L'année 2014 qui s'annonce est d'ores et déjà considérée comme cruciale au plan politique. Ce sera en effet l'année de la révision de la Constitution. Un rendez-vous tant attendu par les Algériens en général et la classe politique en particulier. Mais en toile de fond de cet important rendez-vous politique, ce sont les élections présidentielles de 2014 qui constitueront, à coup sûr, le sujet favori des Algériens. L'année 2014 qui s'annonce est d'ores et déjà considérée comme cruciale au plan politique. Ce sera en effet l'année de la révision de la Constitution. Un rendez-vous tant attendu par les Algériens en général et la classe politique en particulier. Mais en toile de fond de cet important rendez-vous politique, ce sont les élections présidentielles de 2014 qui constitueront, à coup sûr, le sujet favori des Algériens. La révision de la Constitution focalise déjà l'attention. Le gouvernement a, très timidement, entamé des consultations avec les partis politiques sur cette question. Timidement car, jusqu'à hier, une seule formation politique a été invitée à ces consultations. Et c'est le Parti des travailleurs, comme cela a été annoncé par sa secrétaire générale, Louisa Hanoune, qui a en effet été le premier parti à avoir rencontré le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Ce dernier, qui a sûrement été mandaté par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, va-t-il poursuivre ses consultations et recevoir d'autres partis politiques ? Rien n'a été divulgué à ce propos et l'opinion publique et les partis politiques sont plutôt dans l'expectative. En effet aucune date n'a encore été avancée par les autorités et le ministre de l'Intérieur, Daho Ould Kablia, a juste indiqué il y a quelques jours que ce sera pour bientôt. Tout porte à croire que ce sera effectivement le cas dans le courant du 1er semestre de l'année 2013. Et déjà le débat autour des enjeux de cette révision constitutionnelle prend chaque jour de l'ampleur. Des partis politiques commencent à monter au créneau et chacun y va de ses propositions. Les avis sont partagés sur la nature du système politique. Ainsi si des partis sont favorables au système parlementaire d'autres sont plutôt pour un système présidentiel. Mais il y a aussi ceux qu veulent un système semi-présidentiel. Avec la nature du système politique l'autre grande question qui focalise l'attention dans le projet relatif à la révision de la Constitution a trait au nombre de mandats du président de la République. Et là aussi il semble que la majorité des avis se soient définitivement rangés en faveur de deux mandats de 5 ans. En somme, si cette option est retenue, ce sera une « réhabilitation » d'une disposition qui existait avant la révision de la loi fondamentale le 12 novembre 2008. Une révision qui a permis au chef de l'Etat de briguer un troisième mandat puisque le verrou de deux mandats uniquement a été levé, suite au vote de parlementaires des deux chambres. Un peu plus de quatre ans donc on veut revenir au principe de deux mandats. Mais même en consacrant cette disposition dans la prochaine Constitution, dont le projet sera élaboré par une commission quI sera installée probablement au mois de janvier, le président de la République pourra briguer un quatrième mandat. 2012, disgrâce d'Ouyahia et Belkhadem Abdelaziz Bouteflika va-t-il briguer un quatrième mandat ? Et c'est cette question qui dominera les débats politiques durant l'année 2013, ce d'autant qu'il est certain que le chef de l'Etat ne lèvera pas de sitôt le voile sur ses intentions. Cependant les partisans d'une telle option s'affichent d'ores et déjà au grand jour. Et il est certain qu'il en sera de même, avec une plus grande ampleur, tout le long de l'année 2013. Une année qui sera entièrement dominée par la question de la présidentielle de 2014 pour laquelle les grandes manœuvres ont d'ores et déjà commencées. Il n'est nul besoin d'être grand clerc pour dire que les luttes intestines qui font rage au sein du RND et du FLN n'ont aucun rapport avec cette échéance poïétique de 2014. Les secrétaire généraux de ces deux partis politiques, en l'occurrence Abdelaziz Belkhadem et Ahmed Ouyahia, se rappelleront sûrement longtemps encore de l'année 2012 qui est sur le point de s'achever. Car cette dernière pourrait être celle de la tombée en disgrâce de ces deux hommes qui ont été, durant la décennie 2000 en haut de l'affiche politique. Belkhadem comme Ouyahia font face à des mouvements de dissidence qui sont allés s'amplifiant au fur et à mesure. Cela outre le fait qu'après avoir été des fers de lance du gouvernement durant un peu plus d'une décennie les deux hommes ne semblent plus être dans les bonnes grâces du président de la République. Ainsi Ahmed Ouyahia a perdu son poste de Premier ministre au profit de Abdelmalek Sellal. C'était le 3 septembre dernier lorsque le président de la république a décidé d'un remaniement partiel du gouvernement. Un remaniement qui a aussi été fatal pour le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem. Ce dernier ne figure plus dans l'équipe gouvernementale. Belkhadem et Ouyahia, dont on dit qu'ils nourrissent des ambitions présidentielles, sont dès lors de plus en plus critiqués au sein de leurs partis respectifs et ils risquent fort d'être destitués dans peu de temps. Et pourtant ils ont réussi à mener à bon port leurs partis lors des deux échéances électorales de l'année 2012. Aux élections législatives, au mois de mai, comme aux élections locales du 29 