C'est ainsi que l'on efface tout et l'on recommence avec des supposées méthodes nouvelles qui ne sont en fait qu'un replâtrage. Car si réelle réforme il devait y avoir il faudrait que ces "commissions compétentes" repensent l'école de bout en bout. C'est ainsi que l'on efface tout et l'on recommence avec des supposées méthodes nouvelles qui ne sont en fait qu'un replâtrage. Car si réelle réforme il devait y avoir il faudrait que ces "commissions compétentes" repensent l'école de bout en bout. C'est décidé, on efface le tableau noir sur lequel étaient notées les réformes appliquées jusque-là. La communauté éducative sur instruction du ministre de l'Education, Baba Ahmed, va devoir étudier quatre cents propositions émises par une commission -encore une- d'évaluation des réformes engagées. Chaque ministre de l'Education a sa propre vision du système éducatif et remet en cause les méthodes de son prédécesseur. A chaque ministre, sa réforme. C'est ainsi que l'on efface tout et l'on recommence avec des supposées méthodes nouvelles qui ne sont en fait qu'un replâtrage. Car si réelle réforme il devait y avoir il faudrait que ces « commissions compétentes »repensent l'école de bout en bout. Des assises nationales, pilotées par des spécialistes en la matière vont plancher pour la énième fois, le temps des vacances scolaires d'été et formuler sur la base des propositions de la communauté éducative des aménagements à introduire dans le système éducatif national notamment sur les programmes scolaires. On a souvent disserté sur les programmes et clamé haut et fort qu'ils n'étaient pas bien adaptés au niveau des élèves. Il y a aussi beaucoup à dire sur les méthodes employées par les instituteurs et professeurs qui ont très peu de notions de pédagogie et encore moins de psychologie de l'enfant, deux données essentielles pour bien enseigner, la troisième étant l'amour du métier. Les formations dont avait parlé l'ex-ministre Boubekeur Benbouzid n'ont pas porté leurs fruits les enseignants démotivés par des revendications socioprofessionnelles qui tardent à être prises en compte. Résultat des courses, nos petits potaches sont les premiers à faire les frais d'un enseignement de mauvaise qualité, des programmes chargés avec des méthodes peu orthodoxes. Le département de l'Education nationale est un véritable laboratoire de recherche avec des écoliers-cobayes sur lesquels, les «chercheurs expérimentent pour ensuite mettre en pratique leur "Eurêka"». Attendons la rentrée prochaine pour juger sur pièces, en attendant la cloche a sonné pour des milliers d'élèves, l'école est finie !. C'est décidé, on efface le tableau noir sur lequel étaient notées les réformes appliquées jusque-là. La communauté éducative sur instruction du ministre de l'Education, Baba Ahmed, va devoir étudier quatre cents propositions émises par une commission -encore une- d'évaluation des réformes engagées. Chaque ministre de l'Education a sa propre vision du système éducatif et remet en cause les méthodes de son prédécesseur. A chaque ministre, sa réforme. C'est ainsi que l'on efface tout et l'on recommence avec des supposées méthodes nouvelles qui ne sont en fait qu'un replâtrage. Car si réelle réforme il devait y avoir il faudrait que ces « commissions compétentes »repensent l'école de bout en bout. Des assises nationales, pilotées par des spécialistes en la matière vont plancher pour la énième fois, le temps des vacances scolaires d'été et formuler sur la base des propositions de la communauté éducative des aménagements à introduire dans le système éducatif national notamment sur les programmes scolaires. On a souvent disserté sur les programmes et clamé haut et fort qu'ils n'étaient pas bien adaptés au niveau des élèves. Il y a aussi beaucoup à dire sur les méthodes employées par les instituteurs et professeurs qui ont très peu de notions de pédagogie et encore moins de psychologie de l'enfant, deux données essentielles pour bien enseigner, la troisième étant l'amour du métier. Les formations dont avait parlé l'ex-ministre Boubekeur Benbouzid n'ont pas porté leurs fruits les enseignants démotivés par des revendications socioprofessionnelles qui tardent à être prises en compte. Résultat des courses, nos petits potaches sont les premiers à faire les frais d'un enseignement de mauvaise qualité, des programmes chargés avec des méthodes peu orthodoxes. Le département de l'Education nationale est un véritable laboratoire de recherche avec des écoliers-cobayes sur lesquels, les «chercheurs expérimentent pour ensuite mettre en pratique leur "Eurêka"». Attendons la rentrée prochaine pour juger sur pièces, en attendant la cloche a sonné pour des milliers d'élèves, l'école est finie !.