Le secrétaire d'Etat auprès du ministre du Tourisme et de l'Artisanat, chargé du Tourisme, Mohamed-Amine Hadj Said, a appelé, hier à Alger, les opérateurs et différents acteurs intervenant dans le secteur du tourisme à s'inscrire dans une dynamique de marketing touristique. Intervenant à l'ouverture de la 4ème édition des journées sur le marketing touristique, M. Hadj Saïd a affirmé que cette approche est "importante" dans la mesure où elle permet aux professionnels du secteur "d'apprendre à réaliser et à produire du tourisme tout en respectant la spécificité du secteur touristique". "Nous devons nous atteler à réaliser le produit qui se vend et non à vendre le produit que l'on réalise", a-t-il dit, faisant observer que toute entreprise activant dans ce créneau "doit s'adapter aux exigences du marché". En ce sens, M. Hadj Saïd a évoqué le "consommateur" qui participe à la fabrication du produit du fait de ses exigences et de ses attentes, affirmant à ce propos que la relance du tourisme en Algérie doit s'adapter à la modernisation et à ce qui se passe de par le monde. Le secrétaire d'Etat a également parler de "destinations" au pluriel, invitant les professionnels à ne plus utiliser ce terme au singulier, expliquant que le concept est en train de changer dans le monde. Il a ainsi cité " les différentes destinations" que recèle l'Algérie, comme la montagne, la mer, le Sahara et d'autres destinations à caractère cultuel et culturel, insistant notamment sur "l'impact de l'identité visuelle" dans la promotion de chaque destination. M. Hadj Saïd a en outre estimé qu'il était "nécessaire" de s'inscrire dans une "dynamique du tourisme durable", soulignant que la ressource touristique est "rare et non renouvelable". Il a ainsi exhorté les opérateurs et professionnels de "copier" ce qui se fait ailleurs en la matière tout en évitant de prendre les aspects négatifs de manière à éviter les erreurs d'autrui. Insistant sur la promotion du marketing touristique, il a regretté cependant que la destination Algérie continue encore de "pâtir" de la qualité des prestations de service et du "déficit" en matière de communication, soulignant à ce propos "l'importance" de la formation, du recyclage et de la mise à niveau des connaissances. M. Hadj Saïd a rappelé que les efforts déployés par l'Etat pour la relance du tourisme s'inscrivent dans le cadre du Schéma national de l'aménagement touristique (SNAT) qui fait partie du Schéma directeur de l'aménagement du territoire (SDAT) à l'horizon 2030. Il a indiqué que le SNAT se base sur cinq piliers, dont le plan qualité tourisme qui accorde une importance "capitale" à l'amélioration de la destination Algérie, soulignant que l'image véhiculée et présentée est "capitale" pour tous touristes. Le deuxième pilier est en relation avec le plan qualité tourisme, à savoir la formation pour laquelle une importance est également accordée dans le but d'améliorer la qualité des prestations de service, a-t-il dit. Le troisième pilier concerne l'encouragement de l'investissement pour remédier au déficit du parc hôtelier en Algérie. M. Hadj Said a souhaité qu'il y ait davantage de concurrence entre les opérateurs dans le but d'améliorer la qualité. Pour ce qui est du quatrième pilier relatif au financement, le ministère du Tourisme offre un accompagnement financier aux investisseurs à travers les banques qui ont adhéré à cette démarche, selon M Hadj Said. Le dernier pilier concerne l'intersectorialité dans la mesure où le tourisme ne peut être développé sans le développement d'autres secteurs. Le secrétaire d'Etat auprès du ministre du Tourisme et de l'Artisanat, chargé du Tourisme, Mohamed-Amine Hadj Said, a appelé, hier à Alger, les opérateurs et différents acteurs intervenant dans le secteur du tourisme à s'inscrire dans une dynamique de marketing touristique. Intervenant à l'ouverture de la 4ème édition des journées sur le marketing touristique, M. Hadj Saïd a affirmé que cette approche est "importante" dans la mesure où elle permet aux professionnels du secteur "d'apprendre à réaliser et à produire du tourisme tout en respectant la spécificité du secteur touristique". "Nous devons nous atteler à réaliser le produit qui se vend et non à vendre le produit que l'on réalise", a-t-il dit, faisant observer que toute entreprise activant dans ce créneau "doit s'adapter aux exigences du marché". En ce sens, M. Hadj Saïd a évoqué le "consommateur" qui participe à la fabrication du produit du fait de ses exigences et de ses attentes, affirmant à ce propos que la relance du tourisme en Algérie doit s'adapter à la modernisation et à ce qui se passe de par le monde. Le secrétaire d'Etat a également parler de "destinations" au pluriel, invitant les professionnels à ne plus utiliser ce terme au singulier, expliquant que le concept est en train de changer dans le monde. Il a ainsi cité " les différentes destinations" que recèle l'Algérie, comme la montagne, la mer, le Sahara et d'autres destinations à caractère cultuel et culturel, insistant notamment sur "l'impact de l'identité visuelle" dans la promotion de chaque destination. M. Hadj Saïd a en outre estimé qu'il était "nécessaire" de s'inscrire dans une "dynamique du tourisme durable", soulignant que la ressource touristique est "rare et non renouvelable". Il a ainsi exhorté les opérateurs et professionnels de "copier" ce qui se fait ailleurs en la matière tout en évitant de prendre les aspects négatifs de manière à éviter les erreurs d'autrui. Insistant sur la promotion du marketing touristique, il a regretté cependant que la destination Algérie continue encore de "pâtir" de la qualité des prestations de service et du "déficit" en matière de communication, soulignant à ce propos "l'importance" de la formation, du recyclage et de la mise à niveau des connaissances. M. Hadj Saïd a rappelé que les efforts déployés par l'Etat pour la relance du tourisme s'inscrivent dans le cadre du Schéma national de l'aménagement touristique (SNAT) qui fait partie du Schéma directeur de l'aménagement du territoire (SDAT) à l'horizon 2030. Il a indiqué que le SNAT se base sur cinq piliers, dont le plan qualité tourisme qui accorde une importance "capitale" à l'amélioration de la destination Algérie, soulignant que l'image véhiculée et présentée est "capitale" pour tous touristes. Le deuxième pilier est en relation avec le plan qualité tourisme, à savoir la formation pour laquelle une importance est également accordée dans le but d'améliorer la qualité des prestations de service, a-t-il dit. Le troisième pilier concerne l'encouragement de l'investissement pour remédier au déficit du parc hôtelier en Algérie. M. Hadj Said a souhaité qu'il y ait davantage de concurrence entre les opérateurs dans le but d'améliorer la qualité. Pour ce qui est du quatrième pilier relatif au financement, le ministère du Tourisme offre un accompagnement financier aux investisseurs à travers les banques qui ont adhéré à cette démarche, selon M Hadj Said. Le dernier pilier concerne l'intersectorialité dans la mesure où le tourisme ne peut être développé sans le développement d'autres secteurs.