Le Front des forces socialistes (FFS) ne tarit pas d'arguments pour justifier sa participation au scrutin du 10 mai prochain. A l'occasion de son meeting organisé à la salle Sierra Maestra d'Alger, les militants et cadres du plus vieux parti d'opposition n'ont de cesse de ressasser les «raisons tactiques» qui l'ont poussé à prendre part aux prochaines législatives. Une manière aussi pour le parti de Hocine Ait Ahmed de riposter aux nombreuses voix qui se sont élevées, au sein même du parti, contre ce choix de cautionner les élections. «Nous ne jouerons pas dans leur stade, nous jouerons dans notre stade», a martelé Mustapha Bouchachi, tête de liste à Alger, pour dire que le FFS restera un parti d'opposition et que la participation au scrutin du 10 mai est la seule alternative pour effectuer le changement dans le pays. Les clameurs de l'ex-président de la Ligue algérienne des droits de l'homme (LADDH) se veulent un message de bonne foi à l'adresse des Algériens, notamment aux militants et sympathisants du parti demeurés sceptiques quant aux choix de la direction nationale. Les interventions du premier secrétaire, Ali Laskri, néanmoins tête de liste dans la wilaya de Boumerdès et des autres candidats d'autres wilayas se sont focalisées sur la même perspective. C'est dire toutes les appréhensions redoutées par le FFS qui a «osé» participer au scrutin législatif après le boycott de deux législatures. Des appréhensions davantage accentuées par la débâcle du parti qui a raté ses sorties de campagne dans des localités autrefois largement acquises à sa cause. Nul besoin de rappeler dans ce sens le réaction des citoyens lors du meeting de Souk El-Tenine (Béjaia) et la faible affluence enregistrée au stade «Oukil Ramdane» dans la wilaya de Tizi-Ouzou pour illustrer les craintes du parti de Hocine Ait Ahmed. Par ailleurs, le FFS a divulgué son nouveau slogan de campagne à l'occasion du meeting d'Alger. «Qum tara» (lèves-toi pour voir) reflète on ne peut mieux la situation dans laquelle se débat le FFS qui peine à convaincre les citoyens et ses militants sur le bien-fondé de son choix. C'est aussi une manière d'inciter les Algériens à «se lever» et aller voter massivement pour «voir» par la suite les résultats de cette mobilisation citoyenne. Par ailleurs, le premier secrétaire du FFS a appelé à la mise en place d'un pacte national global pour permettre l'avènement de la deuxième République. "Au sein même des institutions de l'Etat, il y a des parties qui portent l'Algérie dans leur coeur et qui cherchent, à leur tour, une alternative démocratique au système. Il est temps qu'elles se manifestent pour un pacte national global et pour donner une chance à l'avènement d'une deuxième République", a-t-il indiqué, tout en mettant en garde contre les «menaces étrangères» qui guettent le pays. Le Front des forces socialistes (FFS) ne tarit pas d'arguments pour justifier sa participation au scrutin du 10 mai prochain. A l'occasion de son meeting organisé à la salle Sierra Maestra d'Alger, les militants et cadres du plus vieux parti d'opposition n'ont de cesse de ressasser les «raisons tactiques» qui l'ont poussé à prendre part aux prochaines législatives. Une manière aussi pour le parti de Hocine Ait Ahmed de riposter aux nombreuses voix qui se sont élevées, au sein même du parti, contre ce choix de cautionner les élections. «Nous ne jouerons pas dans leur stade, nous jouerons dans notre stade», a martelé Mustapha Bouchachi, tête de liste à Alger, pour dire que le FFS restera un parti d'opposition et que la participation au scrutin du 10 mai est la seule alternative pour effectuer le changement dans le pays. Les clameurs de l'ex-président de la Ligue algérienne des droits de l'homme (LADDH) se veulent un message de bonne foi à l'adresse des Algériens, notamment aux militants et sympathisants du parti demeurés sceptiques quant aux choix de la direction nationale. Les interventions du premier secrétaire, Ali Laskri, néanmoins tête de liste dans la wilaya de Boumerdès et des autres candidats d'autres wilayas se sont focalisées sur la même perspective. C'est dire toutes les appréhensions redoutées par le FFS qui a «osé» participer au scrutin législatif après le boycott de deux législatures. Des appréhensions davantage accentuées par la débâcle du parti qui a raté ses sorties de campagne dans des localités autrefois largement acquises à sa cause. Nul besoin de rappeler dans ce sens le réaction des citoyens lors du meeting de Souk El-Tenine (Béjaia) et la faible affluence enregistrée au stade «Oukil Ramdane» dans la wilaya de Tizi-Ouzou pour illustrer les craintes du parti de Hocine Ait Ahmed. Par ailleurs, le FFS a divulgué son nouveau slogan de campagne à l'occasion du meeting d'Alger. «Qum tara» (lèves-toi pour voir) reflète on ne peut mieux la situation dans laquelle se débat le FFS qui peine à convaincre les citoyens et ses militants sur le bien-fondé de son choix. C'est aussi une manière d'inciter les Algériens à «se lever» et aller voter massivement pour «voir» par la suite les résultats de cette mobilisation citoyenne. Par ailleurs, le premier secrétaire du FFS a appelé à la mise en place d'un pacte national global pour permettre l'avènement de la deuxième République. "Au sein même des institutions de l'Etat, il y a des parties qui portent l'Algérie dans leur coeur et qui cherchent, à leur tour, une alternative démocratique au système. Il est temps qu'elles se manifestent pour un pacte national global et pour donner une chance à l'avènement d'une deuxième République", a-t-il indiqué, tout en mettant en garde contre les «menaces étrangères» qui guettent le pays.