Une course contre la montre : les prochains mois seront « chauds » sur le plan politique. Les débats se sont engagés aussitôt les résultats de l'élection présidentielle connus sur la révision « consensuelle » de la Constitution et sur la transition « consensuelle » politique. Les discussions, qui en sont à leurs débuts, agitent vivement l'échiquier politique national. Une course contre la montre : les prochains mois seront « chauds » sur le plan politique. Les débats se sont engagés aussitôt les résultats de l'élection présidentielle connus sur la révision « consensuelle » de la Constitution et sur la transition « consensuelle » politique. Les discussions, qui en sont à leurs débuts, agitent vivement l'échiquier politique national. La Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CLTD), regroupant les principaux partis ou personnalités politiques qui contestent vivement le « système » et le quatrième mandat du président de la République Abdelaziz Bouteflika, s'est fixé une feuille de route pour la réussite de la conférence nationale prévue fin mai. Laquelle conférence sera le tremplin pour l'élaboration d'une Constitution consensuelle, débouchant sur une phase de transition politique, un vœu largement souhaité par les opposants au 4e mandat du chef de l'Etat, réélu le 17 avril dernier lors de la dernière élection présidentielle. Des efforts, bien plus, un Ijtihad est plus que nécessaire pour arriver à une convergence de vues ou à un compromis qui serait historique entre les courants de pensées aussi divergents que ceux du RCD et celui du MSP. Il sera aussi plus hardi de parvenir à une vision commune entre le RCD et les membres de l'ex-Fis. Selon le chef du MSP qui parlait, jeudi dernier, en marge de l'ouverture de la Conférence nationale des cadres du parti, la Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CLTD) a rencontré ce jeudi Kamel Guemazi et Ali Djeddi, deux influents membres du parti dissous. La rencontre, selon Mokri, a dégagé des « points communs » entre les deux parties. Le leader du MSP n'a pas donné plus de détails. Mais il est plus que probable que la CCLTD et Guemazi et Djeddi ont évoqué la « situation politique » du pays, la révision consensuelle de la loi fondamentale telle que l'entendent les pouvoirs publics et la transition politique à laquelle appellent les partis politiques regroupés dans le Mouvement du changement pacifique, les personnalités politiques ayant exercé des hautes fonctions au sein de l'Etat ou militaires à la retraite. Les consultations ont déjà concerné deux anciens chefs de gouvernement. Il s'agit de Sid-Ahmed Ghozali et Mouloud Hamrouche. Ces anciens chefs de l'exécutif ont un dominateur commun : engager la transition politique. Comment et avec quels acteurs ? Ils n'ont pas divulgué les détails de l'opération, sinon ceux qui pourront « débarrasser » le pays du système. Ali Benflis, candidat malheureux de la dernière élection présidentielle sera invité à participer à la conférence de la fin du mois de mai ou début juin. L'invitation sera vraisemblablement déclinée par le concerné qui nourrit d'autres ambitions que ceux de la Coordination. Un projet politique est en gestation chez Benflis. Un parti politique non pas pour une transition politique telle que voulue par la Coordination, mais la « prise » de pouvoir par l'ex- chef du gouvernement. Des positions contradictoires qui ne permettront aucun rapprochement entre les deux parties. Louisa Hanoune, la patronne du Parti des travailleurs, ne s'inscrit dans aucune de ces démarches. Elle est pour la continuité du programme de Bouteflika pour la souveraineté et la stabilité du pays. Toujours est-il que la Coordination pour les libertés et la transition démocratique souhaite réunir le maximum de participants à la conférence nationale pour disposer de ce moyen de pression qui sera face au « système ». La phase « transitionnelle » sera-t-elle entamée dès la prochaine rentrée sociale comme inscrite dans l'agenda de la coordination pour les libertés et la transition politique. Un chemin long et semé d'embûches jalonnera le parcours de ce mouvement pour « amener » tous les éléments qui le compose à une transition « consensuelle » La Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CLTD), regroupant les principaux partis ou personnalités politiques qui contestent vivement le « système » et le quatrième mandat du président de la République Abdelaziz Bouteflika, s'est fixé une feuille de route pour la réussite de la conférence nationale prévue fin mai. Laquelle conférence sera le tremplin pour l'élaboration d'une Constitution consensuelle, débouchant sur une phase de transition politique, un vœu largement souhaité par les opposants au 4e mandat du chef de l'Etat, réélu le 17 avril dernier lors de la dernière élection présidentielle. Des efforts, bien plus, un Ijtihad est plus que nécessaire pour arriver à une convergence de vues ou à un compromis qui serait historique entre les courants de pensées aussi divergents que ceux du RCD et celui du MSP. Il sera aussi plus hardi de parvenir à une vision commune entre le RCD et les membres de l'ex-Fis. Selon le chef du MSP qui parlait, jeudi dernier, en marge de l'ouverture de la Conférence nationale des cadres du parti, la Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CLTD) a rencontré ce jeudi Kamel Guemazi et Ali Djeddi, deux influents membres du parti dissous. La rencontre, selon Mokri, a dégagé des « points communs » entre les deux parties. Le leader du MSP n'a pas donné plus de détails. Mais il est plus que probable que la CCLTD et Guemazi et Djeddi ont évoqué la « situation politique » du pays, la révision consensuelle de la loi fondamentale telle que l'entendent les pouvoirs publics et la transition politique à laquelle appellent les partis politiques regroupés dans le Mouvement du changement pacifique, les personnalités politiques ayant exercé des hautes fonctions au sein de l'Etat ou militaires à la retraite. Les consultations ont déjà concerné deux anciens chefs de gouvernement. Il s'agit de Sid-Ahmed Ghozali et Mouloud Hamrouche. Ces anciens chefs de l'exécutif ont un dominateur commun : engager la transition politique. Comment et avec quels acteurs ? Ils n'ont pas divulgué les détails de l'opération, sinon ceux qui pourront « débarrasser » le pays du système. Ali Benflis, candidat malheureux de la dernière élection présidentielle sera invité à participer à la conférence de la fin du mois de mai ou début juin. L'invitation sera vraisemblablement déclinée par le concerné qui nourrit d'autres ambitions que ceux de la Coordination. Un projet politique est en gestation chez Benflis. Un parti politique non pas pour une transition politique telle que voulue par la Coordination, mais la « prise » de pouvoir par l'ex- chef du gouvernement. Des positions contradictoires qui ne permettront aucun rapprochement entre les deux parties. Louisa Hanoune, la patronne du Parti des travailleurs, ne s'inscrit dans aucune de ces démarches. Elle est pour la continuité du programme de Bouteflika pour la souveraineté et la stabilité du pays. Toujours est-il que la Coordination pour les libertés et la transition démocratique souhaite réunir le maximum de participants à la conférence nationale pour disposer de ce moyen de pression qui sera face au « système ». La phase « transitionnelle » sera-t-elle entamée dès la prochaine rentrée sociale comme inscrite dans l'agenda de la coordination pour les libertés et la transition politique. Un chemin long et semé d'embûches jalonnera le parcours de ce mouvement pour « amener » tous les éléments qui le compose à une transition « consensuelle »