Le centre-ville de Tizi-Ouzou a complètement changé de look avec l'inauguration, avant-hier lundi, de la place du 17- Octobre-1961. Personne ne s'attendait à Tizi-Ouzou à une telle agréable surprise car cet endroit, qui devait être la vitrine de la capitale du Djurdjura, a été délaissé durant des années. Il était quotidiennement squatté par les voyous et les agresseurs. Pourtant, il s'agit d'un endroit stratégique puisqu'il est situé au cœur de la ville de Tizi-Ouzou, à proximité de la mosquée et de la station de bus la plus importante. Que de fois des citoyens ont été agressés et ont été délestés à proximité de ce désormais ex-jardin qui n'avait de jardin que le nom. Il était effectivement temps que cet espace soit réhabilité afin de refléter une meilleure image de la ville de Tizi- Ouzou, une image qui sied à un chef-lieu de wilaya digne de ce nom. Pas moins de trois ministres étaient présents, lundi passé, à l'occasion de l'inauguration. Il s'agit de Daho Ould Kablia, ministre de l'Intérieur, Moussa Benhamadi, ministre des Postes et des Technologies de la communication et de Mohamed Chérif Abbas, ministre des Moudjahidine. Etait aussi présent Saïd Abadou, secrétaire général de l'Organisation nationale des moudjahidine. C'est dans une ambiance de fête que s'est déroulée la cérémonie d'inauguration avec la diffusion de chants patriotiques et en présence d'une foule nombreuse de citoyens. D'ailleurs, durant toute la journée de lundi, les citoyens n'ont pas cessé d'affluer vers la place du 17-Octobre-1961 et de prendre des photos souvenir à proximité des trois jets d'eau et à côté de l'emblème national. Les citoyens souhaitent toutefois que la place en question reste dans cet état et ne soit pas abandonnée après la disparition de la liesse des premiers jours de l'inauguration. Retour du café littéraire Après une éclipse, qui a duré trois mois, le café littéraire animé par Malek Amirouche est de retour à Tizi-Ouzou. A partir de jeudi prochain, la salle du Petit théâtre de la maison de la culture Mouloud-Mammeri accueillera une fois par mois un écrivain de dimension nationale. C'est ce que nous a affirmé l'animateur de café littéraire, Amirouche Malek, rencontré hier à Tizi-Ouzou. Comme première invitée, notre interlocuteur annonce pour jeudi prochain à 14h l'écrivaine Andiana Lassel qui animera un débat autour du thème : « Cervantès et les morisques ». La rencontre sera animée par l'infatigable et prolifique auteure Djouher Amhis Ouksel. Amirouche Malek nous a confié qu'à l'occasion du dernier Salon international du livre d'Alger, il a pu entrer en contact avec plusieurs écrivains qui ont tous émis le vœu de venir à Tizi-Ouzou pour enrichir le débat littéraire. Il y a lieu enfin de déplorer que faute d'espaces culturels dans la ville de Tizi-Ouzou, le café littéraire ne pourra excéder neuf rencontres pour toute l'année. Ce qui est vraiment en deçà de la demande du public dans une ville où la vie littéraire est quasiment nulle et où l'activité culturelle est dominée par les activités folkloriques. Le centre-ville de Tizi-Ouzou a complètement changé de look avec l'inauguration, avant-hier lundi, de la place du 17- Octobre-1961. Personne ne s'attendait à Tizi-Ouzou à une telle agréable surprise car cet endroit, qui devait être la vitrine de la capitale du Djurdjura, a été délaissé durant des années. Il était quotidiennement squatté par les voyous et les agresseurs. Pourtant, il s'agit d'un endroit stratégique puisqu'il est situé au cœur de la ville de Tizi-Ouzou, à proximité de la mosquée et de la station de bus la plus importante. Que de fois des citoyens ont été agressés et ont été délestés à proximité de ce désormais ex-jardin qui n'avait de jardin que le nom. Il était effectivement temps que cet espace soit réhabilité afin de refléter une meilleure image de la ville de Tizi- Ouzou, une image qui sied à un chef-lieu de wilaya digne de ce nom. Pas moins de trois ministres étaient présents, lundi passé, à l'occasion de l'inauguration. Il s'agit de Daho Ould Kablia, ministre de l'Intérieur, Moussa Benhamadi, ministre des Postes et des Technologies de la communication et de Mohamed Chérif Abbas, ministre des Moudjahidine. Etait aussi présent Saïd Abadou, secrétaire général de l'Organisation nationale des moudjahidine. C'est dans une ambiance de fête que s'est déroulée la cérémonie d'inauguration avec la diffusion de chants patriotiques et en présence d'une foule nombreuse de citoyens. D'ailleurs, durant toute la journée de lundi, les citoyens n'ont pas cessé d'affluer vers la place du 17-Octobre-1961 et de prendre des photos souvenir à proximité des trois jets d'eau et à côté de l'emblème national. Les citoyens souhaitent toutefois que la place en question reste dans cet état et ne soit pas abandonnée après la disparition de la liesse des premiers jours de l'inauguration. Retour du café littéraire Après une éclipse, qui a duré trois mois, le café littéraire animé par Malek Amirouche est de retour à Tizi-Ouzou. A partir de jeudi prochain, la salle du Petit théâtre de la maison de la culture Mouloud-Mammeri accueillera une fois par mois un écrivain de dimension nationale. C'est ce que nous a affirmé l'animateur de café littéraire, Amirouche Malek, rencontré hier à Tizi-Ouzou. Comme première invitée, notre interlocuteur annonce pour jeudi prochain à 14h l'écrivaine Andiana Lassel qui animera un débat autour du thème : « Cervantès et les morisques ». La rencontre sera animée par l'infatigable et prolifique auteure Djouher Amhis Ouksel. Amirouche Malek nous a confié qu'à l'occasion du dernier Salon international du livre d'Alger, il a pu entrer en contact avec plusieurs écrivains qui ont tous émis le vœu de venir à Tizi-Ouzou pour enrichir le débat littéraire. Il y a lieu enfin de déplorer que faute d'espaces culturels dans la ville de Tizi-Ouzou, le café littéraire ne pourra excéder neuf rencontres pour toute l'année. Ce qui est vraiment en deçà de la demande du public dans une ville où la vie littéraire est quasiment nulle et où l'activité culturelle est dominée par les activités folkloriques.