Le coup d'envoi de la septième édition du Festival culturel national de la chanson chaâbie a été donné samedi à Alger par Abdelkader Bendaâmache, commissaire du festival en présence de Khalida Toumi, ministre de la Culture. Organisé pour la première fois au théâtre de verdure Fadhila-Dziria, dans l'enceinte de l'Institut national supérieur de musique (INSM), le festival s'est ouvert par l'interprétation d'une des œuvres majeures de El-Hadj M'hammed El- Anka, «El hamdou lillah mabkache istimaar fi bladna», chantée par les 31andidats en compétition cette année sous la direction d'un orchestre symphonique composé de musiciens de toutes les régions du pays pour marquer la célébration du cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie. M. Bendaâmache a rappelé dans son allocution d'ouverture que la septième édition est dédiée à la mémoire du poète du XVIe siècle Sidi Lakhdar Benkhelouf, soulignant que ce dernier était aussi «un résistant, un sociologue et un chroniqueur de son époque». Le commissaire du festival a également rappelé que les 31 finalistes ont été sélectionnés parmi 203 participants venant de 24 willayas du pays lors de phases de sélections dont l'avant-dernière phase s'est déroulée cette année à Mostaganem, Jijel et Alger. Les cinq premiers candidats se sont ensuite succédé sur la scène du théâtre de verdure Fadhila-Dziria pour interpréter, dans des sensibilités et des tons différents, des classiques de la poésie populaire sous le regard du jury et en présence d'un des maîtres de la chanson chaâbie, Boudjemâa El- Ankis. Les interprètes de cette première soirée sont Touati Fatah de Annaba, Mezari Zahir d'Alger, Allal Houria de Ténès, Mâamar Belahcen de Chlef et Sayh Sid Ahmed de Aïn Defla. Chaque candidat a reçu après son récital un cadeau sous forme de CD regroupant des œuvres du chaâbi interprétées par les lauréats des précédentes éditions ainsi que des noms célèbres du chaâbi en plus de recueil de poésie populaire. La soirée s'est clôturée par un récital donné par un autre grand nom du chaâbi, Kamel Bourdib. Le Festival culturel de la chanson chaâbie propose cette année une série de conférences sous forme de journées pédagogiques à l'adresse des candidats. Ces journées aborderont qui des thèmes comme «la méthodologie du travail musical et la chanson chaâbie», «l'Istikhbar» ou encore «Sidi Lakhdar Benkhelouf et la mémoire collective nationale», seront organisées les après-midi à l'INSM et seront animés par des musicologues et des spécialistes du melhoun. Un spectacle spécial est prévu pour la dernière soirée du festival qui aura lieu le 10 août en présence de lauréats et participants des précédentes éditions à l'instar de Mustapha Belahcen et de Kamel Aziz. Le coup d'envoi de la septième édition du Festival culturel national de la chanson chaâbie a été donné samedi à Alger par Abdelkader Bendaâmache, commissaire du festival en présence de Khalida Toumi, ministre de la Culture. Organisé pour la première fois au théâtre de verdure Fadhila-Dziria, dans l'enceinte de l'Institut national supérieur de musique (INSM), le festival s'est ouvert par l'interprétation d'une des œuvres majeures de El-Hadj M'hammed El- Anka, «El hamdou lillah mabkache istimaar fi bladna», chantée par les 31andidats en compétition cette année sous la direction d'un orchestre symphonique composé de musiciens de toutes les régions du pays pour marquer la célébration du cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie. M. Bendaâmache a rappelé dans son allocution d'ouverture que la septième édition est dédiée à la mémoire du poète du XVIe siècle Sidi Lakhdar Benkhelouf, soulignant que ce dernier était aussi «un résistant, un sociologue et un chroniqueur de son époque». Le commissaire du festival a également rappelé que les 31 finalistes ont été sélectionnés parmi 203 participants venant de 24 willayas du pays lors de phases de sélections dont l'avant-dernière phase s'est déroulée cette année à Mostaganem, Jijel et Alger. Les cinq premiers candidats se sont ensuite succédé sur la scène du théâtre de verdure Fadhila-Dziria pour interpréter, dans des sensibilités et des tons différents, des classiques de la poésie populaire sous le regard du jury et en présence d'un des maîtres de la chanson chaâbie, Boudjemâa El- Ankis. Les interprètes de cette première soirée sont Touati Fatah de Annaba, Mezari Zahir d'Alger, Allal Houria de Ténès, Mâamar Belahcen de Chlef et Sayh Sid Ahmed de Aïn Defla. Chaque candidat a reçu après son récital un cadeau sous forme de CD regroupant des œuvres du chaâbi interprétées par les lauréats des précédentes éditions ainsi que des noms célèbres du chaâbi en plus de recueil de poésie populaire. La soirée s'est clôturée par un récital donné par un autre grand nom du chaâbi, Kamel Bourdib. Le Festival culturel de la chanson chaâbie propose cette année une série de conférences sous forme de journées pédagogiques à l'adresse des candidats. Ces journées aborderont qui des thèmes comme «la méthodologie du travail musical et la chanson chaâbie», «l'Istikhbar» ou encore «Sidi Lakhdar Benkhelouf et la mémoire collective nationale», seront organisées les après-midi à l'INSM et seront animés par des musicologues et des spécialistes du melhoun. Un spectacle spécial est prévu pour la dernière soirée du festival qui aura lieu le 10 août en présence de lauréats et participants des précédentes éditions à l'instar de Mustapha Belahcen et de Kamel Aziz.