Sale temps pour Belkhadem depuis que les redresseurs veulent sa peau. Sa légitimité est contestée, le comité central aussi. Pis encore, il est mis à l'index par les «redresseurs» au motif de s'acoquiner avec les militants affairistes. Des griefs, les dissidents n'en manquent pas comme les «fraudes dans les kasmas et mouhafadate». Des luttes intestines qui lui pourrissent la vie certes, mais ne lui font pas perdre le Nord même si, au demeurant, il sent que sa cote a baissé avec la conférence nationale des dissidents tenue, jeudi dernier, autorisée et, en prime, largement couverte par l'APS. Pour le numéro 1 du FLN, il n'est pas question de se fourvoyer, les échéances des législatives sont à notre porte et le SG du FLN entend bien se positionner avec l'ambition de la présidentielle, une succession qui se dispute dans la clandestinité, car il n'est pas seul sur les startings blocks. Il a un redoutable adversaire en la personne d'Ahmed Ouyahia, secrétaire général du RND, son ennemi juré. Aussi, Belkhadem veut battre le rappel de ses troupes et projette un conclave qui devrait se tenir dans les tous prochains jours. Des convocations en veux-tu,en-voilà à toutes les kasmas du pays pour tenir, lui aussi, «sa» réunion et probablement donné le change à ceux qui le discréditent et qui cherchent la rupture. Alors, Belkhadem en mauvaise posture ? Il s'en défend. Et pourtan il n'est pas en odeur de sainteté, le Monsieur déçu que le FIS dissous n'ait pas pu ressusciter, s'est même permis de refuser d'avaliser en critiquant les réformes proposées par le chef de l'Etat, lui qui s'est toujours contenté d'applaudir et d'appliquer scrupuleusement toutes les consignes. Cependant, en bon stratège qu'il est, il va reprendre son bâton de pèlerin pour partir en croisade contre les frondeurs, régler des comptes et redynamiser ses structures. Par un tour de passe-passe, pourra-t-il en sortir vainqueur. Si c'est oui, alors, ce sera comme d'habitude. Sale temps pour Belkhadem depuis que les redresseurs veulent sa peau. Sa légitimité est contestée, le comité central aussi. Pis encore, il est mis à l'index par les «redresseurs» au motif de s'acoquiner avec les militants affairistes. Des griefs, les dissidents n'en manquent pas comme les «fraudes dans les kasmas et mouhafadate». Des luttes intestines qui lui pourrissent la vie certes, mais ne lui font pas perdre le Nord même si, au demeurant, il sent que sa cote a baissé avec la conférence nationale des dissidents tenue, jeudi dernier, autorisée et, en prime, largement couverte par l'APS. Pour le numéro 1 du FLN, il n'est pas question de se fourvoyer, les échéances des législatives sont à notre porte et le SG du FLN entend bien se positionner avec l'ambition de la présidentielle, une succession qui se dispute dans la clandestinité, car il n'est pas seul sur les startings blocks. Il a un redoutable adversaire en la personne d'Ahmed Ouyahia, secrétaire général du RND, son ennemi juré. Aussi, Belkhadem veut battre le rappel de ses troupes et projette un conclave qui devrait se tenir dans les tous prochains jours. Des convocations en veux-tu,en-voilà à toutes les kasmas du pays pour tenir, lui aussi, «sa» réunion et probablement donné le change à ceux qui le discréditent et qui cherchent la rupture. Alors, Belkhadem en mauvaise posture ? Il s'en défend. Et pourtan il n'est pas en odeur de sainteté, le Monsieur déçu que le FIS dissous n'ait pas pu ressusciter, s'est même permis de refuser d'avaliser en critiquant les réformes proposées par le chef de l'Etat, lui qui s'est toujours contenté d'applaudir et d'appliquer scrupuleusement toutes les consignes. Cependant, en bon stratège qu'il est, il va reprendre son bâton de pèlerin pour partir en croisade contre les frondeurs, régler des comptes et redynamiser ses structures. Par un tour de passe-passe, pourra-t-il en sortir vainqueur. Si c'est oui, alors, ce sera comme d'habitude.