L'Olivier d'or du meilleur long métrage a été attribué, mercredi dernier, au réalisateur Yazid Smail, pour sa fiction de deux heures, intitulée Vava Moh. C'est dans une salle archi-comble que le réalisateur, Yazid Smail, ému et content, a été appelé pour recevoir son prix des mains de Slimane Hachi, représentant de Khalida Toumi, ministre de la Culture et de Abdelkader Bouazghi, wali de Tizi-Ouzou. Le film de Yazid Smail qui remporte ainsi la plus haute distinction du Festival du film amazigh raconte l'histoire de la famille de Vava Moh qui agit toujours en conformité au droit coutumier et aux règles, formulées ou non, qui régissent la société kabyle. Vava Moh, qui est le vieux, le père, le juge et le saint, a engendré cinq garçons et trois filles. Larbi, le frère aîné de Saïd qui l'appelle impudiquement le lavé disposera selon Saïd des meilleures parts d'héritage, sinon à devenir le seul héritier après la mort de leur frère Mokrane… Ce qui sera à l'origine de beaucoup de problèmes. Par ailleurs, l'Olivier d'or du meilleur court métrage a été reçu par un jeune mais talentueux réalisateur. Il s'agit de Sofiane Bellali, originaire de la région de Boghni dans lawilaya de Tizi-Ouzou. La fiction de treize minutes est intitulée Encre et le monde. Le réalisateur résume ainsi sa production cinématographique : « Que peut-on faire avec de l'encre ? Construire le monde et le détruire à la fois, il nous aide et nous aidera mais à quel prix ? Telle est la question ». Sofiane Bellali était très heureux et a déclaré devant le public qu'il est très touché de recevoir l'Olivier d'or et que ce prix sera une source de motivation pour aller de l'avant. Plusieurs autres prix d'encouragement ont été attribués à l'issue de la douzième édition du Festival du film amazigh. Ainsi, l'Olivier d'or du meilleur documentaire est revenu à Fatima Sissani pour son documentaire La langue de Zahra . La cérémonie de clôture a eu lieu dans la soirée de mercredi à jeudi dernier à la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou en présence de nombreux artistes et acteurs dans Dalila Saboundji, Fawzi Saychi, Abderrahmane Bouguermouh, Ali Mouzaoui. Des chanteurs étaient aussi présents ainsi que des poètes comme Kamal Hamadi, Aït Menguellet, Ouazib Mohand Ameziane, Benmohamed… L'Olivier d'or du meilleur long métrage a été attribué, mercredi dernier, au réalisateur Yazid Smail, pour sa fiction de deux heures, intitulée Vava Moh. C'est dans une salle archi-comble que le réalisateur, Yazid Smail, ému et content, a été appelé pour recevoir son prix des mains de Slimane Hachi, représentant de Khalida Toumi, ministre de la Culture et de Abdelkader Bouazghi, wali de Tizi-Ouzou. Le film de Yazid Smail qui remporte ainsi la plus haute distinction du Festival du film amazigh raconte l'histoire de la famille de Vava Moh qui agit toujours en conformité au droit coutumier et aux règles, formulées ou non, qui régissent la société kabyle. Vava Moh, qui est le vieux, le père, le juge et le saint, a engendré cinq garçons et trois filles. Larbi, le frère aîné de Saïd qui l'appelle impudiquement le lavé disposera selon Saïd des meilleures parts d'héritage, sinon à devenir le seul héritier après la mort de leur frère Mokrane… Ce qui sera à l'origine de beaucoup de problèmes. Par ailleurs, l'Olivier d'or du meilleur court métrage a été reçu par un jeune mais talentueux réalisateur. Il s'agit de Sofiane Bellali, originaire de la région de Boghni dans lawilaya de Tizi-Ouzou. La fiction de treize minutes est intitulée Encre et le monde. Le réalisateur résume ainsi sa production cinématographique : « Que peut-on faire avec de l'encre ? Construire le monde et le détruire à la fois, il nous aide et nous aidera mais à quel prix ? Telle est la question ». Sofiane Bellali était très heureux et a déclaré devant le public qu'il est très touché de recevoir l'Olivier d'or et que ce prix sera une source de motivation pour aller de l'avant. Plusieurs autres prix d'encouragement ont été attribués à l'issue de la douzième édition du Festival du film amazigh. Ainsi, l'Olivier d'or du meilleur documentaire est revenu à Fatima Sissani pour son documentaire La langue de Zahra . La cérémonie de clôture a eu lieu dans la soirée de mercredi à jeudi dernier à la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou en présence de nombreux artistes et acteurs dans Dalila Saboundji, Fawzi Saychi, Abderrahmane Bouguermouh, Ali Mouzaoui. Des chanteurs étaient aussi présents ainsi que des poètes comme Kamal Hamadi, Aït Menguellet, Ouazib Mohand Ameziane, Benmohamed…