Militants de l'opposition congolaise brandissant un portrait du chef de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi, dans les rues de Kinshasa. Tshisekedi, qui revendique la victoire dans l'élection présidentielle du 28 novembre remportée par le président sortant Joseph Kabila, a été empêché par les forces de sécurité congolaises de prêter serment en tant que président de République démocratique du Congo (RDC) dans un stade de la capitale, bloquant son quartier et arrêtant plusieurs dizaines de ses partisans. L'opposant congolais revendique la victoire à l'élection présidentielle du 28 novembre remportée par le président sortant Joseph Kabila à l'issue d'un scrutin émaillé de nombreuses irrégularités, selon les observateurs internationaux. Plusieurs chars de la garde républicaine et des pick-up et des véhicules blindés des forces de sécurité avaient pris position dans la matinée aux abords du stade où devait se tenir la cérémonie d'investiture "parallèle" de Tshisekedi. Devant l'enceinte du stade, plusieurs centaines de partisans de l'opposant ont jeté des pierres sur les forces de sécurité avant d'être repoussés par les gaz lacrymogènes tirés par la police. Des dizaines de personnes ont été arrêtées. L'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS, opposition) n'a pas déposé de demande d'autorisation à manifester et les forces de sécurité tentent de rétablir le calme, a expliqué le chef de la police congolaise Charles Bisengimana. La police a bouclé tôt vendredi matin le quartier où se trouve la maison de Tshisekedi dans la capitale, empêchant quiconque de sortir ou d'entrer dans la zone, selon Rémy Masamba, porte-parole de l'UDPS. Au pouvoir depuis l'assassinat de son père en 2001, Joseph Kabila a été officiellement investi mardi pour un nouveau mandat à la tête du pays. Plus de 40 personnes ont été tuées dans les violences électorales, selon l'organisation Human Rights Watch. Militants de l'opposition congolaise brandissant un portrait du chef de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi, dans les rues de Kinshasa. Tshisekedi, qui revendique la victoire dans l'élection présidentielle du 28 novembre remportée par le président sortant Joseph Kabila, a été empêché par les forces de sécurité congolaises de prêter serment en tant que président de République démocratique du Congo (RDC) dans un stade de la capitale, bloquant son quartier et arrêtant plusieurs dizaines de ses partisans. L'opposant congolais revendique la victoire à l'élection présidentielle du 28 novembre remportée par le président sortant Joseph Kabila à l'issue d'un scrutin émaillé de nombreuses irrégularités, selon les observateurs internationaux. Plusieurs chars de la garde républicaine et des pick-up et des véhicules blindés des forces de sécurité avaient pris position dans la matinée aux abords du stade où devait se tenir la cérémonie d'investiture "parallèle" de Tshisekedi. Devant l'enceinte du stade, plusieurs centaines de partisans de l'opposant ont jeté des pierres sur les forces de sécurité avant d'être repoussés par les gaz lacrymogènes tirés par la police. Des dizaines de personnes ont été arrêtées. L'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS, opposition) n'a pas déposé de demande d'autorisation à manifester et les forces de sécurité tentent de rétablir le calme, a expliqué le chef de la police congolaise Charles Bisengimana. La police a bouclé tôt vendredi matin le quartier où se trouve la maison de Tshisekedi dans la capitale, empêchant quiconque de sortir ou d'entrer dans la zone, selon Rémy Masamba, porte-parole de l'UDPS. Au pouvoir depuis l'assassinat de son père en 2001, Joseph Kabila a été officiellement investi mardi pour un nouveau mandat à la tête du pays. Plus de 40 personnes ont été tuées dans les violences électorales, selon l'organisation Human Rights Watch.