La loi de finances pour l'exercice 2012 a été au centre d'une journée d'étude tenue mardi à Adrar, à l'initiative de la Chambre de commerce et de l'industrie (CCI) «Touat» en coordination avec la Direction des impôts (DI). Cette rencontre vise à informer les commerçants et opérateurs économiques locaux des avantages et facilités préconisés par la loi de finances au titre de l'exercice 2012, notamment en matière de régularisation des contributions pour leur permettre de promouvoir leurs activités économiques, a indiqué le directeur de la CCI d'Adrar. Cette journée constitue, a souligné le même responsable, une occasion idoine pour les opérateurs de la région de soulever leurs préoccupations liées aux modalités requises pour bénéficier des mesures incitatives prônées par la nouvelle loi de finances. Le directeur de la CCI a relevé, toutefois, que plusieurs opérateurs de la région «se sont radiés du registre du commerce et ont opté pour la suspension de leurs activités suite à l'augmentation du fardeau fiscal», avant de nourrir, à la faveur des mesures d'encouragement de l'Etat à leur égard, de nouveaux horizons pour le développement des activités économiques et commerciales. Des communications ayant trait aux «systèmes et délais de déclarations fiscales» et «les facilités accordées pour s'acquitter des contribuables au titre de la loi de finances de 2012», ont été animées par des responsables des services des impôts. émissions de gaz à effet de serre dans le secteur industriel Mises en garde de l'APRUE Le modèle actuel de consommation de l'énergie dans le secteur industriel pourrait atteindre à l'orée 2020 une production de 42% de gaz à effet de serre (GES) si d'ici là, la tendance n'est pas inversée, avertissent mardi des experts de l'Agence nationale pour la promotion et la régulation de l'utilisation de l'énergie (APRUE). «La consommation énergétique dans le secteur industriel augmentera de 5,5 mtep (mégatonne d'équivalent pétrole) en 2012 à 7 mtep en 2018 puis à 8 mtep en 2020 (hausse de 45%), si les actions d'économie d'énergie ne s'accélèrent pas», explique à l'APS le directeur des projets à l'APRUE, Kamel Dali. L'émission de gaz à effet de serre, par conséquent, évoluera de 13 méq-CO2 (milliequivalent de CO2) en 2012 à 16,5 méq-CO2 en 2018 puis à 18,5 méq-CO2 en 2020, selon les données de l'APRUE. Ces prévisions ont renforcé la conviction des responsables de l'agence de changer le modèle actuel de consommation énergétique, et à multiplier les actions de prévention, particulièrement par la mise en úuvre de mesures de réduction des émissions de GES'. Ces mesures portent également sur le traitement des rejets industriels, la réhabilitation des sols et la protection des nappes phréatiques, la production de l'électricité par le gaz naturel et les énergies renouvelables, ainsi que la réduction progressive de la part des produits pétroliers dans le bilan énergétique, selon M. Dali. La loi de finances pour l'exercice 2012 a été au centre d'une journée d'étude tenue mardi à Adrar, à l'initiative de la Chambre de commerce et de l'industrie (CCI) «Touat» en coordination avec la Direction des impôts (DI). Cette rencontre vise à informer les commerçants et opérateurs économiques locaux des avantages et facilités préconisés par la loi de finances au titre de l'exercice 2012, notamment en matière de régularisation des contributions pour leur permettre de promouvoir leurs activités économiques, a indiqué le directeur de la CCI d'Adrar. Cette journée constitue, a souligné le même responsable, une occasion idoine pour les opérateurs de la région de soulever leurs préoccupations liées aux modalités requises pour bénéficier des mesures incitatives prônées par la nouvelle loi de finances. Le directeur de la CCI a relevé, toutefois, que plusieurs opérateurs de la région «se sont radiés du registre du commerce et ont opté pour la suspension de leurs activités suite à l'augmentation du fardeau fiscal», avant de nourrir, à la faveur des mesures d'encouragement de l'Etat à leur égard, de nouveaux horizons pour le développement des activités économiques et commerciales. Des communications ayant trait aux «systèmes et délais de déclarations fiscales» et «les facilités accordées pour s'acquitter des contribuables au titre de la loi de finances de 2012», ont été animées par des responsables des services des impôts. émissions de gaz à effet de serre dans le secteur industriel Mises en garde de l'APRUE Le modèle actuel de consommation de l'énergie dans le secteur industriel pourrait atteindre à l'orée 2020 une production de 42% de gaz à effet de serre (GES) si d'ici là, la tendance n'est pas inversée, avertissent mardi des experts de l'Agence nationale pour la promotion et la régulation de l'utilisation de l'énergie (APRUE). «La consommation énergétique dans le secteur industriel augmentera de 5,5 mtep (mégatonne d'équivalent pétrole) en 2012 à 7 mtep en 2018 puis à 8 mtep en 2020 (hausse de 45%), si les actions d'économie d'énergie ne s'accélèrent pas», explique à l'APS le directeur des projets à l'APRUE, Kamel Dali. L'émission de gaz à effet de serre, par conséquent, évoluera de 13 méq-CO2 (milliequivalent de CO2) en 2012 à 16,5 méq-CO2 en 2018 puis à 18,5 méq-CO2 en 2020, selon les données de l'APRUE. Ces prévisions ont renforcé la conviction des responsables de l'agence de changer le modèle actuel de consommation énergétique, et à multiplier les actions de prévention, particulièrement par la mise en úuvre de mesures de réduction des émissions de GES'. Ces mesures portent également sur le traitement des rejets industriels, la réhabilitation des sols et la protection des nappes phréatiques, la production de l'électricité par le gaz naturel et les énergies renouvelables, ainsi que la réduction progressive de la part des produits pétroliers dans le bilan énergétique, selon M. Dali.