Le géant public gazier russe Gazprom a annoncé mercredi avoir reçu l'accord définitif de la Hongrie pour la construction sur son sol du gazoduc South Stream, destiné à livrer du gaz russe à l'Union européenne via la mer Noire. L'accord définitif d'investissement pour ce tronçon de 229 kilomètres a été signé dans le cadre d'une visite dans le pays d'Alexandre Medvedev, vice-président du groupe public russe, a précisé Gazprom dans un communiqué. La Hongrie devient ainsi le deuxième pays à donner son ultime feu vert au projet, deux jours après la Serbie. En janvier, Gazprom avait annoncé que les travaux, qui devaient débuter en 2013, allaient être avancés pour débuter en décembre 2012, comme l'avait réclamé Vladimir Poutine, alors Premier ministre, fin 2011. Le gazoduc, d'une longueur de 3.600 km, doit alimenter l'Europe occidentale, notamment la Grèce et l'Italie, via la mer Noire et les Balkans. Il doit permettre à la Russie de contourner l'Ukraine, principal pays de transit actuellement, avec lequel des conflits tarifaires avec Moscou ont entraîné des interruptions temporaires de livraison vers les pays de l'UE. Le géant public gazier russe Gazprom a annoncé mercredi avoir reçu l'accord définitif de la Hongrie pour la construction sur son sol du gazoduc South Stream, destiné à livrer du gaz russe à l'Union européenne via la mer Noire. L'accord définitif d'investissement pour ce tronçon de 229 kilomètres a été signé dans le cadre d'une visite dans le pays d'Alexandre Medvedev, vice-président du groupe public russe, a précisé Gazprom dans un communiqué. La Hongrie devient ainsi le deuxième pays à donner son ultime feu vert au projet, deux jours après la Serbie. En janvier, Gazprom avait annoncé que les travaux, qui devaient débuter en 2013, allaient être avancés pour débuter en décembre 2012, comme l'avait réclamé Vladimir Poutine, alors Premier ministre, fin 2011. Le gazoduc, d'une longueur de 3.600 km, doit alimenter l'Europe occidentale, notamment la Grèce et l'Italie, via la mer Noire et les Balkans. Il doit permettre à la Russie de contourner l'Ukraine, principal pays de transit actuellement, avec lequel des conflits tarifaires avec Moscou ont entraîné des interruptions temporaires de livraison vers les pays de l'UE.