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Il traîne son épouse devant les tribunaux
Vol de bijoux
Publié dans Le Midi Libre le 02 - 02 - 2012

Encore une histoire de divorce à cause d'actes irréfléchis dictés par la cupidité.
Encore une histoire de divorce à cause d'actes irréfléchis dictés par la cupidité.
Cet après-midi-là, Madjid, 33 ans, en compagnie de Nabila, sa jeune épouse, s'était rendu chez sa sœur aînée qui fêtait l'anniversaire d'une de ses deux fillettes.
Au moment où le jeune couple se levait pour s'en aller vers 17h, la sœur de Madjid s'exclama :
- Oh ! Vous partez déjà, Madjid ?
- Oui, Nacéra… parce que demain, je travaille. Aujourd'hui aussi j'ai travaillé, j'ai besoin de repos…
- Oh ! Vraiment je suis confuse… Je voulais discuter avec Nabila. Finalement cela n'a pas été possible… Il y a tellement de monde que nous n'avons pas pu échanger plus de trois mots… Oh ! J'ai même honte. Elle fait partie de notre famille depuis deux mois maintenant et nous ne nous connaissons presque pas. Il faut que tu la ramènes un matin et que tu la laisses avec moi toute la journée et le soir ou le lendemain tu la récupères… parce que je sais que votre domicile est loin et que tu ne voudrais pas qu'elle soit confrontée aux problèmes des transports en commun.
La jeune mariée de 22 ans sourit :
- Je te promets que dès que Madjid aura un petit moment de libre, nous reviendrons.
- D'accord… si vous ne revenez pas, j'enverrai mon mari vous chercher.
- D'accord.
Après le départ de tous les invités, Nacéra soupira :
- Maintenant, j'ai du travail qui m'attend.Et pour cela, il faut que je sois à l'aise.
Elle enleva sa chaîne et ses bracelets en or et se rendit dans sa chambre pour les remettre dans le petit coffret où elle avait l'habitude de les cacher. Dès qu'elle eut ouvert ledit coffret, elle constata comme une anomalie. Elle sentit qu'il y manquait quelque chose. Elle se gratta le menton, prit le coffret entre ses mains, détailla son contenu et la stupeur lui écarquilla les yeux.
- Oh ! Il manque une gourmette, ainsi qu'une chaîne avec un grand médaillon.
Elle appela ses deux filles âgées de 4 et 7 ans pour leur demander si ce n'étaient pas elles qui avaient touché au contenu du coffre.
- Non, maman, lui répondit l'aînée. Ce n'est pas toi qui leur as changé de place, par hasard ?
- Non. Vous êtes sûres que ce n'est pas l'une de vous qui a touché à ce coffre ?
- Non, maman… Nous ne sommes pas entrées dans ta chambre, ajouta encore l'aînée. Tu es sûre, maman, que tu ne les as pas prêtées à quelqu'un ?
- Non… Elles étaient là en début d'après- midi quand je cherchais quelque chose à me mettre…
- Tu en es vraiment sûre, maman ?
- Oui.
Après avoir réfléchi un bon moment, la mère demanda :
- Parmi les invités, vous n'avez vu personne entrer dans cette chambre ?
- Non, maman, répondit l'aînée.
- Moi, si ! J'ai vu quelqu'un entrer à deux reprises, répondit Loubna la cadette.
La mère s'écria :
- C'est vrai ? Qui ?
- Tata Nabila.
- La femme de Madjid ?
- Oui…
- Et tu dis à deux reprises ?
- Oui… Une première fois pour enlever son khimar (son voile) et arranger ses cheveux et une seconde fois pour répondre à un appel téléphonique. Je l'ai entendue dire au téléphone : «Je t'entends mal, maman, attends, je vais changer d'endroit.»
Nacéra regarda un bon moment ses deux filles puis leur dit :
- Allez regarder la télévision… Je verrai après ce qu'il y a lieu de faire… Et surtout pas un seul mot de tout cela à votre père ! Et d'abord où est-il ?
