Le festival "Dimajazz", qui célèbre cette année sa dixième édition consécutive, est devenu une véritable institution musicale à Constantine mais n'arrive toujours pas à gagner en stabilité faute d'espace propre à cette manifestation. Organisé par l'association "Limma", elle même composée de musiciens amateurs, le festival a réussi à attirer durant ses dix années d'existence les plus grands noms de la musique jazz, folk, rock et world music. La notoriété grandissante du festival lui a permis de convier à Constantine des légendes vivantes de la musique tel que Akamoon, N'guyen Le, Boney fields, ou encore Keziah Jones. Cependant et malgré ce parcours honorable, les organisateurs peinent encore à stabiliser ce rendez-vous, le festival étant, chaque année ballotté entre le palais de la culture Malek-Haddad et le Théâtre régional de Constantine. "Nous voudrions fêter comme il se doit notre 10e anniversaire avec le public. Cette année le festival va durer dix jours afin de célébrer dignement sa dixième année qui coïncide avec le cinquantenaire de l'indépendance et la fête de la musique", a souhaité un des organisateurs du festival. Mais cette année le festival devra encore se déplacer vers le théâtre et perdre ainsi 200 places et une scène en plein air où s'est tenu l'année dernière le festival off (festival gratuit dédié à la nouvelle scène algérienne), et ce, pour un simple problème de piano à déplacer. Le piano du palais de la culture étant irrécupérable, c'est tout le festival qui devra ainsi aller vers... le piano du Trc, et non l'inverse. "Un handicap de plus pour un festival qui grandit, gagne en notoriété et arrive à drainer un public très nombreux d'un peu partout dans le pays", de l'avis des observateurs. Le festival "Dimajazz", qui célèbre cette année sa dixième édition consécutive, est devenu une véritable institution musicale à Constantine mais n'arrive toujours pas à gagner en stabilité faute d'espace propre à cette manifestation. Organisé par l'association "Limma", elle même composée de musiciens amateurs, le festival a réussi à attirer durant ses dix années d'existence les plus grands noms de la musique jazz, folk, rock et world music. La notoriété grandissante du festival lui a permis de convier à Constantine des légendes vivantes de la musique tel que Akamoon, N'guyen Le, Boney fields, ou encore Keziah Jones. Cependant et malgré ce parcours honorable, les organisateurs peinent encore à stabiliser ce rendez-vous, le festival étant, chaque année ballotté entre le palais de la culture Malek-Haddad et le Théâtre régional de Constantine. "Nous voudrions fêter comme il se doit notre 10e anniversaire avec le public. Cette année le festival va durer dix jours afin de célébrer dignement sa dixième année qui coïncide avec le cinquantenaire de l'indépendance et la fête de la musique", a souhaité un des organisateurs du festival. Mais cette année le festival devra encore se déplacer vers le théâtre et perdre ainsi 200 places et une scène en plein air où s'est tenu l'année dernière le festival off (festival gratuit dédié à la nouvelle scène algérienne), et ce, pour un simple problème de piano à déplacer. Le piano du palais de la culture étant irrécupérable, c'est tout le festival qui devra ainsi aller vers... le piano du Trc, et non l'inverse. "Un handicap de plus pour un festival qui grandit, gagne en notoriété et arrive à drainer un public très nombreux d'un peu partout dans le pays", de l'avis des observateurs.