Depuis le récent attentat de l'opposant tunisien, Ahmed Brahmi, et l'embuscade qui a coûté la vie à huit militaires tunisiens qui combattaient les terroristes dans le djebel Chaâmbi, et qui ont été retrouvés dépouillés de leurs uniformes et de leurs armes, la Tunisie d'aujourd'hui bascule dans le terrorisme. Depuis le récent attentat de l'opposant tunisien, Ahmed Brahmi, et l'embuscade qui a coûté la vie à huit militaires tunisiens qui combattaient les terroristes dans le djebel Chaâmbi, et qui ont été retrouvés dépouillés de leurs uniformes et de leurs armes, la Tunisie d'aujourd'hui bascule dans le terrorisme. Un mode opératoire qui rappelle étrangement celui de l'attaque de la caserne de Guemmar qui fut la première attaque terroriste où des militaires algériens avaient été assassinés et qui aura été le prélude à la décennie noire. Avec cette embuscade, l'Algérie tout comme la Tunisie sont conscientes des défis sécuritaires par la circulation des armes et des djihadistes. L'Algérie et la Tunisie savent que les terroristes défaits en Algérie et chassés du nord du Mali cherchent à établir de nouveaux campements au djebel Chaâmbi qui se trouve au centre-ouest de la Tunisie et au sud de la Libye. C'est pourquoi l'Algérie a pris les devants. Tout au long des frontières algéro-tunisiennes, les contrôles des personnes ainsi que les biens sont renforcés. Une possible fermeture de ces frontières n'est pas à écarter. L'Algérie sort sa grosse «artillerie» c'est ainsi que des hélicoptères de la Gendarmerie nationale ainsi que l'aviation militaire survolent les villes frontalières. Au sol pas moins de cinq cents véhicules tout terrain sillonnent le tracé frontalier, traversant les wilayas d'El Tarf, Souk Ahras, Tébessa El Oued jusqu'au nord de Souk Ahras. Ce puissant déploiement frontalier intervient au lendemain de l'arrestation à El Oued d'un des plus dangereux terroristes, en l'occcurence Kamel Ben Arbia alias Abou Fida, émir de son état en Algérie et natif de la région activement recherché par les autorités tunisiennes et qui faisait partie d'un groupe terroriste composé de Khaled Hamadi Chayeb, Ismaïl Ghrissi, Mohamed Saâd Hassine, Abdelghani Ouhichi, Ahmed Ben Ahmed Baccar, Mohamed Arbi Ben Messaoud Ben Ali impliquées dans cet attentat. Pour les autorités algériennes bon nombre de terroristes sont retranchés dans le massif de Chaâmbi. Des craintes sont aussi exprimées sur les djihadistes tunisiens et libyens partis combattre en Syrie qui pourraient infiltrer notre pays et commettre des attentats des deux côtés des frontières. Sans nul toutes ces dispositions sécuritaires d'exception aura un impact négatif pour les contrebandiers qui verront leurs passages verrouillés. Il reste que l'expérience algérienne intéresse les Tunisiens et les deux armées devront coopérer main dans la main. Un mode opératoire qui rappelle étrangement celui de l'attaque de la caserne de Guemmar qui fut la première attaque terroriste où des militaires algériens avaient été assassinés et qui aura été le prélude à la décennie noire. Avec cette embuscade, l'Algérie tout comme la Tunisie sont conscientes des défis sécuritaires par la circulation des armes et des djihadistes. L'Algérie et la Tunisie savent que les terroristes défaits en Algérie et chassés du nord du Mali cherchent à établir de nouveaux campements au djebel Chaâmbi qui se trouve au centre-ouest de la Tunisie et au sud de la Libye. C'est pourquoi l'Algérie a pris les devants. Tout au long des frontières algéro-tunisiennes, les contrôles des personnes ainsi que les biens sont renforcés. Une possible fermeture de ces frontières n'est pas à écarter. L'Algérie sort sa grosse «artillerie» c'est ainsi que des hélicoptères de la Gendarmerie nationale ainsi que l'aviation militaire survolent les villes frontalières. Au sol pas moins de cinq cents véhicules tout terrain sillonnent le tracé frontalier, traversant les wilayas d'El Tarf, Souk Ahras, Tébessa El Oued jusqu'au nord de Souk Ahras. Ce puissant déploiement frontalier intervient au lendemain de l'arrestation à El Oued d'un des plus dangereux terroristes, en l'occcurence Kamel Ben Arbia alias Abou Fida, émir de son état en Algérie et natif de la région activement recherché par les autorités tunisiennes et qui faisait partie d'un groupe terroriste composé de Khaled Hamadi Chayeb, Ismaïl Ghrissi, Mohamed Saâd Hassine, Abdelghani Ouhichi, Ahmed Ben Ahmed Baccar, Mohamed Arbi Ben Messaoud Ben Ali impliquées dans cet attentat. Pour les autorités algériennes bon nombre de terroristes sont retranchés dans le massif de Chaâmbi. Des craintes sont aussi exprimées sur les djihadistes tunisiens et libyens partis combattre en Syrie qui pourraient infiltrer notre pays et commettre des attentats des deux côtés des frontières. Sans nul toutes ces dispositions sécuritaires d'exception aura un impact négatif pour les contrebandiers qui verront leurs passages verrouillés. Il reste que l'expérience algérienne intéresse les Tunisiens et les deux armées devront coopérer main dans la main.