Après plusieurs tentatives auprès du ministère de l'éducation, l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unpef) a entamé une grève de trois jours, afin de revendiquer leurs droits. Les directeurs, censeurs, et inspecteurs ont investit les lieux devant l'annexe de l'éducation de Belouizdad... Après plusieurs tentatives auprès du ministère de l'éducation, l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unpef) a entamé une grève de trois jours, afin de revendiquer leurs droits. Les directeurs, censeurs, et inspecteurs ont investit les lieux devant l'annexe de l'éducation de Belouizdad... En effet Les travailleurs de l'éducation, dans toutes les wilayas d'Algérie ont entamé, un débrayage depuis lundi. Déterminé à se faire entendre par n'importe quel moyen pour réclamer la révision du système de calcul « des primes et indemnités ». Ils revendiquent leurs statuts, primes et autres indemnités liées au poste et aux conditions d'exercice des fonctions. Dans un communiqué rendu public à l'issue d'une réunion tenue par les instances du syndicat, l'Unpef exige la révision des primes précitées et leur alignement sur le nouveau salaire de base. «Ces primes, qui sont accordées aux travailleurs de l'Education, alors que ce salaire a été revue plusieurs fois à la hausse», précise le syndicat. L'Unpef explique aussi que le dossier des primes de zone ne relève pas des prérogatives du ministère de l'Education, mais de celles du Premier ministre qui gère toute la Fonction publique. Nous avons saisi, le 4 décembre 2012, le ministère de l'Education pour accélérer la démarche auprès du Premier ministre, en vain » explique l'Unpef. « La tutelle n'a pas tenue ses promesses, faites le 04/12/2012, et donc n'a pas trouvé de solution concernant l'article 315/08 puisque beaucoup de censeurs et directeurs et pédagogues se considère cloisonné et limité pour ne pas dire victime de cette nouvelle lois » Dans le rassemblement, coupé en deux par la circulation des voitures et quelques policiers sur qui ont investi les lieux afin que ce mouvement protestataire ne tourne pas au vinaigre. D'un temps levé un homme plutôt la cinquantaine se rapproche de nous et scande « Je suis directeur d'un CEM de la wilaya de Sétif depuis 2007. Aujourd'hui nous ne voulons plus que nos statuts continuent être égaux où inférieurs à ceux des professeurs. Vu nos taches qui sont nombreux, et la lourde responsabilité que nous assumons. Certes les professeurs sont avec les élèves. Néanmoins nous nous sommes avec les professeurs et les élèves aussi, nous subissons trop de pression de 45 heures par semaine, contre un misérable salaires ». Avant qu'il n'eut le temps de terminer sa phrase il faut interrompu par un confrère encore plus chauffé que les autres protestataires « Nous avons tenter à plusieurs reprise de trouver des solutions en envoyant du courrier à la tutelle, mais malheureusement nos efforts étaient vains. Leur silence nous a poussé à prendre cette initiative et se regrouper aujourd'hui devant l'annexe de Ruisseau afin de revendiquer nos droits. Pour que les directeurs censeurs, et tous ceux qui sont victime de la nouvelle loi, puissent enfin jouir de ce qui leurs vient de droit. Surtout à Blida à « Larebaa » nous avons levé le drapeau algérien au sein des écoles, lors du terrorisme et au moment où la plupart des écoles étaient fermés » déclare un coordinateur de Blida avant d'ajouter «Nous sommes 600 pédagogues et le taux de participation a avoisiné les 90 % et ce n'est que le début », a-t-il précisé. La principale revendication des travailleurs est le calcul des primes et indemnités spécifiques aux directeurs, censeurs, et inspecteurs, le nouveau salaire de base promulgué dans les nouveaux statuts, explique-t-il., « un censeur est placé en catégorie 14 en Algérie alors qu'il est considéré comme un ingénieur de pédagogie à l'étranger , c'est un carnage à l'encontre des directeurs » précise Mustapha kahlal un directeur de CEM « nous nous arrêteront pas et nous referons grève après grève, et si il faut en programmera une marche depuis l'annexe de Belouizdad jusqu'à la présidence » « Il faut modifier ou changer carrément la nouvelle loi et on entend par ça : refaire le statut et les catégories et ce en convenance avec leurs taches et emploi du temps, il faut également respecter le bon déroulement de la Hiérarchie d'où la priorité aux censeurs, il faut aussi permettre à tous les travailleurs ayant une licence où un diplôme supérieur de faire des concours et d'évoluer dans leurs travailles. Et pour le moment nous demandons à ce que les concours soient reportés jusqu'à ce que la loi soit revue par la tutelle, ou bien donner l'opportunité à tous de faire des concours pour évoluer. Nous somme méprisés au détriment des autres on nous a