La violence dans les écoles ne cesse de devenir préoccupante. Ce phénomène prend des proportions alarmantes. Depuis des années ce fléau est dans une courbe ascendante. La violence dans les écoles ne cesse de devenir préoccupante. Ce phénomène prend des proportions alarmantes. Depuis des années ce fléau est dans une courbe ascendante. Tous les acteurs des secteurs de l'éducation nationale, les enseignants en premier lieu, n'ont eu de cesse d'attirer l'attention des responsables du ministère sur cette montée en force de la violence. Ce qui vient de se passer lors de l'examen du baccalauréat, illustre on ne peut mieux les craintes affichées par les enseignants. La sonnette d'alarme est désormais tirée et c'est ce que vient de rappeler le Syndicat des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest). Dans un communiqué rendu public à l'issue de la réunion de son bureau national et des coordinateurs d'une trentaine de wilayas, le Snapest revient, comme pour mieux illustrer son constat, sur l'épisode de l'examen du baccalauréat de cette année ou de graves événements se sont produits lors des épreuves de philosophie. Selon le Snapest, qui s'est basé sur les rapports des coordinateurs de wilaya, les enseignants, qui assuraient la surveillance de l'examen, ont fait l'objet d'insultes, tout comme ils ont été agressés physiquement par les élèves et leurs biens saccagés. Le Snapest fait cas aussi de graves dérapages et promet, dès la fin des corrections des copies du bac, de rendre public un rapport complet sur ce qui s'est passé lors de l'épreuve de philosophie. Mais pourquoi ces dérapages et qui en est responsable ? Pour le Snapest les responsabilités sont partagées entre la tutelle, à savoir le ministère de l'Education nationale, et les parents d'élèves. « Ce qui s'est passé est la conséquence logique du laxisme des autorités avec les élèves ». Et c'est pourquoi le syndicat met en garde contre la violence dans les écoles car, indique encore le communiqué, « les choses risquent d'empirer à l'avenir si la tutelle ne fait rien ». A ce titre le Snapest invite le ministère de l'Education a révisé les lois en vigueur relatives au déroulement des examens afin d'assurer une meilleure sécurité et une protection complète pour les enseignants encadreurs. Il est évident que le grave épisode du bac ne restera pas sans suite et tout porte à croire que ministère et syndicats seront appelés à conjuguer leurs efforts pour trouver des solutions idoines à même d'éviter la réédition de ce qui s'est passé au bac de cette année. Par ailleurs le Snapest est revenu sur de nombreuses autres questions qui préoccupent le syndicat. «Nous appelons le gouvernement à concrétiser ses engagements concernant l'indemnité de poste et la prise en charge de l'ensemble des revendications des travailleurs du Sud et des Hauts-Plateaux» pour lesquelles, rappelons-le, des syndicats ont initié plusieurs grèves ces dernières semaines. Le Snapest demande aussi à la tutelle la mise en application de l'accord commun et surtout les questions relatives à la médecine du travail, les heures supplémentaires ainsi que le point concernant les modalités d'intégration. Tous les acteurs des secteurs de l'éducation nationale, les enseignants en premier lieu, n'ont eu de cesse d'attirer l'attention des responsables du ministère sur cette montée en force de la violence. Ce qui vient de se passer lors de l'examen du baccalauréat, illustre on ne peut mieux les craintes affichées par les enseignants. La sonnette d'alarme est désormais tirée et c'est ce que vient de rappeler le Syndicat des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest). Dans un communiqué rendu public à l'issue de la réunion de son bureau national et des coordinateurs d'une trentaine de wilayas, le Snapest revient, comme pour mieux illustrer son constat, sur l'épisode de l'examen du baccalauréat de cette année ou de graves événements se sont produits lors des épreuves de philosophie. Selon le Snapest, qui s'est basé sur les rapports des coordinateurs de wilaya, les enseignants, qui assuraient la surveillance de l'examen, ont fait l'objet d'insultes, tout comme ils ont été agressés physiquement par les élèves et leurs biens saccagés. Le Snapest fait cas aussi de graves dérapages et promet, dès la fin des corrections des copies du bac, de rendre public un rapport complet sur ce qui s'est passé lors de l'épreuve de philosophie. Mais pourquoi ces dérapages et qui en est responsable ? Pour le Snapest les responsabilités sont partagées entre la tutelle, à savoir le ministère de l'Education nationale, et les parents d'élèves. « Ce qui s'est passé est la conséquence logique du laxisme des autorités avec les élèves ». Et c'est pourquoi le syndicat met en garde contre la violence dans les écoles car, indique encore le communiqué, « les choses risquent d'empirer à l'avenir si la tutelle ne fait rien ». A ce titre le Snapest invite le ministère de l'Education a révisé les lois en vigueur relatives au déroulement des examens afin d'assurer une meilleure sécurité et une protection complète pour les enseignants encadreurs. Il est évident que le grave épisode du bac ne restera pas sans suite et tout porte à croire que ministère et syndicats seront appelés à conjuguer leurs efforts pour trouver des solutions idoines à même d'éviter la réédition de ce qui s'est passé au bac de cette année. Par ailleurs le Snapest est revenu sur de nombreuses autres questions qui préoccupent le syndicat. «Nous appelons le gouvernement à concrétiser ses engagements concernant l'indemnité de poste et la prise en charge de l'ensemble des revendications des travailleurs du Sud et des Hauts-Plateaux» pour lesquelles, rappelons-le, des syndicats ont initié plusieurs grèves ces dernières semaines. Le Snapest demande aussi à la tutelle la mise en application de l'accord commun et surtout les questions relatives à la médecine du travail, les heures supplémentaires ainsi que le point concernant les modalités d'intégration.