cette réunion sera consacrée à la programmation estivale des activités du parti et les préparatifs des futures échéances politiques, notamment les prochaines élections législatives et municipales, bien que le FFS n'ait pas encore tranché sur sa participation. Le plus vieux parti de l'opposition, qui n'a pas daigné répondre favorablement à l'invitation de Abdelkader Bensalah pour prendre part aux consultations, devra également se prononcer sur les réformes politiques engagées par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le FFS, rappelons-le, a déjà engagé un débat avec la société civile récemment, où les participants ont critiqué vertement les Assises organisées par le Conseil national économique et social (CNES), destinées, selon eux, à noyer les vrais problèmes des Algériens. Le conseil national du FFS se penchera également sur les actions à entreprendre dans le cadre de la stratégie de rapprochement avec la société adoptée par le parti ces dernières années, une façon de se rapprocher le plus possible de la population et s'enquérir des réelles préoccupations politiques et sociales des Algériens. En tout état de cause, le réaménagement décidé par le président du parti dans la composante du secrétariat national est un prélude pour un retour en force sur la scène politique. Le FFS, qui a opté pour les meetings populaires en organisant deux rencontres dans la capitale, décidera de la poursuite de ses activités sur le terrain, ce qui renseigne sur ses ambitions électorales, dont les échéances se rapprochent à grandes enjambées. En attendant l'aboutissement des réformes politiques du chef de l'Etat, après un mois de consultations avec les différentes formations politiques, associations, organisations et personnalités politiques, le plus vieux parti de l'opposition, qui avait d'emblée rejeté ces propositions en se prononçant en faveur d'une assemblée constituante, devra définir, à l'issue de son conseil national, sa stratégie politique à mener auprès de la société.