Des affrontements entre les forces d'un général libyen à la retraite et des milices islamistes ont fait au moins deux morts vendredi à Benghazi, at-on appris auprès des services médicaux et de sécurité. Des affrontements entre les forces d'un général libyen à la retraite et des milices islamistes ont fait au moins deux morts vendredi à Benghazi, at-on appris auprès des services médicaux et de sécurité. Appuyés par des hélicoptères, des combattants emmenés par le général Khalifa Haftar, une des figures du soulèvement contre Maâmmar Kadhafi en 2011, ont bombardé des positions d'Ansar al Charia et d'un autre groupe islamiste, selon Mohamed Al Hedjazi, qui se présente comme un porte-parole de l'Armée nationale libyenne du colonel Haftar. "Nous sommes encore en train de bombarder les camps des milices, pour rétablir la légitimité de l'Etat libyen. Les milices contrôlaient les entrées est de Benghazi", a déclaré le porte-parole. Le chef d'état-major des forces armées libyennes a déclaré à la télévision publique qu'il n'avait pas donné l'ordre à l'armée régulière d'attaquer des bases à Benghazi. Pourtant, sur le terrain, selon des témoins, un hélicoptère de l'armée régulière a été utilisé pour certains des assauts contre les bases islamistes. Au moins deux personnes ont été tuées et dix autres blessées dans ces opérations, apprend-on de source médicale dans un hôpital de Benghazi. Le porte-parole de l'Armée nationale libyenne explique que l'opération est compliquée, l'entrée en ville d'islamistes ayant fui leur base. Appuyés par des hélicoptères, des combattants emmenés par le général Khalifa Haftar, une des figures du soulèvement contre Maâmmar Kadhafi en 2011, ont bombardé des positions d'Ansar al Charia et d'un autre groupe islamiste, selon Mohamed Al Hedjazi, qui se présente comme un porte-parole de l'Armée nationale libyenne du colonel Haftar. "Nous sommes encore en train de bombarder les camps des milices, pour rétablir la légitimité de l'Etat libyen. Les milices contrôlaient les entrées est de Benghazi", a déclaré le porte-parole. Le chef d'état-major des forces armées libyennes a déclaré à la télévision publique qu'il n'avait pas donné l'ordre à l'armée régulière d'attaquer des bases à Benghazi. Pourtant, sur le terrain, selon des témoins, un hélicoptère de l'armée régulière a été utilisé pour certains des assauts contre les bases islamistes. Au moins deux personnes ont été tuées et dix autres blessées dans ces opérations, apprend-on de source médicale dans un hôpital de Benghazi. Le porte-parole de l'Armée nationale libyenne explique que l'opération est compliquée, l'entrée en ville d'islamistes ayant fui leur base.