Les deux syndicats ayant appelé à la grève ont affiché leur satisfaction. Leur mot d'ordre pour une grève illimitée qui ne dit pas son nom a été, en effet, largement suivi hier. Les deux syndicats ayant appelé à la grève ont affiché leur satisfaction. Leur mot d'ordre pour une grève illimitée qui ne dit pas son nom a été, en effet, largement suivi hier. Ce mouvement de grève a été entamé hier, à l‘appel du Syndicat national des professeurs de l‘enseignement secondaire et technique (Snapest) et de l‘Union nationale des personnels de l‘éducation et de la formation (Unpef). «Le 26 janvier 2014 les travailleurs de l‘éducation tous corps confondus et les professeurs de l‘enseignement secondaires et techniques en particulier ont entamé la première journée de grève en réponse a l‘appel des 02 jours de grève reconductible lancé par notre syndicat contraint a adopter cette voie bien que conscients des conséquences que cette grève puisse avoir sur l‘enseignement de nos enfants», indique le communiqué du Snapest rendu public hier qui précise que cette action intervient «suite au mutisme absolu tenu par les pouvoirs publics et l‘ incapacité de la tutelle a donner suite a nos revendications légitimes». Le Snapest, qui a appelé à deux jours de grève reconductible, annonce que le taux national de suivi relevé avant midi est de 63 à 64%. Le syndicat donne aussi quelques chiffres de ce taux de suivi dans certaines wilayas du pays. Ainsi il a été de 85% à Tipaza, 78% à Oran, 72% à Mostaganem, 77% à Tamanrasset, 73% à El Bayadh, 65% à Tiaret, 61% à Adrar, et entre 20 et 50% dans le reste des willayas telles que Djelfa, Naama, Tizi-Ouzou, Jijel, Constantine, Mila, Sidi Bel-Abbès, Mascara, Saïda, El-Tarf, El-Oued, Tindouf, Béchar,... Cela dit, le Snapest considère que « quel que soit le taux de suivi, l‘impact est toujours très considérable sur la progression des programmes scolaires si le sort d‘une centaine d‘ élèves ou d‘un seul professeur gréviste à Tamanrasset n‘a pas la considération qu‘il faut par les pouvoirs publics ». Le communiqué du Snapest avertit les pouvoirs publics en estimant que « tant qu‘une politique salariale claire n‘est pas définie et tant que la justice sociale n est pas établie ce sera toujours une rebelote de la situation». Par conséquent, le syndicat n‘ a pas manqué de s‘interroger sur cette instabilité et ses arrêts et les perturbations qui s‘en suivent « et ses effets irréparables sur la scolarisation de nos enfants ». « Faudra-t-il 6 autres semaines de grève tel que l‘année dernière pour que les autorités daignent répondre a nos revendications et combien d‘autres débrayage serions-nous contraints à lancer encore pour qu‘enfin les pouvoirs publics aient le courage et la sagesse de clore le dossier socioprofessionnel des fonctionnaires de l‘éducation », note le communiqué signé par le coordinateur du Snapest, Mezinae Meriane. De son côté, l‘Unpef, qui a appelé à une grève d‘une semaine reconductible, a déclaré sa satisfaction à l‘issue de cette première journée de grève. Ainsi dans un communiqué rendu public hier l‘Unpef donne des chiffres sur le taux de suivi du mouvement de débrayage. Ce dernier a réalisé un taux de suivi de 61,50 à Adrar, 40% à Tamnrasset, 60% à Sétif, 65% à Mascara, 51% à El-Oued , 70% à Mila, 69% à Msila, 75% à Médéa, 35% à Chlef, 63% à Alger-ouest, 58% à Alger-est, et 35% à Alger-centre. Enfin l‘Unpef dément avoir menacé de boycotter l‘élection présidentielle. Ce mouvement de grève a été entamé hier, à l‘appel du Syndicat national des professeurs de l‘enseignement secondaire et technique (Snapest) et de l‘Union nationale des personnels de l‘éducation et de la formation (Unpef). «Le 26 janvier 2014 les travailleurs de l‘éducation tous corps confondus et les professeurs de l‘enseignement secondaires et techniques en particulier ont entamé la première journée de grève en réponse a l‘appel des 02 jours de grève reconductible lancé par notre syndicat contraint a adopter cette voie bien que conscients des conséquences que cette grève puisse avoir sur l‘enseignement de nos enfants», indique le communiqué du Snapest rendu public hier qui précise que cette action intervient «suite au mutisme absolu tenu par les pouvoirs publics et l‘ incapacité de la tutelle a donner suite a nos revendications légitimes». Le Snapest, qui a appelé à deux jours de grève reconductible, annonce que le taux national de suivi relevé avant midi est de 63 à 64%. Le syndicat donne aussi quelques chiffres de ce taux de suivi dans certaines wilayas du pays. Ainsi il a été de 85% à Tipaza, 78% à Oran, 72% à Mostaganem, 77% à Tamanrasset, 73% à El Bayadh, 65% à Tiaret, 61% à Adrar, et entre 20 et 50% dans le reste des willayas telles que Djelfa, Naama, Tizi-Ouzou, Jijel, Constantine, Mila, Sidi Bel-Abbès, Mascara, Saïda, El-Tarf, El-Oued, Tindouf, Béchar,... Cela dit, le Snapest considère que « quel que soit le taux de suivi, l‘impact est toujours très considérable sur la progression des programmes scolaires si le sort d‘une centaine d‘ élèves ou d‘un seul professeur gréviste à Tamanrasset n‘a pas la considération qu‘il faut par les pouvoirs publics ». Le communiqué du Snapest avertit les pouvoirs publics en estimant que « tant qu‘une politique salariale claire n‘est pas définie et tant que la justice sociale n est pas établie ce sera toujours une rebelote de la situation». Par conséquent, le syndicat n‘ a pas manqué de s‘interroger sur cette instabilité et ses arrêts et les perturbations qui s‘en suivent « et ses effets irréparables sur la scolarisation de nos enfants ». « Faudra-t-il 6 autres semaines de grève tel que l‘année dernière pour que les autorités daignent répondre a nos revendications et combien d‘autres débrayage serions-nous contraints à lancer encore pour qu‘enfin les pouvoirs publics aient le courage et la sagesse de clore le dossier socioprofessionnel des fonctionnaires de l‘éducation », note le communiqué signé par le coordinateur du Snapest, Mezinae Meriane. De son côté, l‘Unpef, qui a appelé à une grève d‘une semaine reconductible, a déclaré sa satisfaction à l‘issue de cette première journée de grève. Ainsi dans un communiqué rendu public hier l‘Unpef donne des chiffres sur le taux de suivi du mouvement de débrayage. Ce dernier a réalisé un taux de suivi de 61,50 à Adrar, 40% à Tamnrasset, 60% à Sétif, 65% à Mascara, 51% à El-Oued , 70% à Mila, 69% à Msila, 75% à Médéa, 35% à Chlef, 63% à Alger-ouest, 58% à Alger-est, et 35% à Alger-centre. Enfin l‘Unpef dément avoir menacé de boycotter l‘élection présidentielle.