Le candidat à l'élection présidentielle du 17 avril prochain, M. Ali benflis, s'est engagé, hier, à résoudre le problème de la revendication amazighe au cas où il serait élu par le peuple algérien au poste de la magistrature suprême. Ali Benflis a, en effet, animé son meeting de campagne, hier, à partir de midi, avec deux heures de retard, dans la salle archi-comble de la maison de la culture Mouloud Mammeri. Le candidat à l'élection présidentielle du 17 avril prochain, M. Ali benflis, s'est engagé, hier, à résoudre le problème de la revendication amazighe au cas où il serait élu par le peuple algérien au poste de la magistrature suprême. Ali Benflis a, en effet, animé son meeting de campagne, hier, à partir de midi, avec deux heures de retard, dans la salle archi-comble de la maison de la culture Mouloud Mammeri. L'entrée à l'intérieur de la salle de spectacles était libre, ce qui a permis à tous les citoyens qui voulaient y accéder de le faire, en plus des partisans de l'ancien chef du gouvernement qui postule pour la deuxième fois au fauteuil de président de la République. Ali Benflis, avant de se rendre à la salle où s'est tenu son meeting, s'était déplacé dans quelques endroits symboliques de la ville de Tizi Ouzou, notamment devant la stèle du poète assassiné, Matoub Lounès, située à l'entrée de la ville en venant d'Alger. D'ailleurs, lors de son discours devant les Tizi Ouzéens, Ali Benflis a rendu un hommage à Matoub Lounès qu'il a qualifié de grand chanteur de la liberté. Puis, l'orateur a également évoqué les grands symboles de la région ayant contribué à la lutte de Libération nationale à l'image du colonel Amirocuhe dont a été célébré, hier, l'anniversaire de la disparition mais aussi Amar Ouamrane, Krim Belkacem, Ali Mellah, Abane Ramdane. Le candidat indépendant Ali Benflis a évoqué donc la question de la langue amazighe. Sans aller jusqu'à prendre un engagement de reconnaitre tamazight comme langue officielle, une fois élu Président, Ali Benflis a toutefois déclaré que s'il devenait président de la République, il résoudrait ce problème. De même qu'il a affirmé qu'il prendrait les mesures nécessaires pour le développement de l'enseignement de la langue amazighe dans toutes les wilayas du pays en encourageant la formation des enseignants afin d'obtenir un enseignement de qualité. Ali Benflis s'est, par ailleurs, attardé sur les questions les plus importantes de son programme électorale, à savoir : la révision de la Constitution, la limitation des mandats, la réforme de la justice, un nouveau découpage administratif ainsi que d'autres thèmes que Ali Benflis a déjà eu l'occasion de plaider lors des différents meetings animés dans d'autres chefs-lieux de wilaya depuis le coup d'envoi de la campagne électorale. L'entrée à l'intérieur de la salle de spectacles était libre, ce qui a permis à tous les citoyens qui voulaient y accéder de le faire, en plus des partisans de l'ancien chef du gouvernement qui postule pour la deuxième fois au fauteuil de président de la République. Ali Benflis, avant de se rendre à la salle où s'est tenu son meeting, s'était déplacé dans quelques endroits symboliques de la ville de Tizi Ouzou, notamment devant la stèle du poète assassiné, Matoub Lounès, située à l'entrée de la ville en venant d'Alger. D'ailleurs, lors de son discours devant les Tizi Ouzéens, Ali Benflis a rendu un hommage à Matoub Lounès qu'il a qualifié de grand chanteur de la liberté. Puis, l'orateur a également évoqué les grands symboles de la région ayant contribué à la lutte de Libération nationale à l'image du colonel Amirocuhe dont a été célébré, hier, l'anniversaire de la disparition mais aussi Amar Ouamrane, Krim Belkacem, Ali Mellah, Abane Ramdane. Le candidat indépendant Ali Benflis a évoqué donc la question de la langue amazighe. Sans aller jusqu'à prendre un engagement de reconnaitre tamazight comme langue officielle, une fois élu Président, Ali Benflis a toutefois déclaré que s'il devenait président de la République, il résoudrait ce problème. De même qu'il a affirmé qu'il prendrait les mesures nécessaires pour le développement de l'enseignement de la langue amazighe dans toutes les wilayas du pays en encourageant la formation des enseignants afin d'obtenir un enseignement de qualité. Ali Benflis s'est, par ailleurs, attardé sur les questions les plus importantes de son programme électorale, à savoir : la révision de la Constitution, la limitation des mandats, la réforme de la justice, un nouveau découpage administratif ainsi que d'autres thèmes que Ali Benflis a déjà eu l'occasion de plaider lors des différents meetings animés dans d'autres chefs-lieux de wilaya depuis le coup d'envoi de la campagne électorale.