Le contrôle technique automobile qui existe depuis 2003 se poursuit normalement selon les propos du premier responsable de cet organisme, Leghreib Abdallah qui était hier l'invité de la chaîne III. Depuis la création des agences, 15 millions de véhicules ont été contrôlés sur un parc national de 5,5 millions. Les véhicules de l'année 2010 seront expertisés selon un échéancier en rapport exact avec la date d'immatriculation. Abdallah Leghreib a tenu à souligner que la procédure mise en place permettait d'éviter les longues chaînes connues par le passé rebutant bon nombre d'automobilistes. La démarche du contrôle depuis l'année 2003 s'est faite progressivement en sélectionnant à ses débuts. Il a tenu à rassurer que les contrôles des organes vitaux tels que le freinage, la suspension et la directiondu véhicule se font selon les normes internationales qui n'ont rien à envier aux voisins méditerranéens. L'Entreprise de contrôle automobile dénombre à ce jour 133 points de contrôle pour les véhicules légers et 65 pour les véhicules lourds. Quant aux véhicules usagés la réflexion sur leur éventuel retrait se détermine par rapport à la visite technique qui acquiesce de son maintien ou d'une mobilisation en cas de danger. Le danger, le mot est lâché car il serait fait état de 30% de véhicules usagés responsables d'accidents le plus souvent mortels. Faux, rétorquera Abdallah Leghreib qui s'insurge contre les personnes qui avancent des chiffres totalement farfelus et surtout infondés. «C'est une aberration ! On n'a pas le droit de mettre les gens dans l'erreur. Cessons de dire n'importe quoi ! » Les chiffres que l'on doit prendre en compte sont les chiffres qui sont l'émanation de gens sur le terrain comme la Gendarmerie nationale ou la Police routière qui eux seuls peuvent déterminer les facteurs. A la question de savoir si le parc est vieillissant, il répondra par la négative, bien au contraire on assiste à un rajeunissement massif du parc automobile. L'exploitation du contrôle montre que 208.746 voitures ont été immobilisées, 489.000 ont subi une contrevisite, ce qui donne en tout 689.746 véhicules retirés partiellement ou complètement de la circulation. Les véhicules concernés par l'immobilisation vont du véhicule particulier au transport de type 3 en passant par le lourd et le transport en commun. Mais il n'y a pas que les véhicules qui font l'objet d'un contrôle, les agences agréées sont elles aussi soumises à des inspections dont le suivi se fait par l'Enacta. On relèvera que pour l'année 2011, 13 agences ont été fermées pour non respect du cahier des charges, 68 contrôleurs sanctionnés par des avertissements et un retrait définitif d'agrément pour contrôle de complaisance. Les agences opérationnelles sont au nombre de 285 à travers le territoire national ainsi que 3 stations mobiles. Le réseau du Sud connaît une nette amélioration, Adrar possède trois agences et Tindouf une agence fixe. Il avait été aussi question de l'homologation obligatoire faite par l'entreprise pour les véhicules neufs ainsi que les pièces de rechange. A ce propos le directeur précisera que ce dossier est pris en charge par le ministère de l'Energie et des Mines. A charge pour le ministère des Transports d'assurer le contrôle périodique. Actuellement des spots à la TV et sur les chaînes de radio invitent les usagers à expertiser leur voiture sous peine d'amende voire d'emprisonnement. Abdallah Legrheib rappellera à ce titre que «le contrôle est un acte citoyen et que celui-ci a le devoir du respect de la voie publique». Son intervention se terminera par une note d'optimisme car les citoyens ont acquis des réflexes nouveaux en venant parfois avant la date du prochain contrôle et cela fait plaisir. Le contrôle technique automobile qui existe depuis 2003 se poursuit normalement selon les propos du premier responsable de cet organisme, Leghreib Abdallah qui était hier l'invité de la chaîne III. Depuis la création des agences, 15 millions de véhicules ont été contrôlés sur un parc national de 5,5 millions. Les véhicules de l'année 2010 seront expertisés selon un échéancier en rapport exact avec la date d'immatriculation. Abdallah Leghreib a tenu à souligner que la procédure mise en place permettait d'éviter les longues chaînes connues par le passé rebutant bon nombre d'automobilistes. La démarche du contrôle depuis l'année 2003 s'est faite progressivement en sélectionnant à ses débuts. Il a tenu à rassurer que les contrôles des organes vitaux tels que le freinage, la suspension et la directiondu véhicule se font selon les normes internationales qui n'ont rien à envier aux voisins méditerranéens. L'Entreprise de contrôle automobile dénombre à ce jour 133 points de contrôle pour les véhicules légers et 65 pour les véhicules lourds. Quant aux véhicules usagés la réflexion sur leur éventuel retrait se détermine par rapport à la visite technique qui acquiesce de son maintien ou d'une mobilisation en cas de danger. Le danger, le mot est lâché car il serait fait état de 30% de véhicules usagés responsables d'accidents le plus souvent mortels. Faux, rétorquera Abdallah Leghreib qui s'insurge contre les personnes qui avancent des chiffres totalement farfelus et surtout infondés. «C'est une aberration ! On n'a pas le droit de mettre les gens dans l'erreur. Cessons de dire n'importe quoi ! » Les chiffres que l'on doit prendre en compte sont les chiffres qui sont l'émanation de gens sur le terrain comme la Gendarmerie nationale ou la Police routière qui eux seuls peuvent déterminer les facteurs. A la question de savoir si le parc est vieillissant, il répondra par la négative, bien au contraire on assiste à un rajeunissement massif du parc automobile. L'exploitation du contrôle montre que 208.746 voitures ont été immobilisées, 489.000 ont subi une contrevisite, ce qui donne en tout 689.746 véhicules retirés partiellement ou complètement de la circulation. Les véhicules concernés par l'immobilisation vont du véhicule particulier au transport de type 3 en passant par le lourd et le transport en commun. Mais il n'y a pas que les véhicules qui font l'objet d'un contrôle, les agences agréées sont elles aussi soumises à des inspections dont le suivi se fait par l'Enacta. On relèvera que pour l'année 2011, 13 agences ont été fermées pour non respect du cahier des charges, 68 contrôleurs sanctionnés par des avertissements et un retrait définitif d'agrément pour contrôle de complaisance. Les agences opérationnelles sont au nombre de 285 à travers le territoire national ainsi que 3 stations mobiles. Le réseau du Sud connaît une nette amélioration, Adrar possède trois agences et Tindouf une agence fixe. Il avait été aussi question de l'homologation obligatoire faite par l'entreprise pour les véhicules neufs ainsi que les pièces de rechange. A ce propos le directeur précisera que ce dossier est pris en charge par le ministère de l'Energie et des Mines. A charge pour le ministère des Transports d'assurer le contrôle périodique. Actuellement des spots à la TV et sur les chaînes de radio invitent les usagers à expertiser leur voiture sous peine d'amende voire d'emprisonnement. Abdallah Legrheib rappellera à ce titre que «le contrôle est un acte citoyen et que celui-ci a le devoir du respect de la voie publique». Son intervention se terminera par une note d'optimisme car les citoyens ont acquis des réflexes nouveaux en venant parfois avant la date du prochain contrôle et cela fait plaisir.