Le scrutin du 10 mai prochain coïncidera, comme à l'accoutumée, avec un jeudi. Or, cette journée qui était fériée auparavant ne l'est plus après l'instauration du week-end semi-universel en Algérie. Ce qui pose un vrai problème organisationnel, en ce sens que les jeudis sont désormais des journées ouvrables où l'ensemble des travailleurs et des fonctionnaires des deux secteurs public et privé sont censés être sur leurs lieux de travail. Si pour les élèves des trois paliers primaire, moyen et secondaire, les pouvoirs publics ont prévu une période de repos durant la semaine du scrutin, à la fois pour préparer les examens de fin d'année mais aussi et surtout pour évacuer les différents établissements scolaires pour les besoins des centres d'élections, les travailleurs eux, restent dans l'expectative. En effet, à dix jours seulement du scrutin législatif, les travailleurs et autres fonctionnaires ne savent toujours pas comment procéder pour accomplir leur devoir le jour indiqué. A ce titre, si les autorités opteraient pour une journée chômée et payée, cela engendrerait d'énormes pertes pour l'économie nationale. Sinon, c'est les travailleurs qui seront chamboulés dans leur programme de travail si le samedi qui suivra le scrutin se substituerait à la journée du jeudi en guise de récupération. Cette déprogrammation est d'autant plus grave, en ce sens que certains secteurs d'activités doivent toujours assurer la continuité du service, d'où l'impossibilité pour plusieurs travailleurs de voter, la majorité exerçant loin de leurs lieux de résidence, donc de vote. Ce qui laisse présager un long week-end au profit de tous les travailleurs, afin de permettre à tous de pouvoir se présenter sans contraintes aux différents bureaux de vote, quitte pour cela à sacrifier trois journées entières de repos hebdomadaire. Néanmoins, les prochaines élections législatives du 10 mai, les premières à coïncider avec le week-end semi-universel adopté par les autorités du pays depuis le 14 août 2009, encourent un gros risque d'abstention, davantage accentué par cette déprogrammation. Une situation qui s'ajoutera au désintérêt flagrant affiché par les citoyens par rapport aux élections législatives, dont la campagne qui s'achèvera dans six jours n'emballe plus personne. Par ailleurs, le maintien du jeudi pour l'organisation du scrutin législatif cause un problème pour les ressortissants algériens résidant à l'étranger, notamment en France. Les derniers cités en effet, censés voter quelques jours avant le 10 mai, seront confrontés avec la réalité française dont le second tour de l'élection présidentielle est justement prévu le 6 mai prochain. Les ressortissants algériens dans l'Hexagone, des binationaux pour la majorité, devront à ce titre voter sur deux fronts durant la même période. Le scrutin du 10 mai prochain coïncidera, comme à l'accoutumée, avec un jeudi. Or, cette journée qui était fériée auparavant ne l'est plus après l'instauration du week-end semi-universel en Algérie. Ce qui pose un vrai problème organisationnel, en ce sens que les jeudis sont désormais des journées ouvrables où l'ensemble des travailleurs et des fonctionnaires des deux secteurs public et privé sont censés être sur leurs lieux de travail. Si pour les élèves des trois paliers primaire, moyen et secondaire, les pouvoirs publics ont prévu une période de repos durant la semaine du scrutin, à la fois pour préparer les examens de fin d'année mais aussi et surtout pour évacuer les différents établissements scolaires pour les besoins des centres d'élections, les travailleurs eux, restent dans l'expectative. En effet, à dix jours seulement du scrutin législatif, les travailleurs et autres fonctionnaires ne savent toujours pas comment procéder pour accomplir leur devoir le jour indiqué. A ce titre, si les autorités opteraient pour une journée chômée et payée, cela engendrerait d'énormes pertes pour l'économie nationale. Sinon, c'est les travailleurs qui seront chamboulés dans leur programme de travail si le samedi qui suivra le scrutin se substituerait à la journée du jeudi en guise de récupération. Cette déprogrammation est d'autant plus grave, en ce sens que certains secteurs d'activités doivent toujours assurer la continuité du service, d'où l'impossibilité pour plusieurs travailleurs de voter, la majorité exerçant loin de leurs lieux de résidence, donc de vote. Ce qui laisse présager un long week-end au profit de tous les travailleurs, afin de permettre à tous de pouvoir se présenter sans contraintes aux différents bureaux de vote, quitte pour cela à sacrifier trois journées entières de repos hebdomadaire. Néanmoins, les prochaines élections législatives du 10 mai, les premières à coïncider avec le week-end semi-universel adopté par les autorités du pays depuis le 14 août 2009, encourent un gros risque d'abstention, davantage accentué par cette déprogrammation. Une situation qui s'ajoutera au désintérêt flagrant affiché par les citoyens par rapport aux élections législatives, dont la campagne qui s'achèvera dans six jours n'emballe plus personne. Par ailleurs, le maintien du jeudi pour l'organisation du scrutin législatif cause un problème pour les ressortissants algériens résidant à l'étranger, notamment en France. Les derniers cités en effet, censés voter quelques jours avant le 10 mai, seront confrontés avec la réalité française dont le second tour de l'élection présidentielle est justement prévu le 6 mai prochain. Les ressortissants algériens dans l'Hexagone, des binationaux pour la majorité, devront à ce titre voter sur deux fronts durant la même période.