Sur 30 milliards de dollars de fonds à investir en 2012, QIA souhaite se renforcer sur les matières premières. «Nous aimons les commodities, nous nous plaisons à investir dans les matières premières. Depuis 2002, la tendance des prix des produits de base ne cesse d'augmenter (…) En outre, en raison de la crise financière, il n'y a pas suffisamment d'investissements dans les matières premières. Peut-être qu'en 2016 et 2017 l'écart entre l'offre et la demande poussera encore plus les prix vers le haut», explique Hussain Al Abdulla membre du comité exécutif de Qatar Investment Authority (QIA). M. Al Abdulla indique que le fonds souverain de l'émirat du Qatar n'a pas de stratégie d'allocation d'actif et pays rigide : «Notre stratégie est simple… Nous sommes opportunistes… s'il y a des opportunités d'investissements en France, nous irons en France… s'il y a des opportunités d'investissements au Rwanda, nous irons au Rwanda….» Dans le secteur minier, le fonds qatari avait une position cumulée de 6,3 % sur Xsarta qui a fusionné en février dernier avec Glencore International Plc. Dans l'agriculture, QIA a investi 2 milliards US dollars ces deux dernières années via Hassad Food Security. En Europe, le portefeuille de QIA est actionnaire du Credit Suisse, du magasin Harrods, du géant français de l'énergie Total avec 3% du capital, de LVMH (1,03% du capital), de Vivendi, du PSG, de Vinci, de Lagardère, de Porsche, de la banque britannique Barclays. En Afrique, QIA souhaite augmenter ses investissements directs, même si les dirigeants qataris pointent le manque de dossiers assez importants pour absorber leurs investissements. Sur 30 milliards de dollars de fonds à investir en 2012, QIA souhaite se renforcer sur les matières premières. «Nous aimons les commodities, nous nous plaisons à investir dans les matières premières. Depuis 2002, la tendance des prix des produits de base ne cesse d'augmenter (…) En outre, en raison de la crise financière, il n'y a pas suffisamment d'investissements dans les matières premières. Peut-être qu'en 2016 et 2017 l'écart entre l'offre et la demande poussera encore plus les prix vers le haut», explique Hussain Al Abdulla membre du comité exécutif de Qatar Investment Authority (QIA). M. Al Abdulla indique que le fonds souverain de l'émirat du Qatar n'a pas de stratégie d'allocation d'actif et pays rigide : «Notre stratégie est simple… Nous sommes opportunistes… s'il y a des opportunités d'investissements en France, nous irons en France… s'il y a des opportunités d'investissements au Rwanda, nous irons au Rwanda….» Dans le secteur minier, le fonds qatari avait une position cumulée de 6,3 % sur Xsarta qui a fusionné en février dernier avec Glencore International Plc. Dans l'agriculture, QIA a investi 2 milliards US dollars ces deux dernières années via Hassad Food Security. En Europe, le portefeuille de QIA est actionnaire du Credit Suisse, du magasin Harrods, du géant français de l'énergie Total avec 3% du capital, de LVMH (1,03% du capital), de Vivendi, du PSG, de Vinci, de Lagardère, de Porsche, de la banque britannique Barclays. En Afrique, QIA souhaite augmenter ses investissements directs, même si les dirigeants qataris pointent le manque de dossiers assez importants pour absorber leurs investissements.