Les puissances mondiales et régionales réunies, vendredi 15 juillet, dans le groupe de contact sur la Libye ont pleinement reconnu la rébellion, ce qui leur permettra de lui apporter l'aide financière qu'elle réclame pour combattre le régime du colonel Kadhafi selon le journal Le Monde. Le groupe de contact, qui rassemble les pays de l'Otan et des puissances arabes, reconnaît désormais le Conseil national de transition (CNT), organe politique des rebelles, comme «l'autorité gouvernementale légitime» du pays, selon la déclaration finale de la réunion du groupe à Istanbul. Le groupe de contact réclame en outre le départ de M. Kadhafi «selon des étapes définies qui seront annoncées publiquement», et demande aux rebelles de travailler sans délai à établir un gouvernement de transition. En marge de la réunion, le ministre des affaires étrangères français, Alain Juppé, a déclaré que cette décision signifiait que «nous allons pouvoir dégeler un certain nombre d'avoirs appartenant à l'Etat libyen puisque que c'est le CNT qui exerce désormais cette responsabilité». Le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté en février des sanctions économiques contre le régime de Tripoli, incluant le gel des avoirs de la famille et des personnalité proches du colonel Mouammar Kadhafi. Le CNT réclamait la rétrocession de ces avoirs à la rébellion. «Reconnaissez un million de fois le soi-disant Conseil national de transition, cela n'a aucune portée pour le peuple libyen», a déclaré M. Kadhafi dans un message à des milliers de ses partisans rassemblés à Zliten, à 150 kilomètres à l'est de Tripoli. Dans son message diffusé par des haut-parleurs, le dirigeant libyen a estimé sur un ton ironique qu'il n'imaginait pas un jour que 'le peuple libyen héroïque soit représenté par une poignée de traîtres qui ont ouvert les portes de Benghazi à des forces croisées' Les puissances mondiales et régionales réunies, vendredi 15 juillet, dans le groupe de contact sur la Libye ont pleinement reconnu la rébellion, ce qui leur permettra de lui apporter l'aide financière qu'elle réclame pour combattre le régime du colonel Kadhafi selon le journal Le Monde. Le groupe de contact, qui rassemble les pays de l'Otan et des puissances arabes, reconnaît désormais le Conseil national de transition (CNT), organe politique des rebelles, comme «l'autorité gouvernementale légitime» du pays, selon la déclaration finale de la réunion du groupe à Istanbul. Le groupe de contact réclame en outre le départ de M. Kadhafi «selon des étapes définies qui seront annoncées publiquement», et demande aux rebelles de travailler sans délai à établir un gouvernement de transition. En marge de la réunion, le ministre des affaires étrangères français, Alain Juppé, a déclaré que cette décision signifiait que «nous allons pouvoir dégeler un certain nombre d'avoirs appartenant à l'Etat libyen puisque que c'est le CNT qui exerce désormais cette responsabilité». Le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté en février des sanctions économiques contre le régime de Tripoli, incluant le gel des avoirs de la famille et des personnalité proches du colonel Mouammar Kadhafi. Le CNT réclamait la rétrocession de ces avoirs à la rébellion. «Reconnaissez un million de fois le soi-disant Conseil national de transition, cela n'a aucune portée pour le peuple libyen», a déclaré M. Kadhafi dans un message à des milliers de ses partisans rassemblés à Zliten, à 150 kilomètres à l'est de Tripoli. Dans son message diffusé par des haut-parleurs, le dirigeant libyen a estimé sur un ton ironique qu'il n'imaginait pas un jour que 'le peuple libyen héroïque soit représenté par une poignée de traîtres qui ont ouvert les portes de Benghazi à des forces croisées'