Il y a dix ans jour par jour, les Etats-Unis d'Amérique découvrent la nécessité, voire l'urgence de combattre l'extrémisme et le terrorisme. Les attaques perpétrées contre les deux tours du World Trade Center de la ville de New York, du siège du Pentagone à Washington, ont changé à jamais la vision que les Américains avaient, jusque-là, du phénomène du terrorisme dont a souffert l'Algérie durant de longues années. Il y a dix ans jour par jour, les Etats-Unis d'Amérique découvrent la nécessité, voire l'urgence de combattre l'extrémisme et le terrorisme. Les attaques perpétrées contre les deux tours du World Trade Center de la ville de New York, du siège du Pentagone à Washington, ont changé à jamais la vision que les Américains avaient, jusque-là, du phénomène du terrorisme dont a souffert l'Algérie durant de longues années. En ce jour du 11 septembre 2001, plus de 3.000 personnes ont trouvé la mort dans l'effondrement des deux tours jumelles. Parmi les victimes, étaient non seulement des Américains mais d'autres originaires de 90 pays différents. Il faut le dire, l'attaque des deux tours jumelles a démontré au reste du monde le danger que l'extrémisme et le terrorisme peuvent représenter. Dans un message, à l'occasion du dixième anniversaire des attentats, l'ambassadeur américain à Alger, M. Henry S. Ensher, a déclaré que «le 11 Septembre a été un réveil brutal pour l'Amérique». Et M. Ensher de rappeler : «Mais de nombreux innocents avaient déjà fait face au mal qu'est le terrorisme. L'Algérie a, en particulier, souffert durant les années 1990, lorsque les gens vivaient dans la peur constante de la menace de la violence.» Durant cette période noire de l'histoire algérienne, le pays a payé un lourd tribut, notamment en vies humaines. A ce titre, M. Ensher, affirme que le chiffre de 200.000 victimes algériennes ayant trouvé la mort durant cette décennie noir est «incompréhensible, sans justification ni prétexte». La menace terroriste demeure permanente, car, a-t-il rappelé, «ceux qui ont perpétré cette violence sont encore en mesure de détruire des vies». Soulignant l'excellence des relations bilatérales entre l'Algérie et les Etats-Unis, en principal lieu en matière de lutte antiterroriste, M. Ensher a rappelé le rôle de l'Algérie, en affirmant : «Après les attentats du 11 Septembre 2001, l'Algérie a été une des premières nations à les condamner et à exprimer ses sincères condoléances. Notre forte relation bilatérale n'a depuis fait que grandir.» Aujourd'hui, la communauté internationale n'a qu'un seul mot d'ordre : combattre le terrorisme. Pour ce faire, le diplomate américain précise qu'«à travers les efforts conjoints de la communauté internationale, nous pouvons bloquer les capacités des groupes terroristes dans le recrutement, la formation et le financement de leurs activités». Et de poursuivre : «Nous sommes dévoués à travailler avec nos partenaires pour déraciner le terrorisme.» Dix ans après l'attentat, l'esprit des Américains reste hanté par la peur constante de voir de tels actes se reproduire sur leur sol. Le gouvernement américain, après les attentats, a renforcé ses moyens de lutte antiterroriste, en optant, notamment, pour un échange et partage d'information avec d'autres pays, en particulier l'Algérie. En consentant à unir les efforts de différents pays, explique l'ambassadeur, «nous envoyons un message unifié : le terrorisme ne prévaudra pas. Il n'a pas religion. Il n'a pas de pays. Il n'a pas de futur». Grâce à cette stratégie, conclut-il, «nous demeurons vigilants et nous continuerons nos vies sans peur, avec la confiance et la conviction côte à côte avec nos alliés». En ce jour du 11 septembre 2001, plus de 3.000 personnes ont trouvé la mort dans l'effondrement des deux tours jumelles. Parmi les victimes, étaient non seulement des Américains mais d'autres originaires de 90 pays différents. Il faut le dire, l'attaque des deux tours jumelles a démontré au reste du monde le danger que l'extrémisme et le terrorisme peuvent représenter. Dans un message, à l'occasion du dixième anniversaire des attentats, l'ambassadeur américain à Alger, M. Henry S. Ensher, a déclaré que «le 11 Septembre a été un réveil brutal pour l'Amérique». Et M. Ensher de rappeler : «Mais de nombreux innocents avaient déjà fait face au mal qu'est le terrorisme. L'Algérie a, en particulier, souffert durant les années 1990, lorsque les gens vivaient dans la peur constante de la menace de la violence.» Durant cette période noire de l'histoire algérienne, le pays a payé un lourd tribut, notamment en vies humaines. A ce titre, M. Ensher, affirme que le chiffre de 200.000 victimes algériennes ayant trouvé la mort durant cette décennie noir est «incompréhensible, sans justification ni prétexte». La menace terroriste demeure permanente, car, a-t-il rappelé, «ceux qui ont perpétré cette violence sont encore en mesure de détruire des vies». Soulignant l'excellence des relations bilatérales entre l'Algérie et les Etats-Unis, en principal lieu en matière de lutte antiterroriste, M. Ensher a rappelé le rôle de l'Algérie, en affirmant : «Après les attentats du 11 Septembre 2001, l'Algérie a été une des premières nations à les condamner et à exprimer ses sincères condoléances. Notre forte relation bilatérale n'a depuis fait que grandir.» Aujourd'hui, la communauté internationale n'a qu'un seul mot d'ordre : combattre le terrorisme. Pour ce faire, le diplomate américain précise qu'«à travers les efforts conjoints de la communauté internationale, nous pouvons bloquer les capacités des groupes terroristes dans le recrutement, la formation et le financement de leurs activités». Et de poursuivre : «Nous sommes dévoués à travailler avec nos partenaires pour déraciner le terrorisme.» Dix ans après l'attentat, l'esprit des Américains reste hanté par la peur constante de voir de tels actes se reproduire sur leur sol. Le gouvernement américain, après les attentats, a renforcé ses moyens de lutte antiterroriste, en optant, notamment, pour un échange et partage d'information avec d'autres pays, en particulier l'Algérie. En consentant à unir les efforts de différents pays, explique l'ambassadeur, «nous envoyons un message unifié : le terrorisme ne prévaudra pas. Il n'a pas religion. Il n'a pas de pays. Il n'a pas de futur». Grâce à cette stratégie, conclut-il, «nous demeurons vigilants et nous continuerons nos vies sans peur, avec la confiance et la conviction côte à côte avec nos alliés».