Le Front des forces socialistes, FFS, n'a pas encore tranché quant à sa participation ou non aux prochaines élections législatives. C'est du moins ce qui a été annoncé, hier vendredi à Tizi-Ouzou, par Ali Laskri premier secrétaire du parti. Même la tenue, le 11 février prochain, de la convention nationale du parti ne servira pas d'occasion pour prendre la décision. Cette rencontre aura, en revanche, pour objectif de procéder à la réalisation d'une synthèse des débats effectués au sein des différentes structures du parti à l'échelle nationale. Cette convention sera plutôt un cadre de concertation à l'intérieur du parti, a précisé l'intervenant. Ali Laskri, premier secrétaire du FFS, est intervenu dans le cadre de la réunion du conseil fédéral de la wilaya de Tizi-Ouzou élargi aux élus. Toujours, selon Ali Laskri, le FFS souhaite vivre «des scrutins libres et ouverts pour reprendre le cours interrompu de la transition démocratique». L'orateur s'est interrogé en outre si les Algériens auront le droit d'élire librement leurs représentants à la chambre basse du Parlement, comme l'ont déjà fait leurs voisins de Tunisie et du Maroc. Le premier secrétaire du FFS désigné, il y a quelques semaines par le président du parti, Hocine Aït Ahmed, a lancé un appel en direction des militants du FFS afin de faire preuve d'un engagement sérieux, «car la décision de prendre ou de ne pas prendre part aux échéances électorales n'est pas facile à prendre ». Ali Laskri a estimé qu'il y va de la crédibilité de leur parti politique. Le Front des forces socialistes, FFS, n'a pas encore tranché quant à sa participation ou non aux prochaines élections législatives. C'est du moins ce qui a été annoncé, hier vendredi à Tizi-Ouzou, par Ali Laskri premier secrétaire du parti. Même la tenue, le 11 février prochain, de la convention nationale du parti ne servira pas d'occasion pour prendre la décision. Cette rencontre aura, en revanche, pour objectif de procéder à la réalisation d'une synthèse des débats effectués au sein des différentes structures du parti à l'échelle nationale. Cette convention sera plutôt un cadre de concertation à l'intérieur du parti, a précisé l'intervenant. Ali Laskri, premier secrétaire du FFS, est intervenu dans le cadre de la réunion du conseil fédéral de la wilaya de Tizi-Ouzou élargi aux élus. Toujours, selon Ali Laskri, le FFS souhaite vivre «des scrutins libres et ouverts pour reprendre le cours interrompu de la transition démocratique». L'orateur s'est interrogé en outre si les Algériens auront le droit d'élire librement leurs représentants à la chambre basse du Parlement, comme l'ont déjà fait leurs voisins de Tunisie et du Maroc. Le premier secrétaire du FFS désigné, il y a quelques semaines par le président du parti, Hocine Aït Ahmed, a lancé un appel en direction des militants du FFS afin de faire preuve d'un engagement sérieux, «car la décision de prendre ou de ne pas prendre part aux échéances électorales n'est pas facile à prendre ». Ali Laskri a estimé qu'il y va de la crédibilité de leur parti politique.