Les souffrances du peuple sahraoui ont plus que duré ont estimé, jeudi à Alger, les participants à la conférence internationale des villes jumelées et solidaires avec les villes sahraouies, organisée à l'occasion de la journée de l'Afrique. Les souffrances du peuple sahraoui ont plus que duré ont estimé, jeudi à Alger, les participants à la conférence internationale des villes jumelées et solidaires avec les villes sahraouies, organisée à l'occasion de la journée de l'Afrique. La communauté internationale doit agir pour écourter les souffrances du peuple sahraoui, a déclaré, dans son intervention, M. Morrice Mbolela, le secrétaire général de l'Union des villes et gouvernements locaux d'Afrique (UCLGA). En réaffirmant le soutien indéféctible à la cause du peuple sahraoui, M. Mbolela a indiqué que la liberté des Africains n'a pas de sens tant qu'il subsistait encore une dernière colonie dans le continent. «Notre liberté n'a aucun sens tant que le territoire du Sahara occidental continue à être occupé par un autre pays africain», a-t-il dit, avant d'ajouter que les Nations unies doivent intervenir pour mettre fin à cette situation. De son côté, M. Carmilo Ramirez, coordinateur des villes et gouvernements locaux d'Espagne jumelés à des villes sahraouies, en rappelant des vérités historiques portant sur la lutte du peuple sahraoui pour son autodétermination, a estimé nécessaire le renouvellement de la coopération humanitaire dans ce type de situation. Il dira à ce propos qu' «il est nécessaire de renouveler la coopération humanitaires pour la population sahraouie dans les camps de réfugiés de Tindouf et renforcer la coopération locale entre les villes et localités sahraouis». Réitérant son soutien et contribution à l'autodétermination du peuple sahraoui, M. Ramirez, militant de longue date, a mis en exergue l'urgence d'opter pour un référendum, estimant qu'elle en est la priorité et mettre fin, dit-il, à l'oppression que vivent les Sahraouis, notamment ceux des territoires occupés par les autorités marocaines. Les participants, ont par ailleurs, appelé les Nations unies à prendre leur responsabilités, en lançant, par la même occasion, un message à l'Union européenne, lui rappelant l'urgence de stopper la spoliation des richesses naturelles au Sahara occidental. Le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), Mahez Lamari, a pour sa part plaidé pour la constitution d'un front citoyen africain pour la démocratie. Dans son intervention, il dira qu'«après une large concertation entre les acteurs de la société civile africaine et forts de leur consentement, nous appelons au lancement d'un front citoyen africain pour la démocratie et contre le retour du colonialisme sous toutes ses formes en Afrique». Mme Maya Sahli, commissaire de l'Union africaine aux droits de l'homme et des peuples, a fait savoir que le règlement de cette question «relève largement du domaine de l'application des principes du droit international» estimant, entre autres, que «la question sahraouie est récurrente, ciblée par des comportements étatiques ambivalents ». Ont pris part à cette conférence internationale plusieurs haut responsables, élus locaux algériens et sahraouis, en plus d'un nombre important de participants venus de pays africains, à l'instar du Congo, Sénégal, Burundi, République démocratique du Congo, du Mali, de Guinée ou encore représentant de la société civile mauritanienne. Des étudiants africains suivant leur cursus universitaire en Algérie ont également pris part à cette conférence où ils ont tenu à exprimer leur solidarité avec la lutte du peuple sahraoui. Soulignons, par ailleurs, la présence d'une délégation représentative de militants sahraouis des territoires occupés, a-t-on appris des organisateurs. La communauté internationale doit agir pour écourter les souffrances du peuple sahraoui, a déclaré, dans son intervention, M. Morrice Mbolela, le secrétaire général de l'Union des villes et gouvernements locaux d'Afrique (UCLGA). En réaffirmant le soutien indéféctible à la cause du peuple sahraoui, M. Mbolela a indiqué que la liberté des Africains n'a pas de sens tant qu'il subsistait encore une dernière colonie dans le continent. «Notre liberté n'a aucun sens tant que le territoire du Sahara occidental continue à être occupé par un autre pays africain», a-t-il dit, avant d'ajouter que les Nations unies doivent intervenir pour mettre fin à cette situation. De son côté, M. Carmilo Ramirez, coordinateur des villes et gouvernements locaux d'Espagne jumelés à des villes sahraouies, en rappelant des vérités historiques portant sur la lutte du peuple sahraoui pour son autodétermination, a estimé nécessaire le renouvellement de la coopération humanitaire dans ce type de situation. Il dira à ce propos qu' «il est nécessaire de renouveler la coopération humanitaires pour la population sahraouie dans les camps de réfugiés de Tindouf et renforcer la coopération locale entre les villes et localités sahraouis». Réitérant son soutien et contribution à l'autodétermination du peuple sahraoui, M. Ramirez, militant de longue date, a mis en exergue l'urgence d'opter pour un référendum, estimant qu'elle en est la priorité et mettre fin, dit-il, à l'oppression que vivent les Sahraouis, notamment ceux des territoires occupés par les autorités marocaines. Les participants, ont par ailleurs, appelé les Nations unies à prendre leur responsabilités, en lançant, par la même occasion, un message à l'Union européenne, lui rappelant l'urgence de stopper la spoliation des richesses naturelles au Sahara occidental. Le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), Mahez Lamari, a pour sa part plaidé pour la constitution d'un front citoyen africain pour la démocratie. Dans son intervention, il dira qu'«après une large concertation entre les acteurs de la société civile africaine et forts de leur consentement, nous appelons au lancement d'un front citoyen africain pour la démocratie et contre le retour du colonialisme sous toutes ses formes en Afrique». Mme Maya Sahli, commissaire de l'Union africaine aux droits de l'homme et des peuples, a fait savoir que le règlement de cette question «relève largement du domaine de l'application des principes du droit international» estimant, entre autres, que «la question sahraouie est récurrente, ciblée par des comportements étatiques ambivalents ». Ont pris part à cette conférence internationale plusieurs haut responsables, élus locaux algériens et sahraouis, en plus d'un nombre important de participants venus de pays africains, à l'instar du Congo, Sénégal, Burundi, République démocratique du Congo, du Mali, de Guinée ou encore représentant de la société civile mauritanienne. Des étudiants africains suivant leur cursus universitaire en Algérie ont également pris part à cette conférence où ils ont tenu à exprimer leur solidarité avec la lutte du peuple sahraoui. Soulignons, par ailleurs, la présence d'une délégation représentative de militants sahraouis des territoires occupés, a-t-on appris des organisateurs.