- Il est en train de tourner la parabole… Le vent de tout à l'heure l'a faite bouger…
Le lendemain matin, en examinant le contenu du coffret, Nacéra réalisa qu'il manquait aussi une paire de boucles d'oreilles… Elle se mit à réfléchir et se dit que si c'était vraiment Nabila qui avait pris ses bijoux, il serait dangereux de ne pas en avertir son frère cadet. Une voleuse, se dit-elle, peut être très nuisible aussi bien pour son mari que pour le reste de sa famille. Elle devait faire quelque chose.
Deux jours plus tard, Nacéra téléphona à son frère et lui demanda de ramener sa jeune femme pour passer la journée avec elle.
- Ah ! merci, Nacéra… elle s'ennuie seule à la maison…
Nacéra voulait parler à son frère des bijoux qui avaient disparu mais si sa femme était innocente, elle risquerait de se brouiller avec lui. Finalement, elle se dit que le mieux serait de la surprendre en flagrant délit.
Le lendemain matin, Nacéra posa sur la cheminée du salon une petite chaîne en or… Pour voir si sa belle-sœur la prendrait.
En fin de journée, lorsque Madjid retourna chez sa sœur pour «récupérer» sa femme, celle-ci le prit en aparté, lui parla des bijoux qui avaient disparu de son coffret deux jours plus tôt avant de conclure :
- Aujourd'hui, j'ai posé volontairement une chaîne en or sur la cheminée et… et …elle a disparu…
Brusquement, tous les nerfs du visage de Madjid se mirent à trembler sous l'effet de la rage et de la honte. Sa sœur le calma.
- Madjid, calme-toi. Qu'elle me vole, moi, n'a aucune importance… Imagine qu'elle vole d'autres gens… Elle risquerait la prison…
- Eh bien, elle ira en prison s'il le faut !
Ce disant, il se rendit au salon où sa femme l'attendait, il lui arracha son sac à main, il le fouilla et il y trouva une chaîne et une paire de boucle d'oreilles.
Nabila plaqua alors ses deux mains contre sa bouche sous l'effet de la surprise.
- Oh ! Madjid… Je n'en reviens pas ! Je m'attendais à ce que tu trouves cette chaîne dans son sac mais je ne m'attendais pas à trouver ces boucles d'oreilles. Elles étaient dans le coffret, dans l'armoire de ma chambre… Ella a dû les prendre pendant que je servais le repas…
Et de nouveau, la petite Loubna intervint :
- Non…maman…ce n'était pas pendant que tu mettais la table… C'était lorsque tu étendais le linge sur le balcon de la cuisine. Je me trouvais dans la salle de bains quand je l'ai vue entrer dans ta chambre.
Dès que la petite fille eut fini de parler, Madjid gifla sa femme et lui lança à trois reprises qu'elle était répudiée :« raki m'telqa ! « raki m'telqa ! « raki m'telqa ! »
Nacéra était affolée et cria à son tour :
- Non, Madjid… ce n'est pas la bonne solution…
- Si ! maintenant Nacéra, si tu ne le fais pas, c'est moi qui vais le faire !
- Faire quoi, Madjid ?
- Déposer une plainte contre elle et la faire entrer en prison….
- Non… Madjid !
- Elle n'est plus ma femme !
- Madjid, calme-toi… Vous n'êtes mariés que depuis deux mois…
- Certains divorcent le lendemain de leur nuit de noces.
Nabila retourna chez ses parents et son ex-belle-sœur déposa plainte contre elle. Nacéra fut obligée de recourir à cette plainte parce qu'elle s'était retrouvée dans l'impossibilité de récupérer les premiers bijoux qui avaient été volés parce que sa belle-sœur les avait déjà vendus. Ah ! Elle était vraiment dangereuse ! Elle connaissait même des receleurs !
Il y a quelques jours, Nabila s'était retrouvée au box des accusés au tribunal de Bir Mourad-Raïs.
Elle déclara avoir regretté ce qu'elle avait fait. Puis, après avoir pleuré en silence un bon moment, elle ajouta qu'elle méritait le plus sévère des châtiments parce qu'elle avait eu la chance de se marier et de devenir une mère heureuse et respectée mais elle n'avait pas su la saisir.
