La campagne de promotion en faveur de la production nationale continue sur un ton plus prononcé. Les discours fleurissent à l'endroit des entreprises publiques avec des projections qui indiquent que la relance de la production locale n'est pas une vue de l'esprit. La campagne de promotion en faveur de la production nationale continue sur un ton plus prononcé. Les discours fleurissent à l'endroit des entreprises publiques avec des projections qui indiquent que la relance de la production locale n'est pas une vue de l'esprit. Depuis quelques temps, ministres, responsables syndicaux et patrons d'entreprises multiplient les déclarations sur les défis qui attendent la production locale. Le ministre du Commerce qui est sur ce front plus présent considère que la production nationale est dans la bonne voie étant donné que l'Etat va continuer à soutenir les efforts de la relance du tissu industriel. En effet, il y a lieu de faire valoir l'importance d'accorder plus de facilités aux entreprises publiques et privées tous secteurs. Le SG de l'UGTA explique pour sa part que « la production nationale est une bataille sociale qui concerne toute la société algérienne dont les pouvoirs publics, le patronat, les unions des travailleurs et les citoyens. Si on ne consomme pas algérien, c'est qu'on a rien fait». Un tel défi est mis au devant des consommateurs pour être sensibilisées sur l'importance de la « consommation nationale ». Il s'agit des produits fabriqués localement qui sont de bonne qualité et dont les entreprises sont dûment certifiées. Que ce soit les produits agro-alimentaires, l'ameublement, les cosmétiques, le médicament et certains articles de textiles, le potentiel productif s'est amélioré en qualité selon les différents experts. « Il y a une volonté collective à tous les niveaux pour la relance de l'industrie et de la production nationales. On veut être une nation productive et non un marché pour les autres pays », a-t-il indiqué. Dans cet ordre d'idées, le nouveau plan gouvernemental vise dans sa globalité « d'accorder la mise à niveau des entreprises, de consacrer plus d'investissements au secteur industriel». Au moment où l'Algérie s'est faite piégée par une politique d'importation tous azimuts frôlant cette année les 60 milliards de dollars, il est devenu urgent de l'avis des spécialistes « de renforcer les aides pour les producteurs locaux ». Rappelons que la stratégie actuelle préconise « de lever toutes les contraintes qui pèsent sur le dos des entreprises ». Les associations patronales ont relevé dans leurs constats « la bonne volonté de satisfaire les doléances des opérateurs ». Le ministère de l'Industrie sous la houlette de Amara Benyounes avait indiqué que « l'actuelle feuille de route est basée sur la réactivation de toutes les entreprises qui étaient en difficultés ou qui étaient fermées». La parenthèse Ouyahia est close étant donnée que sous son règne des milliers d'entreprises publiques ont été fermées occasionnant depuis un retard considérable de l'industrie algérienne. Le gouvernement Sellal espère donc se rattraper en consacrant près de 200 milliards de DA pour le salut de ces entreprises. Depuis quelques temps, ministres, responsables syndicaux et patrons d'entreprises multiplient les déclarations sur les défis qui attendent la production locale. Le ministre du Commerce qui est sur ce front plus présent considère que la production nationale est dans la bonne voie étant donné que l'Etat va continuer à soutenir les efforts de la relance du tissu industriel. En effet, il y a lieu de faire valoir l'importance d'accorder plus de facilités aux entreprises publiques et privées tous secteurs. Le SG de l'UGTA explique pour sa part que « la production nationale est une bataille sociale qui concerne toute la société algérienne dont les pouvoirs publics, le patronat, les unions des travailleurs et les citoyens. Si on ne consomme pas algérien, c'est qu'on a rien fait». Un tel défi est mis au devant des consommateurs pour être sensibilisées sur l'importance de la « consommation nationale ». Il s'agit des produits fabriqués localement qui sont de bonne qualité et dont les entreprises sont dûment certifiées. Que ce soit les produits agro-alimentaires, l'ameublement, les cosmétiques, le médicament et certains articles de textiles, le potentiel productif s'est amélioré en qualité selon les différents experts. « Il y a une volonté collective à tous les niveaux pour la relance de l'industrie et de la production nationales. On veut être une nation productive et non un marché pour les autres pays », a-t-il indiqué. Dans cet ordre d'idées, le nouveau plan gouvernemental vise dans sa globalité « d'accorder la mise à niveau des entreprises, de consacrer plus d'investissements au secteur industriel». Au moment où l'Algérie s'est faite piégée par une politique d'importation tous azimuts frôlant cette année les 60 milliards de dollars, il est devenu urgent de l'avis des spécialistes « de renforcer les aides pour les producteurs locaux ». Rappelons que la stratégie actuelle préconise « de lever toutes les contraintes qui pèsent sur le dos des entreprises ». Les associations patronales ont relevé dans leurs constats « la bonne volonté de satisfaire les doléances des opérateurs ». Le ministère de l'Industrie sous la houlette de Amara Benyounes avait indiqué que « l'actuelle feuille de route est basée sur la réactivation de toutes les entreprises qui étaient en difficultés ou qui étaient fermées». La parenthèse Ouyahia est close étant donnée que sous son règne des milliers d'entreprises publiques ont été fermées occasionnant depuis un retard considérable de l'industrie algérienne. Le gouvernement Sellal espère donc se rattraper en consacrant près de 200 milliards de DA pour le salut de ces entreprises.