Le pouvoir des mots est immense. Et pour cause, le verbe fait la différence entre la réussite et l ́échec. Cela dit « il n ́est pas nécessaire de réussir pour persévérer », plusieurs citations dans ce sens se vérifient aisément à travers l'influence de plusieurs poètes. Le pouvoir des mots est immense. Et pour cause, le verbe fait la différence entre la réussite et l ́échec. Cela dit « il n ́est pas nécessaire de réussir pour persévérer », plusieurs citations dans ce sens se vérifient aisément à travers l'influence de plusieurs poètes. Car non seulement leurs mots sont la source de nos émotions, mais ils nous portent à l ́action. La parole est pouvoir. Elle peut faire autant de dégâts qu ́une bombe atomique ou s ́avérer aussi bienfaisante que le meilleur des médicaments. Et parmi ces surdoués en verbe, c ́est le poète égyptien, Ahmad Fouad Najm, célèbre pour ses textes révolutionnaires et ses critiques acerbes de certains leaders politiques. Il nous a quittés hier mardi 3 décembre, à son domicile du Caire. Il était âgé de 84 ans. Ses poèmes parfois virulents envers les présidents égyptiens, notamment Gamal Abdel Nasser, Anouar al-Sadate et Hosni Moubarak, lui ont valu de nombreuses années d'emprisonnement. En tout, il aura passé 18 années de sa vie derrière les barreaux. C'est après la guerre des Six jours en 1967 que son aura dépasse les frontières de l'Egypte, ses poèmes sur la guerre entre Israël et les Arabes ayant connu un grand succès dans le monde arabe. Pendant la révolution de 2011, ses poèmes étaient récités sur l'emblématique place Tahrir par les jeunes révolutionnaires. Pour rappel, le défunt à fait un crochet en Algérie, juste après sa sortie de prison, un mois de mai 2009. Lors d'un point de presse, organisé par le Théâtre national algérien, et qui entre dans le cadre « El Qods, capitale éternelle de la culture arabe », Fouad Nadjm, aux côtés de M'hamed Benguettaf et devant un parterre de journalistes, n'a pas manqué d'associer tout ce monde en donnant un aperçu sur la situation du monde arabe, sa contribution à la pensée politique, et sa contribution aux arts, à la littérature et à la culture. Car non seulement leurs mots sont la source de nos émotions, mais ils nous portent à l ́action. La parole est pouvoir. Elle peut faire autant de dégâts qu ́une bombe atomique ou s ́avérer aussi bienfaisante que le meilleur des médicaments. Et parmi ces surdoués en verbe, c ́est le poète égyptien, Ahmad Fouad Najm, célèbre pour ses textes révolutionnaires et ses critiques acerbes de certains leaders politiques. Il nous a quittés hier mardi 3 décembre, à son domicile du Caire. Il était âgé de 84 ans. Ses poèmes parfois virulents envers les présidents égyptiens, notamment Gamal Abdel Nasser, Anouar al-Sadate et Hosni Moubarak, lui ont valu de nombreuses années d'emprisonnement. En tout, il aura passé 18 années de sa vie derrière les barreaux. C'est après la guerre des Six jours en 1967 que son aura dépasse les frontières de l'Egypte, ses poèmes sur la guerre entre Israël et les Arabes ayant connu un grand succès dans le monde arabe. Pendant la révolution de 2011, ses poèmes étaient récités sur l'emblématique place Tahrir par les jeunes révolutionnaires. Pour rappel, le défunt à fait un crochet en Algérie, juste après sa sortie de prison, un mois de mai 2009. Lors d'un point de presse, organisé par le Théâtre national algérien, et qui entre dans le cadre « El Qods, capitale éternelle de la culture arabe », Fouad Nadjm, aux côtés de M'hamed Benguettaf et devant un parterre de journalistes, n'a pas manqué d'associer tout ce monde en donnant un aperçu sur la situation du monde arabe, sa contribution à la pensée politique, et sa contribution aux arts, à la littérature et à la culture.