Une année de prison ferme et le paiement d'une amende de 50.000 DA ont été requis contre elle.
Cet après-midi-là, Madjid, 33 ans, en compagnie de Nabila, sa jeune épouse, s'était rendu chez sa sœur aînée qui fêtait l'anniversaire d'une de ses deux fillettes.
Au moment où le jeune couple se levait pour s'en aller vers 17h, la sœur de Madjid s'exclama :
- Oh ! Vous partez déjà, Madjid ?
- Oui, Nacéra… parce que demain, je travaille. Aujourd'hui aussi j'ai travaillé, j'ai besoin de repos…
- Oh ! Vraiment je suis confuse… Je voulais discuter avec Nabila. Finalement cela n'a pas été possible… Il y a tellement de monde que nous n'avons pas pu échanger plus de trois mots… Oh ! J'ai même honte. Elle fait partie de notre famille depuis deux mois maintenant et nous ne nous connaissons presque pas. Il faut que tu la ramènes un matin et que tu la laisses avec moi toute la journée et le soir ou le lendemain tu la récupères… parce que je sais que votre domicile est loin et que tu ne voudrais pas qu'elle soit confrontée aux problèmes des transports en commun.
La jeune mariée de 22 ans sourit :
- Je te promets que dès que Madjid aura un petit moment de libre, nous reviendrons.
- D'accord… si vous ne revenez pas, j'enverrai mon mari vous chercher.
- D'accord.
Après le départ de tous les invités, Nacéra soupira :
- Maintenant, j'ai du travail qui m'attend.Et pour cela, il faut que je sois à l'aise.
Elle enleva sa chaîne et ses bracelets en or et se rendit dans sa chambre pour les remettre dans le petit coffret où elle avait l'habitude de les cacher. Dès qu'elle eut ouvert ledit coffret, elle constata comme une anomalie. Elle sentit qu'il y manquait quelque chose. Elle se gratta le menton, prit le coffret entre ses mains, détailla son contenu et la stupeur lui écarquilla les yeux.
- Oh ! Il manque une gourmette, ainsi qu'une chaîne avec un grand médaillon.
Elle appela ses deux filles âgées de 4 et 7 ans pour leur demander si ce n'étaient pas elles qui avaient touché au contenu du coffre.
- Non, maman, lui répondit l'aînée. Ce n'est pas toi qui leur as changé de place, par hasard ?
- Non. Vous êtes sûres que ce n'est pas l'une de vous qui a touché à ce coffre ?
- Non, maman… Nous ne sommes pas entrées dans ta chambre, ajouta encore l'aînée. Tu es sûre, maman, que tu ne les as pas prêtées à quelqu'un ?
- Non… Elles étaient là en début d'après- midi quand je cherchais quelque chose à me mettre…
- Tu en es vraiment sûre, maman ?
- Oui.
Après avoir réfléchi un bon moment, la mère demanda :
- Parmi les invités, vous n'avez vu personne entrer dans cette chambre ?
- Non, maman, répondit l'aînée.
- Moi, si ! J'ai vu quelqu'un entrer à deux reprises, répondit Loubna la cadette.
La mère s'écria :
- C'est vrai ? Qui ?
- Tata Nabila.
- La femme de Madjid ?
- Oui…
- Et tu dis à deux reprises ?
- Oui… Une première fois pour enlever son khimar (son voile) et arranger ses cheveux et une seconde fois pour répondre à un appel téléphonique. Je l'ai entendue dire au téléphone : «Je t'entends mal, maman, attends, je vais changer d'endroit.»
Nacéra regarda un bon moment ses deux filles puis leur dit :
- Allez regarder la télévision… Je verrai après ce qu'il y a lieu de faire… Et surtout pas un seul mot de tout cela à votre père ! Et d'abord où est-il ?
