Les chercheurs du Centre de recherche nucléaire d'Alger (CRNA) ont observé un sit-in, hier, au niveau de leur siège. Les chercheurs permanents, qui ont décidé de poursuivre leur protestation, réclament leur droit à l'exercice syndical. Entre les deux parties, à savoir l'administration et l'organisation syndicale affiliée à l'UGTA, le dialogue semble ne plus passer. Et pour cause, ils mettent en avant l'attitude de leur administration qui, affirment-ils, «les empêchent d'exercer librement leur droit syndical». Ils se sont regroupés, hier matin, à l'entrée du Centre de recherche nucléaire d'Alger, arborant des banderoles où sont inscrites leurs réclamations. Ils exigent que soit entendu leur droit à l'exercice syndical et que les responsables de ce centre donnent suite à leurs doléances. Ils réclament, par ailleurs, que soit mis fin à ce «mutisme des responsables», déplorant, de ce fait, que leurs représentants syndicaux, élus légalement, n'aient jamais été conviés à une réunion de travail avec la direction en vue de discuter pleinement des problèmes socioprofessionnels vécus par ces chercheurs. Dans un communiqué rendu public, les deux sections syndicales, des deux centres de recherches nucléaires d'Alger (CRNA) et de Draria (CRND), précisent que «les directeurs généraux du CRNA et du CRND n'ont même pas daigné répondre aux courriers des sections syndicales SNCP, alors que ces correspondances, se basant sur des textes réglementaires, étaient relatives aux modalités de l'exercice syndical», ajoutant qu'«une lettre de protestation a été adressée au Commissaire à l'énergie atomique, avec copie à l'inspecteur général du ministère de l'Energie et des Mines et au président du conseil d'administration du Comena». Selon les protestataires, le dialogue social et l'environnement de travail, au sein de cette institution publique, sont absents. Dans ce même document ils déplorent et écrivent qu'« aujourd'hui, la situation dans le secteur du nucléaire est aux antipodes de toutes les considérations réglementaires et managériales susmentionnées». Ils déplorent, par ailleurs, «le silence absurde des responsables» qui, rappellent-ils, dure depuis plusieurs mois. Depuis le mois de mars 2011, les chercheurs des deux centres sont sortis dans la rue pour dénoncer, avaient-ils souligné dans un communiqué, «l'absence d'un canal de concertation et de mécanisme garantissant la prise en considération de nos suggestions liées au statut particulier des personnels des centres de recherches du Comena». Le Centre de recherche nucléaire d'Alger, précise-t-on, développe des programmes de recherche dans les domaines de la physique, des techniques et applications nucléaires, de la physique radiologique, de l'environnement et de la sûreté nucléaire. Les chercheurs du Centre de recherche nucléaire d'Alger (CRNA) ont observé un sit-in, hier, au niveau de leur siège. Les chercheurs permanents, qui ont décidé de poursuivre leur protestation, réclament leur droit à l'exercice syndical. Entre les deux parties, à savoir l'administration et l'organisation syndicale affiliée à l'UGTA, le dialogue semble ne plus passer. Et pour cause, ils mettent en avant l'attitude de leur administration qui, affirment-ils, «les empêchent d'exercer librement leur droit syndical». Ils se sont regroupés, hier matin, à l'entrée du Centre de recherche nucléaire d'Alger, arborant des banderoles où sont inscrites leurs réclamations. Ils exigent que soit entendu leur droit à l'exercice syndical et que les responsables de ce centre donnent suite à leurs doléances. Ils réclament, par ailleurs, que soit mis fin à ce «mutisme des responsables», déplorant, de ce fait, que leurs représentants syndicaux, élus légalement, n'aient jamais été conviés à une réunion de travail avec la direction en vue de discuter pleinement des problèmes socioprofessionnels vécus par ces chercheurs. Dans un communiqué rendu public, les deux sections syndicales, des deux centres de recherches nucléaires d'Alger (CRNA) et de Draria (CRND), précisent que «les directeurs généraux du CRNA et du CRND n'ont même pas daigné répondre aux courriers des sections syndicales SNCP, alors que ces correspondances, se basant sur des textes réglementaires, étaient relatives aux modalités de l'exercice syndical», ajoutant qu'«une lettre de protestation a été adressée au Commissaire à l'énergie atomique, avec copie à l'inspecteur général du ministère de l'Energie et des Mines et au président du conseil d'administration du Comena». Selon les protestataires, le dialogue social et l'environnement de travail, au sein de cette institution publique, sont absents. Dans ce même document ils déplorent et écrivent qu'« aujourd'hui, la situation dans le secteur du nucléaire est aux antipodes de toutes les considérations réglementaires et managériales susmentionnées». Ils déplorent, par ailleurs, «le silence absurde des responsables» qui, rappellent-ils, dure depuis plusieurs mois. Depuis le mois de mars 2011, les chercheurs des deux centres sont sortis dans la rue pour dénoncer, avaient-ils souligné dans un communiqué, «l'absence d'un canal de concertation et de mécanisme garantissant la prise en considération de nos suggestions liées au statut particulier des personnels des centres de recherches du Comena». Le Centre de recherche nucléaire d'Alger, précise-t-on, développe des programmes de recherche dans les domaines de la physique, des techniques et applications nucléaires, de la physique radiologique, de l'environnement et de la sûreté nucléaire.