La bataille opposant le ministère de l'Education nationale aux syndicats grévistes, depuis dimanche dernier, semble connaître une trêve. A l'exception de l'Union nationale du personnel de l'éducation et de la formation (UNPEF), qui a décidé de maintenir son mouvement de grève, les autres syndicats ont décidé de suspendre le débrayage. A l'issue d'une entente, les potaches pourront dès demain rejoindre leurs bancs. C'est jeudi que le Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE) a décidé de suspendre la grève. Selon son secrétaire général, Abdelkrim Boudjnah, la décision de suspendre la grève «intervient suite à la signature d'un procès-verbal commun avec le ministère de l'Education nationale dans lequel ce dernier s'engage à appliquer tout ce dont il été convenu dans ce procès-verbal». De son côté, le coordinateur national du Syndicat national autonome des enseignants du secondaire, Meziane Meriane, a indiqué que le bureau national de son syndicat «prendra sa décision finale quant au maintien ou non de la grève demain vendredi (hier Ndlr) lors d'une réunion extraordinaire». M. Meriane s'est félicité du bon déroulement de la rencontre qu'il a eue, jeudi, avec les responsables du ministère de l'Education nationale. Côté Unpef (Union nationale des professeurs de l'éducation et de la formation), le procès-verbal commun avec la tutelle «n'a pas encore été signé, mais la tendance va vers la suspension de la grève en début de semaine» avec la tenue de la réunion d'urgence du conseil national du syndicat qui est le seul habilité à décider de la suspension ou non de la grève après consultation des bases des travailleurs au niveau des wilayas, fait savoir son secrétaire général adjoint, M. Lamraoui. Rappelons que mercredi dernier, la Fédération nationale des travailleurs de l'éducation (FNTE), relevant de la fonction publique, a opté pour la reprise du travail. D'après son président, Belamouri Laghlid, la décision de suspendre la grève intervenait suite «à la satisfaction par le ministère de l'Education des revendications soulevées, notamment l'augmentation des salaires à travers l'instauration de nouvelles indemnités de 15% du salaire principal et l'augmentation des taux de l'indemnité de qualification entre 40% à 45%, contre 25% et 30% auparavant, avec effet rétroactif à partir du 1er janvier 2008». Pour sa part, le secrétaire général du Syndicat algérien des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef), Amoura Boualem, a déclaré que le conseil national du syndicat a décidé, lors de sa session extraordinaire tenue mercredi, de reprendre le travail à partir de dimanche prochain. Notons, enfin, que le Conseil des lycées d'Algérie avait, également, opté pour la suspension de sa grève cyclique de 3 jours. La bataille opposant le ministère de l'Education nationale aux syndicats grévistes, depuis dimanche dernier, semble connaître une trêve. A l'exception de l'Union nationale du personnel de l'éducation et de la formation (UNPEF), qui a décidé de maintenir son mouvement de grève, les autres syndicats ont décidé de suspendre le débrayage. A l'issue d'une entente, les potaches pourront dès demain rejoindre leurs bancs. C'est jeudi que le Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE) a décidé de suspendre la grève. Selon son secrétaire général, Abdelkrim Boudjnah, la décision de suspendre la grève «intervient suite à la signature d'un procès-verbal commun avec le ministère de l'Education nationale dans lequel ce dernier s'engage à appliquer tout ce dont il été convenu dans ce procès-verbal». De son côté, le coordinateur national du Syndicat national autonome des enseignants du secondaire, Meziane Meriane, a indiqué que le bureau national de son syndicat «prendra sa décision finale quant au maintien ou non de la grève demain vendredi (hier Ndlr) lors d'une réunion extraordinaire». M. Meriane s'est félicité du bon déroulement de la rencontre qu'il a eue, jeudi, avec les responsables du ministère de l'Education nationale. Côté Unpef (Union nationale des professeurs de l'éducation et de la formation), le procès-verbal commun avec la tutelle «n'a pas encore été signé, mais la tendance va vers la suspension de la grève en début de semaine» avec la tenue de la réunion d'urgence du conseil national du syndicat qui est le seul habilité à décider de la suspension ou non de la grève après consultation des bases des travailleurs au niveau des wilayas, fait savoir son secrétaire général adjoint, M. Lamraoui. Rappelons que mercredi dernier, la Fédération nationale des travailleurs de l'éducation (FNTE), relevant de la fonction publique, a opté pour la reprise du travail. D'après son président, Belamouri Laghlid, la décision de suspendre la grève intervenait suite «à la satisfaction par le ministère de l'Education des revendications soulevées, notamment l'augmentation des salaires à travers l'instauration de nouvelles indemnités de 15% du salaire principal et l'augmentation des taux de l'indemnité de qualification entre 40% à 45%, contre 25% et 30% auparavant, avec effet rétroactif à partir du 1er janvier 2008». Pour sa part, le secrétaire général du Syndicat algérien des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef), Amoura Boualem, a déclaré que le conseil national du syndicat a décidé, lors de sa session extraordinaire tenue mercredi, de reprendre le travail à partir de dimanche prochain. Notons, enfin, que le Conseil des lycées d'Algérie avait, également, opté pour la suspension de sa grève cyclique de 3 jours.