- Il est en train de tourner la parabole… Le vent de tout à l'heure l'a faite bouger…
Le lendemain matin, en examinant le contenu du coffret, Nacéra réalisa qu'il manquait aussi une paire de boucles d'oreilles… Elle se mit à réfléchir et se dit que si c'était vraiment Nabila qui avait pris ses bijoux, il serait dangereux de ne pas en avertir son frère cadet. Une voleuse, se dit-elle, peut être très nuisible aussi bien pour son mari que pour le reste de sa famille. Elle devait faire quelque chose.
Deux jours plus tard, Nacéra téléphona à son frère et lui demanda de ramener sa jeune femme pour passer la journée avec elle.
- Ah ! merci, Nacéra… elle s'ennuie seule à la maison…
Nacéra voulait parler à son frère des bijoux qui avaient disparu mais si sa femme était innocente, elle risquerait de se brouiller avec lui. Finalement, elle se dit que le mieux serait de la surprendre en flagrant délit.
Le lendemain matin, Nacéra posa sur la cheminée du salon une petite chaîne en or… Pour voir si sa belle-sœur la prendrait.
En fin de journée, lorsque Madjid retourna chez sa sœur pour «récupérer» sa femme, celle-ci le prit en aparté, lui parla des bijoux qui avaient disparu de son coffret deux jours plus tôt avant de conclure :
- Aujourd'hui, j'ai posé volontairement une chaîne en or sur la cheminée et… et …elle a disparu…
Brusquement, tous les nerfs du visage de Madjid se mirent à trembler sous l'effet de la rage et de la honte. Sa sœur le calma.
- Madjid, calme-toi. Qu'elle me vole, moi, n'a aucune importance… Imagine qu'elle vole d'autres gens… Elle risquerait la prison…
- Eh bien, elle ira en prison s'il le faut !
Ce disant, il se rendit au salon où sa femme l'attendait, il lui arracha son sac à main, il le fouilla et il y trouva une chaîne et une paire de boucle d'oreilles.
Nabila plaqua alors ses deux mains contre sa bouche sous l'effet de la surprise.
- Oh ! Madjid… Je n'en reviens pas ! Je m'attendais à ce que tu trouves cette chaîne dans son sac mais je ne m'attendais pas à trouver ces boucles d'oreilles. Elles étaient dans le coffret, dans l'armoire de ma chambre… Ella a dû les prendre pendant que je servais le repas…
Et de nouveau, la petite Loubna intervint :
- Non…maman…ce n'était pas pendant que tu mettais la table… C'était lorsque tu étendais le linge sur le balcon de la cuisine. Je me trouvais dans la salle de bains quand je l'ai vue entrer dans ta chambre.
Dès que la petite fille eut fini de parler, Madjid gifla sa femme et lui lança à trois reprises qu'elle était répudiée :« raki m'telqa ! « raki m'telqa ! « raki m'telqa ! »
Nacéra était affolée et cria à son tour :
- Non, Madjid… ce n'est pas la bonne solution…
- Si ! maintenant Nacéra, si tu ne le fais pas, c'est moi qui vais le faire !
- Faire quoi, Madjid ?
- Déposer une plainte contre elle et la faire entrer en prison….
- Non… Madjid !
- Elle n'est plus ma femme !
- Madjid, calme-toi… Vous n'êtes mariés que depuis deux mois…
- Certains divorcent le lendemain de leur nuit de noces.
Nabila retourna chez ses parents et son ex-belle-sœur déposa plainte contre elle. Nacéra fut obligée de recourir à cette plainte parce qu'elle s'était retrouvée dans l'impossibilité de récupérer les premiers bijoux qui avaient été volés parce que sa belle-sœur les avait déjà vendus. Ah ! Elle était vraiment dangereuse ! Elle connaissait même des receleurs !
Il y a quelques jours, Nabila s'était retrouvée au box des accusés au tribunal de Bir Mourad-Raïs.
Elle déclara avoir regretté ce qu'elle avait fait. Puis, après avoir pleuré en silence un bon moment, elle ajouta qu'elle méritait le plus sévère des châtiments parce qu'elle avait eu la chance de se marier et de devenir une mère heureuse et respectée mais elle n'avait pas su la saisir.
Une année de prison ferme et le paiement d'une amende de 50.000 DA ont été requis contre elle.


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