cloisonné dans ces postes. On demande juste ce qu'il nous reviens de droit, je doit attendre 7 ans pour pouvoir participer à un concours alors que j'ai un diplôme d'ingéniorat et je suis en catégorie 13 c'est vraiment scandaleux et c'est de la discrimination » déclare un censeur dans un CEM à Ain Defla. En effet Les travailleurs de l'éducation, dans toutes les wilayas d'Algérie ont entamé, un débrayage depuis lundi. Déterminé à se faire entendre par n'importe quel moyen pour réclamer la révision du système de calcul « des primes et indemnités ». Ils revendiquent leurs statuts, primes et autres indemnités liées au poste et aux conditions d'exercice des fonctions. Dans un communiqué rendu public à l'issue d'une réunion tenue par les instances du syndicat, l'Unpef exige la révision des primes précitées et leur alignement sur le nouveau salaire de base. «Ces primes, qui sont accordées aux travailleurs de l'Education, alors que ce salaire a été revue plusieurs fois à la hausse», précise le syndicat. L'Unpef explique aussi que le dossier des primes de zone ne relève pas des prérogatives du ministère de l'Education, mais de celles du Premier ministre qui gère toute la Fonction publique. Nous avons saisi, le 4 décembre 2012, le ministère de l'Education pour accélérer la démarche auprès du Premier ministre, en vain » explique l'Unpef. « La tutelle n'a pas tenue ses promesses, faites le 04/12/2012, et donc n'a pas trouvé de solution concernant l'article 315/08 puisque beaucoup de censeurs et directeurs et pédagogues se considère cloisonné et limité pour ne pas dire victime de cette nouvelle lois » Dans le rassemblement, coupé en deux par la circulation des voitures et quelques policiers sur qui ont investi les lieux afin que ce mouvement protestataire ne tourne pas au vinaigre. D'un temps levé un homme plutôt la cinquantaine se rapproche de nous et scande « Je suis directeur d'un CEM de la wilaya de Sétif depuis 2007. Aujourd'hui nous ne voulons plus que nos statuts continuent être égaux où inférieurs à ceux des professeurs. Vu nos taches qui sont nombreux, et la lourde responsabilité que nous assumons. Certes les professeurs sont avec les élèves. Néanmoins nous nous sommes avec les professeurs et les élèves aussi, nous subissons trop de pression de 45 heures par semaine, contre un misérable salaires ». Avant qu'il n'eut le temps de terminer sa phrase il faut interrompu par un confrère encore plus chauffé que les autres protestataires « Nous avons tenter à plusieurs reprise de trouver des solutions en envoyant du courrier à la tutelle, mais malheureusement nos efforts étaient vains. Leur silence nous a poussé à prendre cette initiative et se regrouper aujourd'hui devant l'annexe de Ruisseau afin de revendiquer nos droits. Pour que les directeurs censeurs, et tous ceux qui sont victime de la nouvelle loi, puissent enfin jouir de ce qui leurs vient de droit. Surtout à Blida à « Larebaa » nous avons levé le drapeau algérien au sein des écoles, lors du terrorisme et au moment où la plupart des écoles étaient fermés » déclare un coordinateur de Blida avant d'ajouter «Nous sommes 600 pédagogues et le taux de participation a avoisiné les 90 % et ce n'est que le début », a-t-il précisé. La principale revendication des travailleurs est le calcul des primes et indemnités spécifiques aux directeurs, censeurs, et inspecteurs, le nouveau salaire de base promulgué dans les nouveaux statuts, explique-t-il., « un censeur est placé en catégorie 14 en Algérie alors qu'il est considéré comme un ingénieur de pédagogie à l'étranger , c'est un carnage à l'encontre des directeurs » précise Mustapha kahlal un directeur de CEM « nous nous arrêteront pas et nous referons grève après grève, et si il faut en programmera une marche depuis l'annexe de Belouizdad jusqu'à la présidence » « Il faut modifier ou changer carrément la nouvelle loi et on entend par ça : refaire le statut et les catégories et ce en convenance avec leurs taches et emploi du temps, il faut également respecter le bon déroulement de la Hiérarchie d'où la priorité aux censeurs, il faut aussi permettre à tous les travailleurs ayant une licence où un diplôme supérieur de faire des concours et d'évoluer dans leurs travailles. Et pour le moment nous demandons à ce que les concours soient reportés jusqu'à ce que la loi soit revue par la tutelle, ou bien donner l'opportunité à tous de faire des concours pour évoluer. Nous somme méprisés au détriment des autres on nous a cloisonné dans ces postes. On demande juste ce qu'il nous reviens de droit, je doit attendre 7 ans pour pouvoir participer à un concours alors que j'ai un diplôme d'ingéniorat et je suis en catégorie 13 c'est vraiment scandaleux et c'est de la discrimination » déclare un censeur dans un CEM à Ain Defla.