novembre dernier, le FLN et le RND ont confirmé leur domination sur la scène politique nationale en remportant haut la main ces deux rendez-vous. Une victoire qui leur permet de garder la mainmise à l'APN et dans les assemblées locales. Une domination qui s'est confirmé avant-hier seulement puisque les deux partis sont sortis victorieux des élections pour le renouvellement partiel des membres du Conseil de la Nation. La révision de la Constitution focalise déjà l'attention. Le gouvernement a, très timidement, entamé des consultations avec les partis politiques sur cette question. Timidement car, jusqu'à hier, une seule formation politique a été invitée à ces consultations. Et c'est le Parti des travailleurs, comme cela a été annoncé par sa secrétaire générale, Louisa Hanoune, qui a en effet été le premier parti à avoir rencontré le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Ce dernier, qui a sûrement été mandaté par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, va-t-il poursuivre ses consultations et recevoir d'autres partis politiques ? Rien n'a été divulgué à ce propos et l'opinion publique et les partis politiques sont plutôt dans l'expectative. En effet aucune date n'a encore été avancée par les autorités et le ministre de l'Intérieur, Daho Ould Kablia, a juste indiqué il y a quelques jours que ce sera pour bientôt. Tout porte à croire que ce sera effectivement le cas dans le courant du 1er semestre de l'année 2013. Et déjà le débat autour des enjeux de cette révision constitutionnelle prend chaque jour de l'ampleur. Des partis politiques commencent à monter au créneau et chacun y va de ses propositions. Les avis sont partagés sur la nature du système politique. Ainsi si des partis sont favorables au système parlementaire d'autres sont plutôt pour un système présidentiel. Mais il y a aussi ceux qu veulent un système semi-présidentiel. Avec la nature du système politique l'autre grande question qui focalise l'attention dans le projet relatif à la révision de la Constitution a trait au nombre de mandats du président de la République. Et là aussi il semble que la majorité des avis se soient définitivement rangés en faveur de deux mandats de 5 ans. En somme, si cette option est retenue, ce sera une « réhabilitation » d'une disposition qui existait avant la révision de la loi fondamentale le 12 novembre 2008. Une révision qui a permis au chef de l'Etat de briguer un troisième mandat puisque le verrou de deux mandats uniquement a été levé, suite au vote de parlementaires des deux chambres. Un peu plus de quatre ans donc on veut revenir au principe de deux mandats. Mais même en consacrant cette disposition dans la prochaine Constitution, dont le projet sera élaboré par une commission quI sera installée probablement au mois de janvier, le président de la République pourra briguer un quatrième mandat. 2012, disgrâce d'Ouyahia et Belkhadem Abdelaziz Bouteflika va-t-il briguer un quatrième mandat ? Et c'est cette question qui dominera les débats politiques durant l'année 2013, ce d'autant qu'il est certain que le chef de l'Etat ne lèvera pas de sitôt le voile sur ses intentions. Cependant les partisans d'une telle option s'affichent d'ores et déjà au grand jour. Et il est certain qu'il en sera de même, avec une plus grande ampleur, tout le long de l'année 2013. Une année qui sera entièrement dominée par la question de la présidentielle de 2014 pour laquelle les grandes manœuvres ont d'ores et déjà commencées. Il n'est nul besoin d'être grand clerc pour dire que les luttes intestines qui font rage au sein du RND et du FLN n'ont aucun rapport avec cette échéance poïétique de 2014. Les secrétaire généraux de ces deux partis politiques, en l'occurrence Abdelaziz Belkhadem et Ahmed Ouyahia, se rappelleront sûrement longtemps encore de l'année 2012 qui est sur le point de s'achever. Car cette dernière pourrait être celle de la tombée en disgrâce de ces deux hommes qui ont été, durant la décennie 2000 en haut de l'affiche politique. Belkhadem comme Ouyahia font face à des mouvements de dissidence qui sont allés s'amplifiant au fur et à mesure. Cela outre le fait qu'après avoir été des fers de lance du gouvernement durant un peu plus d'une décennie les deux hommes ne semblent plus être dans les bonnes grâces du président de la République. Ainsi Ahmed Ouyahia a perdu son poste de Premier ministre au profit de Abdelmalek Sellal. C'était le 3 septembre dernier lorsque le président de la république a décidé d'un remaniement partiel du gouvernement. Un remaniement qui a aussi été fatal pour le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem. Ce dernier ne figure plus dans l'équipe gouvernementale. Belkhadem et Ouyahia, dont on dit qu'ils nourrissent des ambitions présidentielles, sont dès lors de plus en plus critiqués au sein de leurs partis respectifs et ils risquent fort d'être destitués dans peu de temps. Et pourtant ils ont réussi à mener à bon port leurs partis lors des deux échéances électorales de l'année 2012. Aux élections législatives, au mois de mai, comme aux élections locales du 29 novembre dernier, le FLN et le RND ont confirmé leur domination sur la scène politique nationale en remportant haut la main ces deux rendez-vous. Une victoire qui leur permet de garder la mainmise à l'APN et dans les assemblées locales. Une domination qui s'est confirmé avant-hier seulement puisque les deux partis sont sortis victorieux des élections pour le renouvellement partiel des membres du Conseil de la Nation.