Les émeutes ont fait au moins cinq morts. La police a annoncé ce vendredi le décès de la cinquième victime, un homme de 68 ans qui a été retrouvé grièvement blessé lundi soir à Ealing, banlieue de l'ouest de Londres alors en proie à des troubles. Le Premier ministre britannique David Cameron a dévoilé jeudi de nouvelles mesures anti-émeutes, n'excluant pas le recours à l'armée à l'avenir, alors que le calme est revenu pour la deuxième nuit, jeudi soir, après quatre jours consécutifs de violences. Devant le Parlement réuni en session extraordinaire jeudi, David Cameron a annoncé des pouvoirs supplémentaires pour les policiers, notamment celui d'enlever foulards, masques et autres cagoules dissimulant le visage des personnes soupçonnées d'activité criminelles. Nombre de pillards avaient le visage caché, compliquant leur identification sur les images de vidéo-surveillance, et ce alors que la police a mis en ligne sur son site des photos tirées de vidéos de casseurs et demande aux internautes d'aider à les identifier. Les autorités réfléchissent aussi à la possibilité d'appliquer un couvre-feu en cas de troubles et d'empêcher l'utilisation des réseaux sociaux et des services de messageries aux personnes qui s'en servent à des fins criminelles. Les émeutes ont fait au moins cinq morts. La police a annoncé ce vendredi le décès de la cinquième victime, un homme de 68 ans qui a été retrouvé grièvement blessé lundi soir à Ealing, banlieue de l'ouest de Londres alors en proie à des troubles. Le Premier ministre britannique David Cameron a dévoilé jeudi de nouvelles mesures anti-émeutes, n'excluant pas le recours à l'armée à l'avenir, alors que le calme est revenu pour la deuxième nuit, jeudi soir, après quatre jours consécutifs de violences. Devant le Parlement réuni en session extraordinaire jeudi, David Cameron a annoncé des pouvoirs supplémentaires pour les policiers, notamment celui d'enlever foulards, masques et autres cagoules dissimulant le visage des personnes soupçonnées d'activité criminelles. Nombre de pillards avaient le visage caché, compliquant leur identification sur les images de vidéo-surveillance, et ce alors que la police a mis en ligne sur son site des photos tirées de vidéos de casseurs et demande aux internautes d'aider à les identifier. Les autorités réfléchissent aussi à la possibilité d'appliquer un couvre-feu en cas de troubles et d'empêcher l'utilisation des réseaux sociaux et des services de messageries aux personnes qui s'en servent à des fins criminelles.