Les prix des fruits et légumes ont grimpé sensiblement en ces premiers jours de Ramadhan dans la wilaya de Boumerdès. Le consommateur s'est retrouvé entre le marteau et l'enclume et ne comprend plus les raisons d'une telle flambée qui ne dit pas son nom. Les prix des fruits et légumes ont grimpé sensiblement en ces premiers jours de Ramadhan dans la wilaya de Boumerdès. Le consommateur s'est retrouvé entre le marteau et l'enclume et ne comprend plus les raisons d'une telle flambée qui ne dit pas son nom. La tendance haussière constatée à travers les marchés de fruits et légumes de toute la wilaya n'est certainement pas une majoration naturelle du fait de la demande et de l'offre. Mais, selon certains citoyens, le Ramadhan, pourtant mois sacré de bonté et de piété, est une période propice pour les commerçants pour s'enrichir. On constate que même les produits de saison, à l'exemple de la tomate, sont inaccessibles, notamment dans les régions où ces produits sont cultivés. De ce fait, les petites et moyennes bourses sont mises à rudes épreuves. A titre d'exemple, les carottes sont cédées à 60 DA, les pommes de terre sont à 35 DA, les fèves à 50 DA pour ne citer que ces exemples au niveau du marché des fruits et légumes de Boudouaou. Les consommateurs se posent d'ores et déjà des questions. Qu'elle est la cause de cette flambée ? Où sont les services de contrôle de marché ? A qui profite cette hausse vertigineuse des prix ? Pour certains commerçants, la flambée des prix est due, notamment, à l'augmentation des prix par les grossistes de fruits et légumes. Ces grossistes ont, selon des commerçants, un monopole sur le marché. Ces derniers, selon un commerçant «stockent de la marchandise afin de créer une situation d'insuffisance. Une fois le but atteint, les grossistes sortent leurs marchandises et appliquent des prix dépassant toute logique». D'autres pensent que le manque de marché de gros dans la wilaya accentue la pression sur les autres marchés qui appliquent des prix exorbitants. Cela sans ajouter les frais liés au chargement et au transport de la marchandise. Idem pour les fruits qui ont, également, connu une hausse vertigineuse ces derniers dix jours. Même les fruits de saison, comme les pastèques, sont chers et ne sont pas à la portée de tout le monde. Au marché des Issers, le kilogramme de la pastèque est cédé à 40 DA alors que ce produit saisonnier est cultivé localement. Par ailleurs, plusieurs citoyens imputent cette hausse à l'absence de contrôle régulier au niveau des marchés. Ils estiment que le marché doit être régulé par l'Etat et ce, afin que le consommateur ne soit pas pénalisé. La tendance haussière constatée à travers les marchés de fruits et légumes de toute la wilaya n'est certainement pas une majoration naturelle du fait de la demande et de l'offre. Mais, selon certains citoyens, le Ramadhan, pourtant mois sacré de bonté et de piété, est une période propice pour les commerçants pour s'enrichir. On constate que même les produits de saison, à l'exemple de la tomate, sont inaccessibles, notamment dans les régions où ces produits sont cultivés. De ce fait, les petites et moyennes bourses sont mises à rudes épreuves. A titre d'exemple, les carottes sont cédées à 60 DA, les pommes de terre sont à 35 DA, les fèves à 50 DA pour ne citer que ces exemples au niveau du marché des fruits et légumes de Boudouaou. Les consommateurs se posent d'ores et déjà des questions. Qu'elle est la cause de cette flambée ? Où sont les services de contrôle de marché ? A qui profite cette hausse vertigineuse des prix ? Pour certains commerçants, la flambée des prix est due, notamment, à l'augmentation des prix par les grossistes de fruits et légumes. Ces grossistes ont, selon des commerçants, un monopole sur le marché. Ces derniers, selon un commerçant «stockent de la marchandise afin de créer une situation d'insuffisance. Une fois le but atteint, les grossistes sortent leurs marchandises et appliquent des prix dépassant toute logique». D'autres pensent que le manque de marché de gros dans la wilaya accentue la pression sur les autres marchés qui appliquent des prix exorbitants. Cela sans ajouter les frais liés au chargement et au transport de la marchandise. Idem pour les fruits qui ont, également, connu une hausse vertigineuse ces derniers dix jours. Même les fruits de saison, comme les pastèques, sont chers et ne sont pas à la portée de tout le monde. Au marché des Issers, le kilogramme de la pastèque est cédé à 40 DA alors que ce produit saisonnier est cultivé localement. Par ailleurs, plusieurs citoyens imputent cette hausse à l'absence de contrôle régulier au niveau des marchés. Ils estiment que le marché doit être régulé par l'Etat et ce, afin que le consommateur ne soit pas pénalisé.