La coalition de partis politiques de l'opposition et de la société civile contestant la publication de la liste des candidats autorisés par le Conseil constitutionnel à se présenter à la présidentielle de février, a appelé samedi les Sénégalais à "marcher sur le palais de la République". Le Mouvement du 23 juin (M23) regroupe des partis politiques et coalitions de partis ayant investi certains des candidats autorisés, dont les anciens Premiers ministres Moustapha Niasse, Idrissa Seck et Macky Sall, ainsi que le chef du Parti socialiste (PS), Ousmane Tanor Dieng. Le Conseil constitutionnel sénégalais a validé vendredi la candidature du président Abdoulaye Wade, mais jugé irrecevable celle de la star internationale de la chanson Youssou Ndour, pour la présidentielle de février au Sénégal. Dès l'annonce de la validation de la candidature du président Wade et du rejet de celle de Youssou Ndour, des jeunes rassemblés depuis des heures sur une place de Dakar à l'appel de l'opposition ont jeté des pierres sur les policiers qui ont riposté à coups de gaz lacrymogène et de matraque. A son tour Le président Wade appelle l'opposition à arrêter les manifestations et accepter le verdict du Conseil constitution et s'en remettre au choix du peuple via les urnes. "Arrêtons les manifestations d'humeur qui ne conduisent à rien. Il faut laisser au peuple la légitimé de choisir via les urnes", a indiqué le président Wade dans une intervention télévisée vendredi soir, juste après l'annonce du verdict du conseil constitutionnel sur la recevabilité des candidatures pour le scrutin présidentiel du 26 février prochain. Le président sortant Abdoulaye Wade , secrétaire général du Parti Démocratique (PDS au pouvoir), a souligné que ce qu'il souhaite maintenant "c'est la paix". Le Conseil constitutionnel a validé quatorze candidatures dont celle du président Wade à la présidentielle du 26 février. Les candidatures du chanteur international Youssou Ndour et celles de Kéba Keinde et Abdourahmane Sarr ont été déclarées irrecevables. La candidature des trois anciens Premier ministres du président Wade devenus opposants, Idrissa Seck, Macky Sall et Moustapha Niasse, ainsi que celle du dirigeant du Parti socialiste (PS, opposition), Ousmane Tanor Dieng, ont été validées. Cette décision concernant la nouvelle et troisième candidature du président Wade est jugée "anticonstitutionnelle" par l'opposition. Dès l'annonce du verdict du Conseil constitutionnel, des violences ont éclaté sur une grande place de la capitale où des milliers de manifestants se sont réunis à l'appel du mouvement "M23" qui regroupe des partis de l'opposition et des mouvements sociaux. Le président sortant Abdoulaye Wade, secrétaire général du Parti démocratique (PDS au pouvoir), avait auparavant affirmé son engagement à faire de la prochaine présidentielle l'"un des scrutins les plus transparents et les plus réguliers, et les plus démocratiques au monde avec la présence d'observateurs de la Communauté internationale". Elu en 2000, réélu en 2007 pour cinq ans après une réforme constitutionnelle en 2001 instituant un quinquennat renouvelable une fois, M. Wade, 85 ans, se représente pour sept ans après le rétablissement du septennat en 2008, à la suite d'une nouvelle réforme constitutionnelle. La coalition de partis politiques de l'opposition et de la société civile contestant la publication de la liste des candidats autorisés par le Conseil constitutionnel à se présenter à la présidentielle de février, a appelé samedi les Sénégalais à "marcher sur le palais de la République". Le Mouvement du 23 juin (M23) regroupe des partis politiques et coalitions de partis ayant investi certains des candidats autorisés, dont les anciens Premiers ministres Moustapha Niasse, Idrissa Seck et Macky Sall, ainsi que le chef du Parti socialiste (PS), Ousmane Tanor Dieng. Le Conseil constitutionnel sénégalais a validé vendredi la candidature du président Abdoulaye Wade, mais jugé irrecevable celle de la star internationale de la chanson Youssou Ndour, pour la présidentielle de février au Sénégal. Dès l'annonce de la validation de la candidature du président Wade et du rejet de celle de Youssou Ndour, des jeunes rassemblés depuis des heures sur une place de Dakar à l'appel de l'opposition ont jeté des pierres sur les policiers qui ont riposté à coups de gaz lacrymogène et de matraque. A son tour Le président Wade appelle l'opposition à arrêter les manifestations et accepter le verdict du Conseil constitution et s'en remettre au choix du peuple via les urnes. "Arrêtons les manifestations d'humeur qui ne conduisent à rien. Il faut laisser au peuple la légitimé de choisir via les urnes", a indiqué le président Wade dans une intervention télévisée vendredi soir, juste après l'annonce du verdict du conseil constitutionnel sur la recevabilité des candidatures pour le scrutin présidentiel du 26 février prochain. Le président sortant Abdoulaye Wade , secrétaire général du Parti Démocratique (PDS au pouvoir), a souligné que ce qu'il souhaite maintenant "c'est la paix". Le Conseil constitutionnel a validé quatorze candidatures dont celle du président Wade à la présidentielle du 26 février. Les candidatures du chanteur international Youssou Ndour et celles de Kéba Keinde et Abdourahmane Sarr ont été déclarées irrecevables. La candidature des trois anciens Premier ministres du président Wade devenus opposants, Idrissa Seck, Macky Sall et Moustapha Niasse, ainsi que celle du dirigeant du Parti socialiste (PS, opposition), Ousmane Tanor Dieng, ont été validées. Cette décision concernant la nouvelle et troisième candidature du président Wade est jugée "anticonstitutionnelle" par l'opposition. Dès l'annonce du verdict du Conseil constitutionnel, des violences ont éclaté sur une grande place de la capitale où des milliers de manifestants se sont réunis à l'appel du mouvement "M23" qui regroupe des partis de l'opposition et des mouvements sociaux. Le président sortant Abdoulaye Wade, secrétaire général du Parti démocratique (PDS au pouvoir), avait auparavant affirmé son engagement à faire de la prochaine présidentielle l'"un des scrutins les plus transparents et les plus réguliers, et les plus démocratiques au monde avec la présence d'observateurs de la Communauté internationale". Elu en 2000, réélu en 2007 pour cinq ans après une réforme constitutionnelle en 2001 instituant un quinquennat renouvelable une fois, M. Wade, 85 ans, se représente pour sept ans après le rétablissement du septennat en 2008, à la suite d'une nouvelle réforme constitutionnelle.