Des experts internationaux dépêchés pour analyser le lieu du crash du vol MH 17, le 28 juillet 2014 à Donetsk, en Ukraine. Des experts internationaux dépêchés pour analyser le lieu du crash du vol MH 17, le 28 juillet 2014 à Donetsk, en Ukraine. Plusieurs dizaines d'inspecteurs internationaux sont arrivés pour la première fois vendredi sur le site du crash du Boeing malaisien pour enquêter sur sa cause, en dépit de nouveaux affrontements dans l'Est de l'Ukraine qui ont fait quatorze morts. Au moins dix soldats parachutistes ukrainiens figurent parmi les victimes de ce que l'état major ukrainien a présenté comme une «embuscade» des rebelles prorusses à Chakhtarsk, à environ 25 kilomètres du site du crash, dans la nuit de jeudi à vendredi. Les forces ukrainiennes ont repris vendredi leur offensive contre les insurgés pro-russes, suspendue la veille pour favoriser l'enquête internationale sur le drame qui a conduit à l'adoption de sanctions économiques occidentales sans précédent contre la Russie, accusée d'armer la rébellion. Toutefois, il n'y a pas de combat dans la zone du crash Plus de deux semaines après le crash du vol MH17 de Malaysia Airlines, abattu par un missile alors qu'il reliait Amsterdam à Kuala Lumpur avec 298 personnes à bord le 17 juillet, les débris du Boeing et certaines dépouilles restent sur place. Après avoir été empêchés pendant plusieurs jours d'accéder au site par les combats, un petit groupe d'experts néerlandais et australiens a réussi à y accéder jeudi pour une mission de reconnaissance en empruntant un itinéraire de plusieurs centaines de kilomètres, au lieu de 60 kilomètres par la route directe. Des policiers internationaux pour protéger Un groupe de 70 experts et observateurs de l'Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE), « le plus important » depuis le crash, est arrivé sur place vendredi, annoncé l'OSCE sur Twitter. «S'ils trouvent des restes humains, ils seront immédiatement récupérés», a indiqué de son côté le ministère néerlandais de la justice, dans un communiqué confirmant l'arrivée des inspecteurs Plusieurs dizaines d'inspecteurs internationaux sont arrivés pour la première fois vendredi sur le site du crash du Boeing malaisien pour enquêter sur sa cause, en dépit de nouveaux affrontements dans l'Est de l'Ukraine qui ont fait quatorze morts. Au moins dix soldats parachutistes ukrainiens figurent parmi les victimes de ce que l'état major ukrainien a présenté comme une «embuscade» des rebelles prorusses à Chakhtarsk, à environ 25 kilomètres du site du crash, dans la nuit de jeudi à vendredi. Les forces ukrainiennes ont repris vendredi leur offensive contre les insurgés pro-russes, suspendue la veille pour favoriser l'enquête internationale sur le drame qui a conduit à l'adoption de sanctions économiques occidentales sans précédent contre la Russie, accusée d'armer la rébellion. Toutefois, il n'y a pas de combat dans la zone du crash Plus de deux semaines après le crash du vol MH17 de Malaysia Airlines, abattu par un missile alors qu'il reliait Amsterdam à Kuala Lumpur avec 298 personnes à bord le 17 juillet, les débris du Boeing et certaines dépouilles restent sur place. Après avoir été empêchés pendant plusieurs jours d'accéder au site par les combats, un petit groupe d'experts néerlandais et australiens a réussi à y accéder jeudi pour une mission de reconnaissance en empruntant un itinéraire de plusieurs centaines de kilomètres, au lieu de 60 kilomètres par la route directe. Des policiers internationaux pour protéger Un groupe de 70 experts et observateurs de l'Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE), « le plus important » depuis le crash, est arrivé sur place vendredi, annoncé l'OSCE sur Twitter. «S'ils trouvent des restes humains, ils seront immédiatement récupérés», a indiqué de son côté le ministère néerlandais de la justice, dans un communiqué confirmant l'arrivée des inspecteurs