Trois corporations syndicales, affiliées à l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), menacent de reprendre la contestation, si le ministère de l'Education nationale ne venait pas à abroger certaines dispositions du nouveau statut particulier des travailleurs du secteur. Il s'agit de la Commission nationale préparatoire des inspecteurs de l'enseignement primaire, la Commission nationale des enseignants-ingénieurs et la Commission nationale des enseignants certifiés, tous les trois affiliés au même syndicat autonome. En guise de contestation contre le projet de statut particulier, les inspecteurs du primaire menacent en effet de geler toutes leurs activités administratives, à l'instar de la désignation des directeurs d'établissements, de la réalisation d'infrastructures éducatives et l'inspection des écoles. Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, cette corporation syndicale appelle ses adhérents à se mobiliser contre « les tentatives de dispersion des rangs » et à rester attachés au projet de statut particulier proposé par les délégués de 18 wilayas, le 24 novembre dernier à Sidi Bel-Abbès. De son côté, la Commission nationale des enseignants-ingénieurs, tout en rejetant « la classification aberrante » de leur catégorie dans la nouvelle mouture du statut particulier, exhorte les autorités concernées à adopter des mesures justes et équitables pour tous les travailleurs en les classifiant au même échelon en adéquation avec leurs qualifications. Dans un communiqué rendu public, ce syndicat déplore le maintien des enseignants-ingénieurs dans le même échelon de classification, c'est-à-dire la 10-11. Enfin, la Commission nationale des enseignants certifiés ajoute son grain de sel, en dénonçant les nouvelles dispositions du statut particulier des travailleurs du secteur de l'Education nationale. Dans leur plateforme de revendications, ils suggèrent un nouveau décret qui « reflètera le caractère stratégique » du secteur de l'Education nationale, la valorisation des différents diplômes du secteur et les promotions d'office pour toutes les corporations du secteur « suivant des mécanismes bien précis ». Donc, le secteur de l'Education nationale va renouer avec la contestation après une accalmie relative, rendue possible grâce au vote concernant la gestion des œuvres sociales du secteur, le 7 décembre dernier. L'UNPEF, tout en bannissant le recours aux grèves cycliques, a opté cette fois-ci pour une autre forme de protestation. En boycottant certaines activités importantes, ce syndicat autonome veut forcer la main au ministère de tutelle afin de réviser certaines dispositions de la mouture du nouveau statut particulier de la corporation. Trois corporations syndicales, affiliées à l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), menacent de reprendre la contestation, si le ministère de l'Education nationale ne venait pas à abroger certaines dispositions du nouveau statut particulier des travailleurs du secteur. Il s'agit de la Commission nationale préparatoire des inspecteurs de l'enseignement primaire, la Commission nationale des enseignants-ingénieurs et la Commission nationale des enseignants certifiés, tous les trois affiliés au même syndicat autonome. En guise de contestation contre le projet de statut particulier, les inspecteurs du primaire menacent en effet de geler toutes leurs activités administratives, à l'instar de la désignation des directeurs d'établissements, de la réalisation d'infrastructures éducatives et l'inspection des écoles. Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, cette corporation syndicale appelle ses adhérents à se mobiliser contre « les tentatives de dispersion des rangs » et à rester attachés au projet de statut particulier proposé par les délégués de 18 wilayas, le 24 novembre dernier à Sidi Bel-Abbès. De son côté, la Commission nationale des enseignants-ingénieurs, tout en rejetant « la classification aberrante » de leur catégorie dans la nouvelle mouture du statut particulier, exhorte les autorités concernées à adopter des mesures justes et équitables pour tous les travailleurs en les classifiant au même échelon en adéquation avec leurs qualifications. Dans un communiqué rendu public, ce syndicat déplore le maintien des enseignants-ingénieurs dans le même échelon de classification, c'est-à-dire la 10-11. Enfin, la Commission nationale des enseignants certifiés ajoute son grain de sel, en dénonçant les nouvelles dispositions du statut particulier des travailleurs du secteur de l'Education nationale. Dans leur plateforme de revendications, ils suggèrent un nouveau décret qui « reflètera le caractère stratégique » du secteur de l'Education nationale, la valorisation des différents diplômes du secteur et les promotions d'office pour toutes les corporations du secteur « suivant des mécanismes bien précis ». Donc, le secteur de l'Education nationale va renouer avec la contestation après une accalmie relative, rendue possible grâce au vote concernant la gestion des œuvres sociales du secteur, le 7 décembre dernier. L'UNPEF, tout en bannissant le recours aux grèves cycliques, a opté cette fois-ci pour une autre forme de protestation. En boycottant certaines activités importantes, ce syndicat autonome veut forcer la main au ministère de tutelle afin de réviser certaines dispositions de la mouture du nouveau statut particulier de la corporation.